samedi 19 novembre 2016

LES TROIS PORTES DE YESHOUA





Jean 9 et 10.

Bien aimés, Jésus est les trois portes que tu a besoin pour ta vie.
Le Seigneur Jésus nous confirmation par cette tournure,« en vérité, en vérité, Je vous dis » qui revient 25 fois dans cet évangile, et chaque fois elle introduit des déclarations de grande importance. Déjà à cause de cela, la parabole des ‘trois portes’ mérite toute notre attention aujourd’hui encore plus.

Nous savons qu’il est la porte et aujourd’hui il est question de trois en un, donc il est la porte qui à trois porte à l'intérieur, n'est pas une grand révélation pour ceux qui cherche la porte Jésus.  d’abord dans quelles circonstances le Seigneur Jésus l’a prononcée, et secondement, le fait qu’Il ait parlé de trois portes.
Aujourd’hui beaucoup d’entre nous sont né aveugle comme, l’aveugle-né guéri qui avait confessé fidèlement son état chose que nous avons du mal a faire car nous somme aveugle et ne peut voir les trois porte dans le Christ.
Frères, Il était évident que cet homme autrefois aveugle et mendiant, était l’une de Ses « propres brebis » qui « écoutent » et « connaissent » la voix du Bon Berger. Le Berger des brebis l’avait cherché et l’avait trouvé ; Il l’avait « appelé par son nom », et l’avait « mené dehors » (Jean 10:3-4). Il y a une différence entre les « brebis » et « ses propres brebis », comme nous aurons l’occasion de le revoir dans l'évangile.

Bien aimés,il y a eu une parole remarquable sortie de la bouche du Seigneur qui résume tout ce qui s’est passé avec l’aveugle-né: « Et Jésus dit : Moi, je suis venu dans ce monde pour le jugement, afin que ceux qui ne voient pas, voient ; et que ceux qui voient deviennent aveugles » (Jean 9:39).

Yeshoua  est la porte de la bergerie. tout comme les pharisiens, nous avons la prétention d’être capables de « voir ». « Nous voyons » disaient-ils carrément. Alors le Seigneur place devant eux et nous même une parabole simple et claire aujourd’hui:  

« En vérité, en vérité, je vous dis : Celui qui n’entre pas par la porte dans la bergerie des brebis, mais qui y monte par ailleurs, celui-là est un voleur et un larron. Mais celui qui entre par la porte, est le berger des brebis » (Jean 10:1-2).

Nous avons ici la première porte, celle de la bergerie. Par le terme ‘bergerie’, il faut se représenter un enclos protégé par une clôture ou un mur, où les brebis trouvent repos et protection la nuit, tandis que le jour, elles peuvent sortir pour aller paître. Une telle bergerie, ou enclos des moutons. Le système religieux établi par Moïse était effectivement comme un enclos, entouré d’une clôture et armé, où les Juifs se trouvaient, protégés des nations et attendant la venue du Messie.  le vrai, qui viendrait « par la porte ».

La deuxième partie du v. 3 de Jean 10 amène à une nouvelle pensée, et avec elle nous arrivons à la deuxième porte de la parabole. « et il appelle ses propres brebis par leur nom, et les mène dehors » (Jean 10:3).
Frères, nos cœurs sont touchés quand nous voyons que le Berger n’a personne d’autre comme objet spécial de Son cœur que Ses brebis. C’est très précieux.
Il est entré dans la bergerie « par la porte » ; Il n’est pas monté par-dessus les murs, comme les voleurs et les larrons, Quand Il est passé par la porte, c’est parce que le portier Yahvé  Lui avait ouvert, Ses brebis le reconnaissaient à Sa voix, elles prêtaient l’oreille à Sa voix, et elles le suivaient.
Il est important de comprendre tout cela clairement. Quand le Seigneur est venu chez nous, vers cette nation qu’Il aimait, les Siens ne l’ont pas reçu (Jean 1:11).
Nous n’avons pas à nous familiariser avec le mal pour en être préservé. Il suffit de connaître le bien, il suffit de connaître Christ. L’apôtre Paul dira plus tard : « mais je désire que vous soyez sages quant au bien, et simples quant au mal » (Rom. 16:19). Notre sagesse, c’est de suivre le Seigneur Jésus parce que nous Lui appartenons et que nous connaissons Sa voix. le Seigneur Jésus s’est présenté à nous : Il est le conducteur, la porte et le but,  pour ceux qu’Il fait sortir de ce qui déshonore Son nom.

Bien aimés, Le Seigneur Jésus parle alors encore une fois de Lui-même comme étant la ‘porte’, et Il dit : « Je suis la porte »  non pas « la porte des brebis », mais « la porte ». Cette troisième porte mentionnée par le Seigneur est la porte du salut (Jean 10:9). C’est une pensée nouvelle dépassant ce qui a été dit jusqu’ici. La ‘porte des brebis’ était pour sortir ; c’était une sortie ; la ‘porte’ est pour entrer, c’est une entrée.  

Au vu de toutes ces bénédictions auxquelles le bon Berger nous conduit, pouvons-nous faire autre chose que de nous prosterner dans l’adoration  devant Celui qui a laissé Sa vie pour les brebis ? Amen

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