dimanche 24 février 2019

APPRENEZ A AIMER LA DIVERSITE DES AUTRES, CAR YESHOUA SAIT POURQUOI IL NOUS LE DEMANDE.



Job 40.1-28
L'Éternel répondit à Job du milieu de la tempête et dit :
Ceins tes reins comme un vaillant homme ; Je t'interrogerai, et tu m'instruiras.
Anéantiras-tu jusqu'à ma justice ? Me condamneras-tu pour te donner droit ?
As-tu un bras comme celui de Dieu, Une voix tonnante comme la sienne ?
Orne-toi de magnificence et de grandeur, Revêts-toi de splendeur et de gloire !
Répands les flots de ta colère, Et d'un regard abaisse les hautains !
D'un regard humilie les hautains, Écrase sur place les méchants,
Cache-les tous ensemble dans la poussière, Enferme leur front dans les ténèbres !
Alors je rends hommage A la puissance de ta droite………


Aujourd’hui beaucoup d’entre nous se croit au-dessus de Yeshoua, et cela, quelques fois sans le savoir ou encore en se laissent emporter par leurs élans de grandeur, mais il arrive que le Seigneur puisse mettre un Ola, un frein comme il la fait avec Job qui lui aussi est passer par là.
On vous a toujours servi le livre de Job comme le livre qui permet au chrétien de tenir bon dans les épreuves, mais on ne vous parle pas, ou très peu de l’orgueil de Job vis-à-vis de Dieu.

Bien-aimée, si Yeshoua nous demande d’observer la nature pour comprendre, c’est qu’il y a une raison bien arrêter, qui doit nous ramener à l’obéissance et de nous éviter nos débordements.

Frères et sœurs en Christ, il ne faut pas moins de 40 chapitres pour que Job arrête de se croire au-dessus de Dieu et de le rendre responsable du mal cruel qui lui arrive. Finalement ce qui permet à Job d’en sortir, c’est d’observer l’hippopotame et le crocodile que lui fait admirer Dieu.

Le Saint-Esprit aime discuter, elle nous invite à discuter, mais aussi à regarder le monde réel, regarder les personnes qui nous entourent dans leur complexité.
C’est ce que le livre de Job chapitre 40 nous invite à faire aujourd’hui et de méditer sur deux animaux « l’hippopotame et le crocodile ». Que Dieu place en évide devant Job et nous aussi.

La Bible nous fait savoir que Job contemple l’hippopotame et le crocodile et lui-même, l’orgueilleux, le rebelle, l’homme qui ne doute pas de son bon droit, comme chacun de nous... Et il reconnaît que tout n’est pas aussi simple qu’il l’imaginait.
Bien-aimée, la terre comprend une incroyable variété de formes de vie et chacun en son genre. Certain va voir l’hippopotame et le crocodile comme des bêtes sauvage ou formidable selon la façon d’on vous les regarder.

N’est pas un exemple de nous-même en Christ, de la façon que nous regardons un frère ou une sœur.

Ce sont deux animaux présentés par Dieu à Job, il y a un ne mange que de l’herbe et l’autre ne mange que de la viande, l’un est tout dodu et l’autre tout plat, l’un est couvert d’écailles et l’autre de cuir lisse, l’un a des centaines de dents et l’autre juste quelques-unes.. La première complexité que découvre Job ici, c’est la variété des formes de vies, chacune pourtant à son incroyable beauté et ses dangers aussi.

Quelques-uns d’entre nous, se sont tellement habitués à notre environnement que nous sommes devenu aveugle. Mais face au danger nous retournons assez vite à notre naturel animal ou de chaire, si je peux le dire comme cela pour que nous puissions mieux comprendre. Car quelques fois la jungle n’est pas dans la forêt comme nous pouvons le penser, mais dans le monde et parmi nous et dans l'église.

Aujourd’hui en méditant sur l’hippopotame et le crocodile nous pouvons saisir qu’avec Yeshoua et la vie, on peut s’attendre à tout. Alors quand nous désespérons pour trouver une issue, quand l’avenir ou nos affaires nous semble bloqué, quand il nous semble qu’il n’y a pas de solution, nous pouvons penser à l’hippopotame et au crocodile et saisir qu’il y a un million de solutions possibles que nous n’imaginons même pas. Reste à demander les conseils de Yeshoua, et s’attendre à tout. Cela aide à ne pas passer à côté de solutions complètement qui seront des bénédictions pour chacun nous.

Frères, sœurs, Jamais nous ne serons aussi étranges que l’hippopotame et le crocodile. L’Éternel apprend à Job à contempler et à admirer ces bêtes. C’est un peu apprendre à aimer la diversité des autres, c’est un peu commencé à pouvoir aimer aussi notre propre nous, notre visage qui est heureusement particulier, comme notre corps, notre personnalité, notre histoire et ceux de nos frères et sœurs.
Et avec tout cela, nous avons une place dans ce monde, au moins autant que l’hippopotame et le crocodile.

Yeshoua veut briser les barrières qui vous empêchent d’être un instrument entre ses mains, comme il la fait pour Job, Paul et bien d’autres.
Il conduit Job et vous, à voir que l’hippopotame et du crocodile, c’est que chacune de ces créatures, sont à la fois merveilleuse par certains côtés et indomptables, voire malfaisantes par d’autres.
Cela ne vous faites pas penser à vous-même quelques fois Christ !

L’hippopotame dans Job 40 est une créature des marais, c’est à dire ni de la terre sèche, ni de l’eau comme les poissons, se une créature se mettant à l’ombre, se cachant. Il est souvent représenté dissimulé entre la surface et profondeur de l’eau.
Alors bibliquement, cela fait de lui un être dont la création n’est pas achevée. Car dans la Bible, Dieu crée de deux façons : en distinguant des choses : la lumière des ténèbres, le sec du mouillé, et même les eaux d’en bas et les eaux d’en haut, du ciel... Donc l’hippopotame est un être mi-sec mi mouillé, mi-lumière mi-ténèbres.

La Parole de Yeshoua dit que nous sommes pareil que cet animal : « Voici l'hippopotame dont j'ai donné la vie comme toi ! » (V10)

Ce qui veut dire quand nous l’observons, nous voyons que nous sommes dans un monde identique, inachevé. Car les sources de souffrances et de dangers dans le monde, il faut donc discerner, ne pas confondre ce qui est génial et ce qui est encore sauvage, brut, incréé dans le monde, ou n'est pas encore passer dans les mains de Yeshoua pour ce qui est l’église, et comment Dieu y travaille.

Pour méditer et parler de cette réalité que nous fait découvrir l’hippopotame ici, on garde souvent le nom hébreu : Béhémot, et à ce qu’évoque le crocodile de la suite du chapitre 40 de Job du nom de Léviathan.

Bien-aimé, vu par notre côté Béhémot (de la chaire, mi-ténèbres, mi-lumière), nous sommes une création déjà géniale, mais avec pas mal de travail à faire encore pour la rendre parfaite entre les mains de Yeshoua.
Nous le sommes ainsi, l’humanité est ainsi, dans ce marais de l’entre deux, un pied dans la ténèbres (le chaos), dans la sauvagerie, et pourtant déjà « la tête de la création, le commencement des chemins de Dieu », comme Dieu le dit à Job (40 :14).

Qu’évoque-t-il se formidable Léviathan que Dieu prend comme exemple à Job et a nous ?

N’est-il pas un être mi-génial mi-chaos comme l’hippopotame. On le reconnaît à cause de la bouche, sa peau de cuir invincible, mais si vous regarder près la description qui en est donnée dans la Parole, ce crocodile-Léviathan a quelque chose du Saint-Esprit, ou de la Parole de Dieu que rien ni personne ne peut dompter.

Et qu’apporte l’observation de ce Léviathan à Job et a vous disciple de Christ aujourd’hui ?
Plein de questions, toute une série, comme souvent avec la Parole de Yeshoua, et toute une série de surprises que le croyant peut ressentir devant l’action de Yeshoua : tantôt pleine de tendresse, tantôt d’une force immense, nous disant parfois nos quatre vérités, et n’ayant pas peur de se placer en dessous de nous pour nous supplier, comme Yeshoua le fait si souvent avec celui qu’il aime. Amen

Frères, sœurs, le Léviathan, ce crocodile est une figure de ce qu’apporte Yeshoua : plein d’idées neuves et plein de questions qui brisent nos certitudes toutes faites et nous permettent de ne plus tout mélanger, d’y voir plus clair.
Job lui-même a faute de raison vous, se rend bien compte qu’il est impossible de mettre la main sur le crocodile-Léviathan, ce serait vouloir emprisonner l’Esprit Saint, le souffle créateur de Dieu, ce serait comme vouloir saisir le vent dans ses mains, que ce soit la brise légère ou l’ouragan, c’est tout aussi impossible.
Bien-aimé, nous sommes à l’heure de la connaissance de Yeshoua. Donc il existe dans notre petite personne quelque chose du Béhémot et quelque chose du Léviathan, à la fois un chef d’œuvre en cours d’élaboration et le souffle de créativité de Dieu qui travaille avec et dans ce chantier.

Dans le monde, nous observons le chaos qui subsiste, et le souffle de l’Esprit sont aussi réels, aussi manifestes, aussi énormes et formidables que le sont une bande d’hippos et de crocos sur le Nil. Et celui qui ne les voit pas risque gros s’il croit pouvoir se promener par-là tranquillement.

N’est-ce pas l’état de l’église d’aujourd’hui qu’il s’agit ici ?

Cela nous invite à vivre cette complexité avec fierté, mais aussi avec humilité, avec sagesse, mais aussi avec une ouverture à l’action de Yeshoua qui tente de nous faire évoluer et de nous rendre moins sauvage et utile.

Frères et sœurs en Christ que choisir aujourd’hui entre le béhémot ou le léviathan, l’hippopotame !

Aujourd’hui chacun de nous pense à sa façon, que chacun interprète la Bible librement, et encore plus que chacun puisse se dire Apôtre, Prophète, Evangéliste, Docteur, Pasteur, Disciple animé par l’Esprit de Yeshoua.
Il y a le risque que les points de vue finissent par être si différents que la société éclate et que cela tourne à la guerre de religion dans nos quartiers, nos villes.

Ce n’est pas facile de gérer ce monde où chacun de nous est ce Béhémot génial par certains côtés, mais aussi sauvage et chaotique de l’autre. L’Esprit de Dieu travaille avec et sur ces deux réalités en chacun de nous, pour commencer à dompter ce qui est sauvage en nous, mais aussi mobiliser notre meilleure part, qui peut alors apporter au monde et à la collectivité un service unique en irremplaçable.

Mais toute évolution prend du temps quel que soit dans les églises ou en dehors et en attendant que nous soyons devenus parfaites, comment faire ? Comment vivre les uns avec les autres ?
Aujourd’hui ce qui est sauvage en chaque personne est de jouer au crocodile, de se prendre pour Dieu, de penser détenir à soi-même la vérité et trouvant juste, en toute bonne foi de l’imposer aux autres, les mordant et les dévorant comme un crocodile ordinaire. L’Esprit de Dieu est bien loin de tout cela et ne la reconnaît pas, alors gare aux hippopotames.

Aujourd’hui ce n’est ni moi ni vous qui pourriez résoudre cette équation délicate, laissant le Saint-Esprit se manifester en chacun sans pour autant que nous nous dévorions les uns les autres. Amen
  
Mais Après avoir ainsi médité vous devez accepter tout comme Job a répond à Dieu :
Mon oreille avait entendu parler de toi,
Mais maintenant mon œil t'a vu. (Job 42:5)

C’est à dire qu’il a maintenant une connaissance empirique de la vie et de sa source qu’est Dieu, et non plus seulement une connaissance théorique. Et cela affine considérablement la découverte de Dieu et du monde, de leurs fonctionnements réciproques. Cela aide à reconnaître dans le monde et en nous-même ce qui pourrait être divin et mérite d’être éveillé, écouté, libéré. Et de démasquer ce qui est sauvage et ceux qui se prend pour Dieu. Amen

vendredi 22 février 2019

VOTRE INCRÉDULITÉ, VOTRE FAIBLESSE DANS LA FOI VOUS EMPÊCHE D'ÊTRE GUÉRI ET SAUVER.


Mt. 17.17 , 20
Mt.13.58

Jésus nous dit : " juste a quand il devrait être là pour que nous puissions entré ou comprendre qui nous sommes vraiment"
Bien aimée, se verset commence par des mots dure a entendre car il n'est pas adressée qu'à ces disciples du temps passé, mais chacun de vous aujourd'hui, fils et filles de Yeshoua.
Le mot incrédule veut dit : qui ne crois pas, qui doute, sans foi, manque de foi, qui a des faiblesse dans la foi .

Aujourd'hui beaucoup d'entre nous sont en Christ, mais avec peut de foi, faible dans la foi et nous ne pouvons  pas dire le contraire..
Frères, sœurs c'est en reconnaissant notre faiblesse devant Jésus que nous pouvons obtenir la force de Yeshoua et c'est en activant notre foi , petit qu'il sois nous pourrons déplacer les montagnes nous dit Jésus.

C'est par la foi que nous pouvons obtenir la guérison. Remarqué bien a chaque fois que Jésus guérissait quelqu'un il disait " ta foi ta sauveur ou guéri"

Aujourd'hui quelques sois les difficultés, quelque sois la maladie, quelque sois votre situation vous avez besoin de mettre votre confiance en Christ , mais aussi de prière de jeûner afin que Dieu puisse prendre le contrôle..
L'Esprit de Yeshoua est là pour vous aider, mais il faut avoir la foi dans la parole de Dieu , mais pas seulement quand vous avez besoin, mais chaque secondes, chaque heures, chaque jours de votre vie.. nous savons que ce n'est pas facile mais vous avez la parole de Yeshoua pour vous aider et son Esprit. Amen
Aujourd'hui et dans les jours avenir quelqu'un parmi vous a ou aura besoin de mettre sa foi en Yeshoua afin d'obtenir la force du tout puissant de l'Alpha et l'Oméga , alors reçois par la puissance du St Esprit ce matin une force mentale, physique et cette force spirituelle dans la foi pour décrété la parole de Yeshoua sur ta vie et celui de ta famille car tout est déjà accompli au nom de Yeshoua. Amen

samedi 16 février 2019

ÊTRES VOUS VRAIMENT PRÊTES A TOUT LAISSER POUR SUIVRE YESHOUA




Matthieu 8:18-22
18 Jésus, voyant une grande foule autour de lui, donna l'ordre de passer à l'autre bord.
19 Un scribe s'approcha, et lui dit: Maître, je te suivrai partout où tu iras.
20 Jésus lui répondit: Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids; mais le Fils de l'homme n'a pas où reposer sa tête.
21 Un autre, d'entre les disciples, lui dit: Seigneur, permets-moi d'aller d'abord ensevelir mon père. 22 Mais Jésus lui répondit: Suis-moi, et laisse les morts ensevelir leurs morts.

Luc 9:57-62 Louis
57 Pendant qu'ils étaient en chemin, un homme lui dit: Seigneur, je te suivrai partout où tu iras.
58 Jésus lui répondit: Les renards ont des tanières, et les oiseaux du ciel ont des nids: mais le Fils de l'homme n'a pas un lieu où il puisse reposer sa tête.
59 Il dit à un autre: Suis-moi. Et il répondit: Seigneur, permets-moi d'aller d'abord ensevelir mon père.
60 Mais Jésus lui dit: Laisse les morts ensevelir leurs morts; et toi, va annoncer le royaume de Dieu.
61 Un autre dit: Je te suivrai, Seigneur, mais permets-moi d'aller d'abord prendre congé de ceux de ma maison.
62 Jésus lui répondit: Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n'est pas propre au royaume de Dieu.

Un bon sabbat sur les pas de Jésus..Merci a vous de partager ce message...

Voilà un point parmi les différents points dans la Bible qui nous a troublé, et même quelques fois nous a vraiment pousser à bout et tirer de partout. Elle n’est là pas seule car il y en a plusieurs passages dans la parole de Dieu qui nous place quelques fois devant le mur de notre vie afin de prendre des bonnes résolutions et surtout quand on est un jeune disciple, jeune chrétien dans l’évangile.

Dans ces deux versets (Mt 8 ; Lc 9) nous avons quelques phrases qui semblent difficiles à comprendre, difficile pour prendre une décision, car nous pourrons dire en nous-même « le Maître a mis la barre très haut ». Nous sommes tous passer par là au début, et même maintenant, car ces paroles ne sont pas seulement quand nous sommes jeunes en Christ, mais elle est sur notre chemin tout au long de notre vie si nous avons pris la décision de suite Yeshoua. Amen

Yeshoua n’a jamais voulu faire quelques choses pour détruire la famille et la relation dans famille, car Lui était aussi un homme de famille sur terre. Mais nous devons nous rappeler aussi comment il avait répondu à sa mère et son père quand il l’avait perdu.
« Il leur dit : Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père ? » (Luc 2:48-50)
Même étant enfant Jésus Yeshoua nous donne l’exemple de notre priorité avant tout.

Pourquoi Yeshoua a-t-il osé prononcer des paroles qui va apparemment à l’encontre du quatrième commandement de Dieu ?
Selon Luc 2 : 51, Jésus a obéi à sa mère Marie et à Joseph, son époux. L´ampleur de l´affection qu´il portait à sa mère est devenue évidente à Golgotha : A la croix même, il a honoré Marie en la confiant à la sollicitude de l´apôtre Jean (Jn 19 : 27).

Face au jeune homme riche, le Fils de Dieu a notamment évoqué le quatrième commandement comme étant important en vue de l´obtention de la vie éternelle (Mc 10 : 17-19). Au cours de son ministère public, le Seigneur a réprimandé les docteurs de la loi juifs pour avoir amputé le quatrième commandement de l´obligation d´assister les parents dans leur vieillesse (Mc 7 : 9-13).

Bien-aimée, Dieu est premier. Dieu est le Maître de la vie. Il est le centre de gravité de toute l’humanité. Lorsque la Vie interpelle, la Vie se manifeste, on ne peut qu’y adhérer !
Mais pour comprendre la dimension spirituelle avant tout de ces paroles dans (Mt 8 ; Lc 9) de Yeshoua à l’heure des choix.
La Bible nous dit « donna l'ordre de passer à l'autre bord… Pendant qu'ils étaient en chemin, il s’en va vers Jérusalem ».
Le Maitre Yeshoua « prend résolument la route » nous dit l’évangéliste, car il sait très bien ce qui va lui arriver, tout comme nous aussi aujourd’hui, cela devrait nous interpeller de savoir quelle route ou quel chemin de la vie que nous décidions de prendre aujourd’hui.

Frères, sœurs, Yeshoua n’est pas différent de nous, simplement il passe avant nous ce que nous allons passer, mais c’est Lui qui nous sert de bouclier et qui est le bulldozer, le Caterpillar qui a frayé le chemin pour nous, Il est la porte.
Lui aussi, Il fallait, à ce moment, qu’il pense à sa propre vie ou à sa mère restée derrière lui, en Galilée, pensez-vous qu’il aurait pu continuer ? Il demande à ceux et celles, à vous aujourd’hui qui le suivent exactement la même chose qu’il s’applique à lui-même.

Nous voyons que dans les versets choisis par le Saint-Esprit, que cela concerne tout type de personnes (un homme, un scribe, les disciples, un autre) et vous aussi.
Ils viennent tous avec les mêmes sentiments de cœur, tout comme on vient d’être amoureuse pour la premier fois prête à suivre au bout du monde, « je te suivrai partout où tu iras. » Sans réellement comprendre quel est l’objectif de suivre.

Yeshoua répond, à nous et a tout ceux qui sont prête au début de leur décision ‘le suivre partout’ « le Fils de l'homme n'a pas un lieu où il puisse reposer sa tête. » Donc après avoir entendu et compris cela. Somme nous, toujours, partent pour le suivre ? Car beaucoup d’entre nous veulent suivre Jésus, mais quand l’épreuve ou les mauvaises situations sont là, ils veulent dire à Dieu que ce n’était pas cela qu’il avait compris et qu’il quitte la barque pour passer à l’autre bord.
Oui bien-aimé, il y a plusieurs façons de comprendre ‘passer à l’autre bord’ et nous avons besoin du Saint-Esprit pour comprendre à travers la parole de Yeshoua.

Yeshoua ne regarde pas à tes problèmes, ni à ce qui te fait peur, car il nous dit : à toi et à moi « Suis-moi. » Et nous sommes tout aujourd’hui comme ces gens, ces disciples attacher au monde en lui demandant de nous laisser du temps pour faire…Quoi ! Nous ne savons pas ! Car beaucoup d’entre n’ont pas eu la révélation ces paroles de Yeshoua, que lui-même est l’exemple pour chacun de nous.
Il a quitté ses parents pour aller faire le travail de notre Père et aujourd’hui il nous demande à chacune de nous de reprendre le relais, d’être ce témoin, « Laisse les morts ensevelir leurs morts ; et toi, va annoncer le royaume de Dieu. » Où ! Déjà, dans nos familles, car Dieu ne veut pas que tu quittes comme tu penses, mais comme Lui, il le désire.
Il veut être le premier dans ta vie et le premier dans tout ce que tu auras ou tu vas entreprendre. Amen

Il vous demande de renoncer à un monde (même familial) privé de sens, pour annoncer la venue de ce qui apporte un sens au monde. Il leur demande d’être des dispensateurs de vie, plutôt que de s’occuper des morts.

Bien-aimée, pour conclure, il faut que nous sortions dans tout ce qui nous empêche d’aller annoncer la parole de Yeshoua, sois nous allons ou pas, sois nous donnons à Yeshoua la possibilité de nous reprendre capables aussi d’aller, car de nous-même, cela risque d’être difficile. Amen
N’oublions pas ce qu’il nous dit aussi, qui est très important « Quiconque met la main à la charrue, et regarde en arrière, n'est pas propre au royaume de Dieu. »

Pour conclure, Méditons la suite de l’Évangile de Luc, car il montre, qu'à ces premiers appelés, se grefferont ensuite soixante-dix autres (Lc 10,1-20). Ces appels seront suivis de sept paraboles ayant un sens eschatologique (Lc 10,25-37 ; 12,13-21 ; 13,6-9 ; 16,1-15 ; 16,19-31 ; 18,1-8 ; 19,11-27) important pour notre marche à la suite de Yeshoua. L’intention des versets sont claire : l’heure est arrivée ! Il est temps de se décider (sans attendre à demain) ! Amen.

lundi 11 février 2019

ATTENTION ! AU CHOIX MALHEUREUX DU CROYANT QUI COMME LE CHIEN EST RETOURNE A CE QU’IL AVAIT VOMI.


2 Pierre 2:20-22

20 En effet, si, après s'être retirés des souillures du monde, par la connaissance du Seigneur et Sauveur Jésus Christ, ils s'y engagent de nouveau et sont vaincus, leur dernière condition est pire que la première.
21 Car mieux valait pour eux n'avoir pas connu la voie de la justice, que de se détourner, après l'avoir connue, du saint commandement qui leur avait été donné.
22 Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai: Le chien est retourné à ce qu'il avait vomi, et la truie lavée s'est vautrée dans le bourbier.

Genèse 19:16-22

16 Et comme il tardait, les hommes le saisirent par la main, lui, sa femme et ses deux filles, car l'Éternel voulait l'épargner; ils l'emmenèrent, et le laissèrent hors de la ville.
17 Après les avoir fait sortir, l'un d'eux dit: Sauve-toi, pour ta vie; ne regarde pas derrière toi, et ne t'arrête pas dans toute la plaine; sauve-toi vers la montagne, de peur que tu ne périsses.
18 Lot leur dit: Oh! non, Seigneur!
19 Voici, j'ai trouvé grâce à tes yeux, et tu as montré la grandeur de ta miséricorde à mon égard, en me conservant la vie; mais je ne puis me sauver à la montagne, avant que le désastre m'atteigne, et je périrai.
20 Voici, cette ville est assez proche pour que je m'y réfugie, et elle est petite. Oh! que je puisse m'y sauver,... n'est-elle pas petite?... et que mon âme vive!
21 Et il lui dit: Voici, je t'accorde encore cette grâce, et je ne détruirai pas la ville dont tu parles.
22 Hâte-toi de t'y réfugier, car je ne puis rien faire jusqu'à ce que tu y sois arrivé. C'est pour cela que l'on a donné à cette ville le nom de Tsoar.


Peuple et juste de Yeshoua, quelques fois quand nous sommes trop bien ou trop dans le calme, nous cherchons toujours à comprendre pourquoi ça ne bouge pas, pourquoi, c’est aussi calme et nous nous posons la question : est-ce bien la présence de Yeshoua dans le calme ?
L’homme en lui-même a toujours été attiré par le bruit, ou ça bouge le plus et cela nous a toujours conduit là où nous ne devrons pas être.

Rien ne peut changer ou contredire une déclaration claire et positive de la Parole de Yeshoua.
« Parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé l’Esprit de son Fils dans nos cœurs, criant : Abba, Père ». Galates 4 ; « Tout ce que Dieu fait subsiste à toujours » Ecclésiaste 3.14
Peuple de Dieu, le sceau de l’Esprit n’est-il pas tout entier l’œuvre de Dieu ?

Savez-vous que Yeshoua ne peut « sceller » un incrédule.
Mais un véritable croyant est « scellé » du Saint-Esprit, afin qu’il jouisse pleinement de la relation dans laquelle Yeshoua l’a fait entrer, et qu’il s’approche de Yeshoua dans la joie et la confiance de la foi (Éphés. 2:18).

Bien-aimée, avons-nous la tête si dure ou ne sommes pas assez intelligent pour comprendre que quand Yeshoua nous dit : « N’allez pas, ou ce n’est pas là qu’il nous attend » et que nous faisons le contraire en suivant nos propres convictions.
Oui ! Yeshoua a fait de nous un fils, une fille de l’Éternel, mais pourquoi sommes-nous toujours des rebelles si nous sommes régénérés ou « nés de nouveau ».

Dans la seconde épître de Pierre, il ne s’agit là que de la connaissance de la voie de la justice, sans qu’il soit question des difficultés que nous allons rencontrer en nous-même à travers notre marche et ceux qui nous sera présenter.
En passant par la pratique des vertus chrétiennes, les faux docteurs pour arriver à l’avènement du Seigneur. Il y a et il y aura des épreuves pour vous attester pour vous remettre à chaque fois sur la voie du juste, mais la chaire qui n’est pas complément effacer ou mort viendra à chaque fois vous demander les comptes.

On ne devient pas un chrétien, un disciple ou un juste de Yeshoua que par une simple acceptation de Jésus Yeshoua comme sauveur et Seigneur sans ne pas passer par le baptême d’eau et du Saint-Esprit et ce que Pierre nous dit dans la deuxième épître.

« En effet, si, après s'être retirés des souillures du monde, par la connaissance du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, ils s'y engagent de nouveau et sont vaincus, leur dernière condition est pire que la première. Car mieux valait pour eux n'avoir pas connu la voie de la justice, que de se détourner, après l'avoir connue, du saint commandement qui leur avait été donné.
Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai : le chien est retourné à ce qu'il avait vomi, et la truie lavée s'est vautrée dans le bourbier. » 2 Pierre 2:20-22

Donc, en gros, on pourrait laver un cochon, elle n’en resterait pas moins toujours un cochon, et un chien même si tu le laves, il retournera rouler dans la charogne.
Un tel lavage n’est qu’extérieur, frère et sœur, tout comme l’était la justice dont se vantaient les pharisiens (Matthieu 23:25-28). Un « cochon ou un chien » n’est pas une de ces brebis dont le Seigneur a dit : « Mes brebis écoutent ma voix ».

Alors aujourd’hui chacun de vous peuvent comprendre au mieux ce que Yeshoua nous dit sur « Le choix malheureux du croyant comme le chien est retourné à ce qu’il avait vomi. »

Yeshoua nous a donné tout et a fait tout, afin que nous ne retournions pas dans les souillures du monde. Mais beaucoup de fils et de filles de Dieu finisse par faire demi-tour à cause des faux docteurs de la parole, a causse de leur incrédulité de suivre, d’imiter sans chercher à connaître ce que dit la parole et le Saint-Esprit en eux.
Peur de ne pas être à la page en Christ, peur d’être mise de côté, peur de ne pas être avec ceux qui sont élever, il finit par accepter tout sorte d’herbe sauvage qu’on les donne à manger. (2 Rois 4:39-41).

La Bible nous donne beaucoup d'exemples de Choix malheureux, prenons celui de Lot un juste qu’on a cru qu’il ne l’était pas, et il faut attendre dans la seconde épître de Pierre pour apprendre qu'il était juste.

En Genèse, nous voyons que Lot et Abraham ne peuvent plus marcher ensemble. Malheureusement, cela arrive encore pour des croyants de nos jours. Malheureusement, cela arrive encore pour des croyants de nos jours. « Deux hommes, peuvent-ils marcher ensemble s'ils ne sont pas d'accord ? » (Amos 3 : 3)
Lot, attiré par ce qu'il voit, se dirige vers le monde corrompu et violent de Sodome. Il dresse ses tentes jusqu'à la porte de cette ville (lieu où les décisions sont prises). Mais l'Éternel a pitié de lui et le délivre, presque malgré lui (Gen. 19 : 16).
Mais voilà que Lot refuse encore une fois d'aller vers la montagne. Il porte ses regards vers une petite ville. Il ne peut supporter l'atmosphère purifiée par la proximité avec Dieu. C'est une nouvelle fois un choix malheureux.

Bien-aimé fils et filles de Yeshoua, c’est la conformité au monde qui dépouille le croyant de ses qualités de témoin.
Tout cela arrive à cause du mot « participation » qui a deux sens. Une participation intime, comme s’il s’agit d’une nature ou d’un caractère ainsi que l’on dirait d’un fils ou d’une fille au père. Puis il y a une participation extérieure dans le sens d’un associé qui a part aux profits ou aux pertes.
Le mot Participation donne en grec « Koinonia » = (Communion : ce qui est commun à plusieurs personnes, association)

Il s’agit donc d’une association ou participation extérieure. Ne peut-on pas prendre Judas comme un exemple de ce genre de participation, tout comme, quand nous retournons à ce que nous avons laissé ou quand nous nous associons avec d’autre personne qui n’est pas de Christ ?
Il avait en effet accompagné le Seigneur ; il avait été envoyé comme les autres apôtres pour prêcher et guérir les maladies. Jusqu’au dernier souper, personne ne considérait Judas comme étant capable de trahir le Seigneur. Jésus seul savait qu’il était « le fils de perdition. »

Pour coulure mes frères et sœurs, nous devons être plus que vacillent et surveillez nos choix que nous faisons, car elle peut être quelques fois fatales pour nous.
Aujourd’hui rappelez-vous que vous goûté à la bonne parole de Yeshoua et les choses que le Seigneur faisait. Il est possible que cela n’aille pas plus loin que votre intelligence ou les sentiments naturels. Si la conscience n’est pas atteinte, une chute arrivera tôt ou tard, et l’absence d’une œuvre opérée dans l’âme sera alors mise en évidence.

Seigneur Yeshoua, que ton amour dirige tous nos pas ! Garde-nous de tourner vers le monde d'autres regards que ceux du voyageur. Que, du péché fuyant la coupe immonde, aux vives eaux nous puissions le bonheur. Amen


dimanche 10 février 2019

LES CRITÈRES DE CHOIX DE YESHOUA NE SONT PAS CEUX DE L'HOMME.




1 Pierre 2:4-5
4 Approchez-vous de lui, pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse devant Dieu;
5 et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus Christ.

1 Samuel 16:7-13
7 Et l'Éternel dit à Samuel : Ne prends point garde à son apparence et à la hauteur de sa taille, car je l'ai rejeté. L'Éternel ne considère pas ce que l'homme considère ; l'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur.
8 Isaï appela Abinadab, et le fit passer devant Samuel ; et Samuel dit : L'Éternel n'a pas non plus choisi celui-ci.
9 Isaï fit passer Schamma; et Samuel dit: L'Éternel n'a pas non plus choisi celui-ci.
10 Isaï fit passer ses sept fils devant Samuel ; et Samuel dit à Isaï: L'Éternel n'a choisi aucun d'eux.
11 Puis Samuel dit à Isaï: Sont-ce là tous tes fils? Et il répondit : Il reste encore le plus jeune, mais il fait paître les brebis. Alors Samuel dit à Isaï: Envoie-le chercher, car nous ne nous placerons pas avant qu'il ne soit venu ici.
12 Isaï l'envoya chercher. Or il était blond, avec de beaux yeux et une belle figure. L'Éternel dit à Samuel : Lève-toi, oins-le, car c'est lui !
13 Samuel prit la corne d'huile, et l'oignit au milieu de ses frères. L'esprit de l'Éternel saisit David, à partir de ce jour et dans la suite. Samuel se leva, et s'en alla à Rama.


Aujourd’hui, le monde est en mouvement naturellement et spirituellement, tous monde a le désire d’obtenir une part, mais quel part ! Est celui que nous désirons dans nos cœurs ou celui qui nous est préparer à l’avance par Yeshoua.
Car Dieu nous dit qu’il a mis deux chemins ou deux portes devant nous et sais à chacun de choisir le bon.

Peuple de Yeshoua ! C’est par grâce, que nous avons été mis à part, sanctifiés pour Christ : c'est le côté et le choix de Dieu.
Nous devons le saisir par la foi de la vérité (en la vérité) : c'est le côté et le choix de l'homme et de sa responsabilité.
Le but final est d'obtenir la gloire de notre Seigneur Jésus Christ Yeshoua, non pas seulement la gloire avec le Seigneur, mais la gloire de notre Seigneur : nous partagerons sa gloire de Fils de l'homme.

Frères, sœurs, le temps est arrivé afin que nous puissions examiner le choix fait par Yeshoua, et ensuite le choix fait par l'homme.

Nous trouvons 33 fois le mot précieux dans la bible (7 fois, le mot « précieux ») dans les épîtres de Pierre, dont 2 fois Christ comme la pierre précieuse.
Le choix divin ne pouvait pas se porter sur un ange pour le fondement de sa maison. Seul son Fils bien-aimé pouvait accomplir ce propos de toute éternité et devenir par son œuvre et en vertu de son humanité, le fondement de cet édifice duquel nous sommes, nous croyants, des « pierres vivantes ».

Dieu a choisi Christ et chacun de vous : « vous approchant du Seigneur comme d'une pierre vivante, rejetée par les hommes, mais choisie et précieuse auprès de Dieu, et vous-mêmes, comme des pierres vivantes, édifiez-vous pour former une maison spirituelle, un saint sacerdoce, afin d'offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ.» (1 Pier. 2 : 4-5)

Aujourd’hui être-vous vraiment conscient que Yeshoua vous a choisie après lui pour être cette maison spirituelle, un saint sacerdoce, agréable à Dieu par Lui-même. Oui ! Telle est le choix de Yeshoua pour vous et moi.
Alors pourquoi sommes-nous tant attirées par le choix de l’homme, tandis que nous avons déjà mieux sans le savoir ?

C’est Yeshoua qui choisit ses instruments et non l’homme, pour accomplir une œuvre qu'Il leur confie, et pour les faire bénéficier des bénédictions qu'Il leur réserve. Par exemple, il a choisi Abraham (Néh. 9 : 7) pour être le père de la semence de la foi.

Alors croyez-vous toujours que l’homme peut choisir l’homme pour l’œuvre de Dieu si ce n’est pas Yeshoua lui-même qui l’envoie. Fait attention et ayez le discernent des esprits.

Nous savons que Yeshoua choisit qui Il veut pour faire ce qu'Il veut : c'est sa souveraineté. Il y a des critères pour le choix divin de Yeshoua et nous ne pouvons pas les zapper ou les contourner. (Deut. 7 : 6-8).

Bien-aimés, les critères de Yeshoua ne sont pas ceux de l'homme. L'homme se fie à l'apparence, comme Samuel devant les fils d'Isaï, (et d’autres serviteurs de Yeshoua aujourd’hui). 1 Sam. 16 : 7-13
L’exemple dans Nombres 17, dans l'histoire de la verge d'Aaron qui bourgeonne parmi les douze autres verges, qu'au moment où que Dieu fait son choix, les hommes ne sont pas là. Amen

Nous pensons aussi au choix des disciples : avant ce choix, le Seigneur Jésus Yeshoua a passé la nuit en prière (Luc 6 : 12). Il les a choisis pour être avec Lui (Marc 3 : 14).


Donc voyons aussi les choix de l’homme afin que nous puissions mieux mesurer et faire le bon choix.
Yeshoua nous parle assez bien du choix de l’homme dans Deutéronome 30 : 19-20
« J'appelle aujourd'hui à témoin contre vous les cieux et la terre : j'ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta semence, en aimant l'Éternel, ton Dieu, en écoutant sa voix, et en t'attachant à lui ; car c'est là ta vie et la longueur de tes jours, afin que tu habites sur la terre que l'Éternel a jurée à tes pères, à Abraham, à Isaac, et à Jacob, de leur donner. »

Bien-aimées, si vous ne lisez pas et ne méditer pas la Parole de Dieu, comment pouvez faire le bon choix, car il nous parle clairement sur les deux choix qu’il a placé devant chacun de vous. « J’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction ».
Yeshoua dit à l'homme ce qu'il doit choisir pour sa bénédiction et il faut vraiment être stupide pour choisie mort, la malédiction.
Par conséquent, nous n'avons en fait pas le choix. Si la crainte de Dieu est dans nos cœurs, avec le sentiment de sa grâce qui veut nous bénir, comment choisirions-nous autre chose que ce qu'Il nous montre ?

Adam et Eve dans le jardin d'Eden ont été placés devant un choix. Toi aussi sur la terre, tu es place devant un choix, être sauvé ou pas.

Frères, sœurs, Adam devaient garder et cultiver le jardin. Et vous qu’avez-vous à faire sur terre ?
Est ce pour courir après des ministères, après de la fausse doctrine ou après les biens de la terre !!

Bien-aimées, tout au long de la Parole, on voit cette tâche qui vous a été confiée : garder ce qui lui a été confié. Ainsi est-il dit à Philadelphie par le Saint, le Véritable : « Tu as gardé ma Parole » (Apoc. 3 : 8).

On pouvait dire que c'était pour nos premiers parents, un devoir d'obéissance qui conditionnait leur bonheur, mais elle est aussi pour nous aujourd’hui, car la parole de Yeshoua ne passe pas. Ils, nous avons choisi de désobéir.
Rappelez-vous, par un seul homme le péché est entré dans le monde et par cet homme, le péché a passé à tous les hommes (Rom. 5).

Lorsque Dieu demandait à Abraham d'offrir son fils Isaac, avait-il le choix ? Non, mais chose remarquable, il a obéi.
Balaam est averti par Dieu au sujet des seigneurs de Balak : « Tu n'iras pas avec eux » (Nom. 22 : 12). Mais, attiré par l'argent, il y est allé.
Jonas, au lieu d'aller à Ninive, tourne le dos au chemin ordonné par l'Éternel.

Alors et vous ! Qu’avez-vous choisi aujourd’hui, maintenant ?

Pensons à cette jeunesse d’aujourd’hui face au monde, donnons-nous le bon exemple : Jean dit : « N'aimez pas le monde » (1 Jean 2 : 15). Il n'y a pas le choix. Notre sauvegarde, c'est l'obéissance, qu'il s'agisse de la marche individuelle ou collective. Amen

Arrête de prendre comme excuse les épreuves que vous passez, car votre choix est déjà toute faite dans vos cœurs, car il vous faut une excuse et vous avez mise tout le dot de l’épreuve qui est là justement pour vous empêcher de prendre le mauvais chemin comme Balaam sur ânesse (Nombres 22:22). Yeshoua veux vous stopper mais votre choix est déjà toute fait.

Cela nous fait penser en particulier au mariage : « Ne vous mettez pas sous un joug mal assorti avec les incrédules » (2 Cor ; 6 : 14). Il nous faut obéir. Le Seigneur ne peut bénir que ce qu'Il approuve. Amen

Que le Seigneur nous accorde la grâce d'avoir ce discernement et qu'Il nous donne l'énergie et assez d'amour pour Lui afin de choisir ce qui est approuvé et béni de sa part. Amen


jeudi 7 février 2019

TA FORCE DANS LA PRIÈRE N'EST DUE QU'A TA FAIBLESSE DEVANT YESHOUA




2 Corinthiens 12:7-10 (LSG)
7 Et pour que je ne sois pas enflé d'orgueil, à cause de l'excellence de ces révélations, il m'a été mis une écharde dans la chair, un ange de Satan pour me souffleter et m'empêcher de m'enorgueillir.
8 Trois fois j'ai prié le Seigneur de l'éloigner de moi,
9 et il m'a dit : Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi.
10 C'est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les calamités, dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ ; car, quand je suis faible, c'est alors que je suis fort.


La prière n’est pas une invention de l’Homme même si vous vous rendez compte quelques fois que c’est vous qui parliez à Yeshoua ou que ce sont vos pensées traduites par des mots créer par vous. C’est Yeshoua qui a inventé ce moyen de communiquer avec lui.
Alors, même si vous ne comprenez pas tout de l’efficacité de la prière ni du comment, quel privilégié de la vivre et de la recevoir d’un frère ou d’une sœur.

Bien-aimées, certaines personnes la vivent très mal et tellement imparfaitement, qu’il n’ose ni prier, ni demande qu’on prie pour eux.
Alors, en fait, quelles sont les conditions que le Seigneur considère ? Elles sont peut-être différentes de celles que nous nous imposons.

C’est quoi la faiblesse dans la prière :
« Je ne sais pas prier, même seul : je ne sais pas mettre du temps à part ; je ne sais pas pour qui, pour quoi prier ; j’oublie les besoins des autres ; je ne sais pas louer Yeshoua ni l’adorer ; je ne sais pas trouver les mots qui sont justes ; je ne sais pas développer ma pensée dans la prière ; je ne sais pas être profond ; j’oublie de m’humilier, je ne sais pas demande qu’on prie pour moi et vu mon orgueil (je le reconnais !), je ne veux plus abuser des frères et sœurs, j’ai trop conscience de mon imperfection, de la présence de certains péchés en moi pour croire réellement que Yeshoua peut continuer à m’écouter ; je ne sais pas m’arrêter dans la prière pour demander pardon à Yeshoua parce que je continue à retomber dans les mêmes fautes. En fait, je ne sais pas si je sais prier ou pas ».

Il y a encore d’autre paramètre qui nous fait croire que certains facteurs de nos faiblesses nous retiennent. Et c’est ce tout qui nous fait que nous pensons à cause de la faiblesse de notre prière, du manque de zèle ou de persévérance que Yeshoua ne peut pas nous répondre.

Frères, sœurs, ce sentiment de faiblesse peut nous éloigner de Yeshoua, nous priver de ses bénédictions, mais aussi de la communion avec les autres (à travers la prière en commun). Mais avons-nous raison de nous arrêter sur notre faiblesse ?

Si aujourd’hui vous ne priez pas le Seigneur, vous avez peur de prier où vous avez peur de demander aux autres de prier pour vous, c’est parce que nous ne comprenons certainement pas suffisamment : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Jn 15), dit Yeshoua.

Quelques fois, nous pensons le contraire : « Ce qui importe dans ma prière, c’est qu’elle soit bien construite » ; nous nous fixons sur la forme, l’apparence. Nous nous arrêtons à cette superficialité, que nous nous reprochons. Jésus, Yeshoua au contraire, parle de la prière comme d’un lien vital avec lui.
Mais que voulez-vous ! Il faut que chacun de nous vivre avec nos faiblesses : c’est pour cela que Yeshoua a donné la prière, à cause de nos faiblesses. Prier, c’est faire l’aveu, chaque jour, de notre faiblesse. Amen

Bien-aimées, vous devez savoir que quelques fois ce n’est point vous qui prenez l’initiative de prier, mais c’est l’Esprit de Yeshoua qui nous pousse à prier chaque fois qu’il souligne cette faiblesse. Prier avec d’autres, c’est leur demander de s’associer, pour demander ensemble à Yeshoua son aide. Amen (Romains 15:1).

Mais le Seigneur nous dit de le prier parce que nous sommes faibles. Notre faiblesse en fait nous rétablit dans une vraie relation avec ce Yeshoua d’amour qui veut nous écouter et répondre à nos besoins.

Nous pouvons tout apporter au Seigneur, en attendant tout de lui. Nous pourrons alors vivre la force de Yeshoua à travers notre faiblesse. C’est l’expérience que l’apôtre Paul a faite : « Pour me garder de l’orgueil, Dieu m’a imposé une épreuve qui, telle une écharde, tourmente mon corps. Elle me vient de Satan qui a été chargé de me frapper pour que je ne sois pas rempli d’orgueil. Au sujet de cette épreuve, j’ai prié par 3 fois le Seigneur de l’éloigner de moi, mais il m’a répondu : ‘Ma grâce te suffit, c’est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement’. C’est pourquoi je me vanterai plutôt de mes faiblesses, afin que la puissance du Christ repose sur moi. Je trouve ainsi ma joie dans la faiblesse (…), car c’est lorsque je suis faible que je suis réellement fort » (2 Co 12v7-10).

Frères, sœurs, cet exemple de la vie de Paul a été déterminant pour sa marche avec Dieu et elle doit l’être aussi pour nous aujourd’hui encore plus, car elle nous permettra de découvrir une dimension que nous ne connaissons pas auparavant, même si nous sommes déjà chrétiens. Tout comme Paul :


C’est l’orgueil de Paul, tout comme la nôtre qui l’empêchait de connaître cette puissance que Yeshoua peut donner. L’orgueil est tapi au fonds de nous-mêmes, prêt à s’imposer ; il se manifeste si facilement chaque fois que nous pensons : « Je m’en sortirai seul, j’ai suffisamment de capacités ».

Quelques fois aussi se sont les épreuves qui peuvent nous conduire à l’essentiel, c’est-à-dire : prier et dépendre de Yeshoua (et ça, c’est le contraire de l’orgueil).

Pour que nous puissions comprendre bien cela, Paul utilise ces mots « il m'a été mis une écharde dans la chair, un ange de Satan », car il est convaincu que Yeshoua peut utiliser Satan pour réaliser son plan.
Satan croit influencer Paul et vous-même quelquefois, en envoyant des épreuves lourde, mais en fait, il est l’instrument de Yeshoua, pour faire sortir de vous cette prier de combat, de supplication temp attendu de Dieu, car il nous aime.

Alors la question aujourd’hui : pourquoi craindre l’action du diable alors, puisque nous pouvons être assurés que notre Seigneur Yeshoua est au-dessus de lui et que nous lui appartenons ?

Bien-aimées, le but de Yeshoua n’est pas d’écraser ni nous punir ; son but est de nous amener à le laisser agir en nous, pour que sa puissance nous transforme. Son but n’est pas toujours d’arrêter l’épreuve dans laquelle nous sommes, mais de nous permettre à travers et de dépendre de lui.
À notre grande surprise : Yeshoua, Jésus, ne supprime pas ce qui mine Paul, et vous, mais il tarde même dans sa réponse. Nous savons qu’il n’abandonne pas celui qui dans sa faiblesse se tourne vers lui : « Ma grâce te suffit ; c’est dans la faiblesse que ma puissance se manifeste pleinement ».
Nous préférons être remplis de sa puissance plutôt que de sa grâce ! Mais même s’il veut nous faire connaître sa puissance, c’est sa grâce qui est suffisante dans nos combats : elle parle de son amour immérité, de sa fidélité intangible, de sa présence apaisante. Amen


Le Seigneur Yeshoua nous demande de le prier parce que nous sommes faibles. Notre faiblesse en fait nous rétablit dans une vraie relation avec ce Yeshoua d’amour qui veut nous écouter et répondre à nos besoins.

Alors ne restons pas ignorent, sans nous adresser à Yeshoua ; ne restons pas silencieux (intérieurement ou publiquement) parce que nous ne savons pas prier. En reconnaissant notre petitesse, notre faiblesse, dans la confiance en lui, nous pouvons savoir qu’il agira pour nous, parce qu’il nous aime. Amen