mercredi 26 octobre 2016

ON NOUS A BLESSÉS !






Matthieu 18:15 Si ton frère s'est rendu coupable [à ton égard], va le trouver, et convaincs-le de sa faute: mais que cela se passe en tête-à-tête. S'il t'écoute, tu auras gagné ton frère.”

Bien aimés, ce n'est pas tout qui pour la gloire de Dieu "discerne"..Bien que nous passons des moments formidables ensemble entre frères, soeurs et amis comme dit Yeshoua, il y a aussi des moments plus douloureux, des moments de conflit et de difficulté.
Ephésiens 4:26 nous donne une des directive que nous devons garder: "Quand vous vous mettez en colère, ne péchez point." Il nous a encouragé à être honnête les uns avec les autres et partager nos sentiments et cela dans les limites de ce qu'enseigne la bible. Oui mon frères, mes soeurs,quelquefois nous nous blessons entre nous, mais cela arrive avec une simplicité que satan nous empêche de le voir afin de nous éviter d’aller demander pardon. J’attire votre attention se matin aussi, afin de vous dire que nous sommes à l’heure du numérique et des réseaux et surtout (Facebook) ou nous faisons toutes choses et voyons tout et par là aussi les disciples de Christ se trouve souvent confronté à se blesser entre eux sans le savoir.
(Même sur le reseau sociaux nous sommes en Christ et nous sommes frères, soeurs et greffé sur le même corps de Christ ) Amen

Yeshoua nous dit ce matin que le corp de Christ ne doit pas ériger de barrières définitives, elle doit toujours garder les portes ouvertes et la lumière allumée.
Le corp de Christ (les disciples) ne se résigne jamais à la perte définitive d’un frère ou d’une soeur. Elle se montre toujours capable d’accueillir, de pardonner, de se réconcilier, de permettre le retour de celui ou de celle qui s’est éloigné. Et il doit y avoir un air de fête lorsque la soeur ou le frère qui a quitté le corps de Christ (la famille) pour aller vivre au loin réapparait à l’horizon (histoire du retour de l’enfant prodigue).

L’homme d’aujourd’hui ou le frère, est porté à un individualisme à toute épreuve : «chacun pour soi.» Dans l’évangile, le Christ condamne cette attitude et nous rappelle que nous sommes  «les ambassadeurs du royaume sur terre». Nous sommes responsables les uns des autres. Dans la lettre aux Romains, l'apôtre Paul a une phrase extraordinaire: «N’ayez de dettes envers personne, sinon celle de l’amour mutuel. Car celui qui aime autrui a de ce fait accompli la Loi.» (Rm 13, 8).

Bien aimés,Il y aura toujours des tensions dans les couples, entre parents et enfants, avec nos amis, nos voisins, nos collègues de travail. Malheureusement, dans certains groupes, dans certaines familles, les ruptures durent pendant des années et parfois ne disparaissent qu’avec la mort de ceux et celles qui les ont entretenues. Certains refusent simplement de se réconcilier. Dans ces situations de conflits, le chrétien disciple ne doit jamais se résigner à la perte de quelqu’un. Aujourd’hui, Jésus nous propose une façon de faire pour essayer de résoudre les difficultés de communication qui apparaissent entre nous : la correction fraternelle. Dans notre mentalité moderne, cela semble insolite, mais à bien y penser, c’est peut-être la manière la plus efficace de régler les conflits.
Pour le Christ Yeshoua,  l’amour de l’autre est ce qu’il y a de plus important.
Le but de la correction  est d’éviter que l’autre ne soit humilié et marginalisé. Le corp de Christ dont les disciples qui s’efforce de la pratiquer connaît bien la parabole «de la poutre dans ton oeil et de la paille dans l’oeil du voisin». (Matthieu 7, 1-5) Lorsque nos rencontrons quelqu’un qui a péché, nous dit le Christ, nous devons avoir la même attitude que le père de l’enfant prodigue qui le reçoit à bras ouverts, montre à tous qu’il est toujours le fils bien-aimé.

Frère, la société actuelle nous pousse dans la direction d’un individualisme anarchique et le bien commun vient loin derrière. Pour le Christ, l’amour de l’autre est ce qu’il y a de plus important. «Si tu apportes ton offrande à l’autel et te souviens que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande, va d’abord te réconcilier avec ton frère, puis reviens présenter ton offrande» (Matthieu 5, 23-24). C’est dans ce climat de réconciliation que Yeshoua nous invite à ce jour et ce matin, si tu sais que tu a un conflit avec un frère une soeurs quelque sois dans la vie ou sur un reseau sociaux, il est temps de porter la correction par le biais de l’amour de Yeshoua : Si ton frère ou ta sœur a commis un péché, va lui parler seul à seul...

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