Exode 17.8-16 …” 11 Lorsque Moïse levait la main, Israël était le plus fort; et lorsqu'il baissait la main, Amalek était le plus fort. 12 Comme les mains de Moïse devenaient lourdes de fatigue, ils prirent une pierre qu'ils placèrent sous lui et il s'assit dessus. Aaron et Hur soutenaient ses mains, l'un d'un côté, l'autre de l'autre. Ainsi, elles restèrent fermes jusqu'au coucher du soleil, 13 et Josué fut victorieux d'Amalek et de son peuple au tranchant de l'épée…..
En relation avec les murmures, les querelles des fils d’Israël dans le désert, trois choses importantes sont donnés en Exode 16 et 17. La manne ( Christ devenu chair) ; le rocher frappé dirige nos regards sur (Christ crucifié) ; et dans l’eau qui jaillit du rocher frappé, nous voyons le (Saint Esprit). On ne peut pas inverser l’ordre de ces trois choses sans détruire l’image tout entière. Effectivement, l’ordre des événements n’est la plupart du temps pas sans importance aujourd’hui dans ce siècle que nous vivons. Une telle impression est encore renforcée quand nous en arrivons au second chapitre d’Exode 17 et nous découvrons un quatrième élément : À Rephidim, après avoir bu l’eau vive, le peuple de Dieu se trouve immédiatement engagé dans le combat contre les ennemis.(Ex. 17:8-10)
Bien aimés, frère, soeurs et amis
Lorsque Dieu donna la manne à son peuple terrestre, le sabbat fut introduit : Christ amène l’âme au repos, il conduit son peuple au repos éternel de Dieu. Amen! Mais après avoir bu « le breuvage spirituel » et avoir ainsi été fortifié, le peuple se trouve engagé dans le combat contre l’ennemi.
Frères, c’est précisément ce que nous avons à apprendre ici et que nous vivons quelques fois, mais que nous avons parfois de la peine à réaliser et rachetés, lorsque nous avons été délivrés de l'esclavage de Satan ou nous nous trouvons dès lors du côté de Christ, et immédiatement engagés dans le combat de la vie.
Il se peut que nous soyons aussi peu attendus que les fils d’Israël autrefois qui étaient préparés. Lorsqu’ils avaient été délivrés de la puissance de Pharaon par le bras fort de l’Éternel et avaient traversé la mer Rouge, ils ont pu penser qu’ils allaient entrer tout de suite dans le pays promis et jouir de son lait et de son miel , comme nous disciples de Christ croyons après avoir accepté Christ tout est Ok ( Ex. 3:8).
Mais au lieu de cela, ils se sont retrouvés dans le désert et confrontés, après avoir été fortifiés par la manne et l’eau du rocher, à un ennemi puissant ( Amalek) et son peuple. Bien aimés je suis certains que maintenant vous commencer a voir la lumière sur votre situation de disciple.
Certes, Dieu les avait amenés à lui (tout comme il fait avec nous aujourd’hui et encore) ; il leur dit en effet un peu plus tard : « Vous avez vu ce que j’ai fait à l’Égypte, et comment je vous ai portés sur des ailes d’aigle, et vous ai amenés à moi » (Ex. 19:4). Combien vous être précieux pour moi ! Et cependant, quant à leurs circonstances extérieures et à leurs expériences, ils étaient toujours dans le désert avec toutes ses privations et tous ses dangers.
Pour nous, bien-aimés, il n’en va pas autrement. Nous sommes rachetés par la grâce, nous avons été amenés « à Dieu » ; mais il n’en demeure pas moins que nous nous trouvons aussi dans le désert. Toutefois, à cela s’ajoute quelque chose que nous n’avons pas connu au début.
Par la réception du Saint Esprit en vertu de l’œuvre accomplie de Christ, nous n’avons pas seulement été fortifiés et rafraîchis afin de poursuivre notre chemin, mais nous avons aussi été rendus capables de combattre contre l’adversaire de Dieu. Nous ne connaissions pas une telle lutte quand nous étions encore en « Égypte, » (dans le monde d’aujourd’hui) et sous la puissance de Satan.
Il y a un point qui nous surprend souvent : Dieu ne nous épargne pas ce combat, le combat chrétien ! Au contraire, il permet à « Amalek » de venir et de nous résister, de sorte que nous nous voyons contraints de nous battre contre lui. Nous entendons, nous aussi, l’ordre de Dieu : « Combats contre Amalek ! ou satan » Et il ne s’agit pas là seulement d’expériences personnelles, mais nous le constatons aussi dans l’histoire de l’Assemblée de Dieu. Le combat des premiers chrétiens contre les puissances du mal a commencé peu après le don du Saint Esprit au jour de la Pentecôte et la constitution de l’Assemblée.
Naturellement toute une série de questions surgissent en relation avec notre « combat de tous les jours ». Il convient d’y répondre si nous voulons tirer profit du passage qui est placé devant nous. Quel ennemi « Amalek » représente-t-il pour nous aujourd’hui ? Pourquoi Dieu permet-il ce combat pour son peuple ? En quoi consiste le combat contre « ce monde » et comment est-il mené ? De quelles ressources disposons-nous pour le livrer ? Combien de temps dure-t-il ? Les versets 8 à 10 de notre chapitre 17 nous permettent, semble-t-il, de trouver la réponse que la parole de Dieu donne à ces questions. Amen
Amalek était un ennemi déclaré des Israélites, il cherchait à arrêter le peuple dans sa progression à travers le désert et, si possible, à l’anéantir. tout comme nous aujourd'hui les disciples de Christ , beaucoup veulent mettre des bâtons dans nos vie pour nous empêcher de faire l'oeuvre de Dieu , mais il y a une choses qu’ils n’ont pas compris que le bâton de Yahvé est toujours maintenu élevé par des soldats de l’Eternel et la victoire nous est déjà donné par Yahvé.
Mon ami si tu es dans ce combat et que tu na pas encore donner ta vie à Jésus, comment veux tu remporter la victoire, si tu a toujours une moitié de toi chez l'ennemi. Je t’invite à faire partie des guerriers de l’Eternel et de mettre de l’ordre dans ta vie aujourd’hui, veux tu accepter Jésus comme sauveur et Seigneur?
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