Jean 10:11-18
11 Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.
12 Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse.
13 Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se met point en peine des brebis. Je suis le bon berger.
14 Je connais mes brebis, et elles me connaissent,
15 comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis.
16 J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger.
17 Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre.
18 Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre: tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père.
Introduction:
Dans ce monde, nous savons que la vie pastorale à été, après la vie du chasseur... Pour mieux entre dans le sujet : avant qu’un homme puis devenir un père de famille, au part avant il été un chasseur, ce qui dit, il a été une sorte de papillon, d’abeille ou encore un colibri qui va aller butiner ou goûté à toute sorte de fleur et finit par un jour trouve la fleur. Masculin ou féminin aujourd’hui, vous avez été à un certain moment dans votre vie un chasseur (euse), mais aujourd’hui un responsable (père, mère) au sein d’une famille, nous savons qu’il y a bien d’autre malgré cela continue a chercher et ne veulent pas prendre des responsabilités et finit par, devient des mercenaires près à détruire la famille. Dieu avait déjà une grande vision et c’est pour cela qu’il créa un homme ou une femme et il fonda une famille, dont il aura un père responsable quelles que soient les situations dans cette famille.
Bien-aimés, la bible nous parle de brebis, et de berger, donc tout un ensemble ou l’un est le complément de l’autre car s’il n’y a pas de brebis pas de berger, de la même manière il n’y pas d’enfant sans père.
Essayons de déterminer rapidement le rôle des deux (berger / brebis) :
Le berger (le père, le conducteur, le responsable) son rôle dans le temps est de : Mener pendant la journée aux pâturages et aux abreuvoirs (Ps 23.1-3 Ge. 29.2-7), puis le soir, les parquent dans une enclos de pierres fermés par une porte ( No.32.16). Mais dans certaines saisons le berger les gardait dans le champ matin et soir (Lu.2.8) prêt à les défendre contre les fauves,et mercenaires (1Sa.17.34) et faisait paître ensemble brebis et chèvres (Mt.25.32).
La brebis ( enfant sans responsabilité, obéissant et désobéissant) suivait le berger qu’il connaissait bien a sa voix ou à son odeur. Ils ont toujours été victime des loups, des mercenaires, celui aussi des sacrificateurs (Le.16.3) et aussi bien celui des fêtes, (1Sa 25.18) et particulièrement au dernier repas de pâques de Jésus où il devient ( l’agneau pascal). C’est différent parties de son corps, qu’il soit avant ou après, être la victime était un bien utile comme leur lait, la laine, leur corne des béliers qui était utilisé pour les liquides principalement pour l’huile ( 1Sa 16.1)
Frères, soeurs, il faut que nous puissions entendre aujourd’hui, ce préalable que nous donne Jean : " Moi seul, je suis le Bon Berger " dit Jésus. Ceci doit être posé afin que l'on ne puisse pas se tromper dans la suite !
Il n'y a pas d'autre Bon Berger, pas d'autre bon pasteur que le Christ. Le Bon Berger donne sa vie pour ses brebis. C'est le poteau du vendredi saint et la résurrection de Pâques qui doivent complètement nous ouvrir les yeux aujourd’hui. En face du Bon Berger, il n'y a donc que des mercenaires, des personnes embauchées contre rémunération pour accomplir un travail. Et ces personnes, souvent, exercent un droit de possession, d’autorité sur les enfants de Dieu qui n’est pas à eux, car il est juste là pour les aimer, les enseignés, les exports dans l’amour en sorte les faires paître. Ou quelquefois certain se place en retrait quand il y a danger et pense simplement à leur business, leur argent et oublie pourquoi ils ont été appelés par Dieu. Amen
Bien-aimés, pour comprendre ce que Jésus reproche à ces mercenaires, il faut savoir quel est l'ennemi de ces bergers qui n'en sont pas. Cet ennemi, c'est le loup. Le loup qui attaque les brebis, les disperse, qui empêche le troupeau de rester ensemble autour du berger. Le mercenaire, c'est celui qui conduit le troupeau parce qu'il en a reçu l'ordre ; c'est celui qui conduit le troupeau contre des biens matériels. Il n'est pas le propriétaire des troupeaux. Et aujourd’hui fières il y a beaucoup de mercenaires qui pompent et appauvrir le troupeau sans jamais penser à l'ais faire se reproduire afin d’avoir les fruits.
Et l'on peut comprendre que lorsque survient le danger, il fasse le service minimum. En fait, on pourrait presque dire, le mercenaire, c'est celui qui va au maximum sauver les meubles, essayer de rassembler ce qui reste du troupeau une fois que le loup est passé.
Ce selon l'Évangile de Jean, ces mercenaires, ce sont ceux qui, au Temple de Jérusalem et dans les synagogues, prétendent conduire le troupeau. Je ne pense pas qu'il faille comprendre cela comme une accusation de mauvaise volonté de leur part. Ils font ce qu'ils peuvent, mais la séduction de leur chair, et leur orgueil les a conduit à fixer leurs yeux sur autre chose, qu'ils en ont oublié l'amour de Dieu pour son peuple.
Bien-aimés, ils ne sont que des mercenaires, puisqu'il n'y a qu'un seul Bon Berger. (Je.10.11) Nous devons comprendre cela afin que nous ne fixons nos yeux sur celui qu'il ne faut pas, il n'y a qu'un seul berger, qu'un seul Bon Berger, et nous lui sommes tous redevables, car il a été sur le poteau pour nous Yeshoua. Lui seul, Christ peut lutter contre la violence des hommes, et celui du monde, la politique ne peut rien pour vous, se sont que des bas de mensonge ou les ténèbres se cachent. Seul le Christ peut lutter contre la dispersion et peut rassembler le troupeau et le maintenir rassemblé. Amen ! Car aucun de nous n’est capable de le faire aujourd’hui s’il vient de son propre intérêt.
Le Bon Berger a une tout autre approche du troupeau et des brebis.
Pour lui, tous sont des brebis appelées à être membres du troupeau. Tous. Sans exception. Oui, mon frère, ma sœur quel que soit ton passé, tes antécédents, ta pauvreté, ta maladie, ton aveuglement, ta vie, ta race, je te dis que tu fais partir de ce troupeau à Jésus " J'ai encore d'autres brebis, dit-il, qui ne sont pas dans cette bergerie. Celles-là, il faut que je les amène. Elles entendront ma voix et il y aura un seul troupeau. "
Bergers, brebis, il n'y a qu'une seule chose qui compte, c'est l'amour. L'amour que Dieu a pour tous et l'amour que Dieu a manifesté d'abord auprès de Jésus.
Cet amour a une conséquence. Cette conséquence, elle nous est donnée par le seul vrai berger : le seul vrai berger Jésus Yeshoua qui a donné sa vie pour ses brebis.
Toi Berger pasteurs, il est temps que vous aussi fixé les yeux sur Jésus et que vous arrêter de contrôle la vie de vos brebis comme s’ils doivent marcher selon vos convictions, et non votre rôle est a revoir.
Si vous regardez vraiment à Jésus, berger, vous lui demanderez pardon (repentir) pour votre conduit et de même pardon à vos brebis, car toute brebis blessée doit être soignée, comme David faisait avec l’huile...
Conclusion
C'est peut-être la chose la plus difficile à vivre berger, brebis, surtout lorsque le loup rôde.
Pourtant, Jésus nous a montrées que l'on pouvait affronter le loup et être vainqueur. Donner sa vie et la reprendre. Ne pas la garder comme si elle était une sorte de trésor que l'on doit égoïstement conserver pour soi-même. Mais quelque chose que l'on se doit de donner. C'est dans ce don même que la résurrection peut arriver.
Amen
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