Marc 15 : 21
Ils forcèrent à porter la croix de Jésus un passant qui revenait des champs, Simon de Cyrène,...
Luc 23 : 26
Comme ils l'emmenaient, ils prirent un certain Simon de Cyrène, qui revenait des champs, et ils le chargèrent de la croix, pour qu'il la porte derrière Jésus.
Aujourd’hui beaucoup d’entre nous veut aider Dieu ou encore faire quelque choses pour le plaire sans écouter ou entendre Dieu. Nous partons en promenade ou au travail, et c’est ainsi que, au hasard que nous rencontrons quelqu’un qui a besoin d’une Parole de Dieu pour être fortifié dans son combat de tous les jours. Alors nous disons que Dieu nous a permis de parler de l’Évangile à une personne que probablement, nous ne reverrons jamais, mais que nous croyons que Dieu va faire la suite.
Bien-aimés, pour vous dire que le hasard n’est ni dans la parole de Dieu ni dans son vocabulaire. Car le nom de Simon en grec = "qui écoute, qui entend"
Comme son nom l’indique, Simon de Cyrène était originaire de la Cyrénaïque en Lybie, en Afrique du Nord où il y avait une colonie juive. Simon était-ce qu’on appellerait aujourd’hui un "émigré" ; 1300 km environ le séparaient de Jérusalem.
Et voilà que nous le trouvons à Jérusalem où il était revenu. Comment ? Pourquoi ? Nous ne le savons pas. Mais sans doute assez définitivement, car il avait acquis un champ qu’il cultivait. La fête de Pâques approchait. Ce matin-là, il s’était levé très tôt pour travailler son champ avant la chaleur du jour, et vers les huit heures, huit heures et demie, il s’est dit : "Assez fait pour aujourd’hui".
Nous nous demandons jusqu’à maintenant pourquoi cet homme s’est-il arrêté à ce moment-là et pas cinq minutes plus tôt ou cinq minutes plus tard ?
Pourquoi en rentrant chez lui a-t-il pris cet itinéraire-là ? Nous aussi bien-aimés cela nous est déjà arrivé de nous poser ses questions quand nous sommes tombés sur quelque chose de grave ou autres qui risque de nous mettre hors de nous. Il aurait pu faire un petit crochet, prendre le chemin le plus court, après un travail dur dans son champ et avoir envie d'entrer rapidement à la maison...
Mais non, il est passé par-là et, par hasard, il est tombé nez à nez avec un cortège de condamnés à morts entourés de soldats romains et d’une grande foule de gens qui suivaient. Et comme l’un des trois condamnés, portant sa croix trop lourde, semblait épuisé et incapable de poursuivre son chemin, un des soldats romains qui devait l’aider à porter sa croix, n’a rien trouvé de mieux que de réquisitionner le premier passant ; et le hasard a voulu que ce soit Simon de Cyrène qui passait par-là. (Marc 15 : 21).
Bien-aimés, Yeshoua n’est pas porté, mais il chemine lui-même du lieu de la flagellation au lieu de la crucifixion, en portant sa croix (Mt 27.33)
Il a volontairement accepté cette étape pour notre bien. Il a enduré toutes les épreuves par amour pour nous, buvant la coupe jusqu’à la lie (Marc 10.38).
Lui prenant sa croix, ils ont contraint Simon de Cyrène à la porter. Pouvons-nous aussi être prêts à porter la croix que Yeshoua nous a destinée, et la porter chaque jour, en le suivant avec bonne humeur !
Frère, sœur, voilà qu’une grâce se manifesta sur Simon de Cyrène, car Dieu le choisit à dessein sans son consentement pour participer à l’œuvre de Dieu en portant la croix de Jésus, Amen
Méditons un peu ensemble juste un instant et laisser nous conduire pas le St-Esprit.
En donnant la croix à Simon qui sort du champ, comme tout agriculteur, il on toujours une petit collation de pain et d’eau , alors ou est passé cette collation et peut être son outillage de champ ? Certainement jeté par les soldats parce que le port de la croix devenait une priorité pour Dieu. Simon était désintéressé à tout ce qui se passait, mais Dieu voulut l’y impliquer. Mais cette transition ne pouvait se passer si vulgairement.
Bien-aimés essayons de revoir la scène : on arrache sa collation (sa gamelle) et son outil du champ de manière violente, car les soldats le forcèrent ; il nous est raconté que les Juifs descendirent Yeshoua de la croix pour le mettre au tombeau parce que le sabbat allait commencer, tout en croyant que c'est pour cela que Dieu fait en sorte que Simon soit privé de sa gamelle du samedi ; il est soumis à un jeûne forcé, Dieu le privait de la nourriture physique pour l’alimenter spirituellement. Simon ne connaissait son nouveau sort puis qu’il rentrait du champ et ne savait rien de tout ce qui se passait ?
En portant la croix, certainement la partie arrière qui devait traîner à terre par suite de l’affaiblissement de Yeshoua, le peuple pouvant pensé à un autre malfaiteur ajouté à la liste des trois autres, Simon devait être troublé en son for intérieur, rempli d’interrogations ; il était pourtant sur le chemin de la gloire, car participant personnellement à l’accomplissement de l’œuvre du salut, mais dans l’ignorance.
Bien-aimés, quelle situation pour un homme qui sort du champ que Dieu a appelé, comme nous aujourd’hui, car la seule différence en Simon et nous aujourd’hui, lui, il ne savait pas qu’il devait porter la croix, mais toi mon frère, ma sœur, tu ne peux pas dire que Yeshoua ta pas parler de ta croix que tu dois porter ( Matthieu 16:24 “Alors Jésus dit à ses disciples : si quelqu'un veut venir après moi, qu'il renonce à lui-même, qu'il se charge de sa croix, et qu'il me suive.”). De même, nous voyons que quand Simon porte la croix, il suit toujours le maître, car la Parole dit “ ils le chargèrent de la croix, pour qu'il la porte derrière Jésus”, alors nous revoyons encore une fois au verset Matthieu 16:24, qui te demande de le suivre avec ta propre croix.
Conclusion
Bien-aimés, sans le vouloir, la grâce de Dieu conduit Simon sur le chemin de la croix jusqu’au lieu de l’accomplissement des desseins éternels de Dieu ; aujourd’hui êtes vous prête vraiment à porter la croix et suivre Yeshoua sur ce chemin, je dis bien porter la croix, pas celui du chemin croix catho, sans se plaindre, sans pleurer, ou appeler son pasteur, le prophète de l’Éternel du coin, en plein milieu de son sommeil pour lui dire que rien ne va, je suis attaqué.
Avez-vous vue ou lue, Simon de Cyrène pleurer ou se plaindre, car il pouvait dire qu’il ne fait pas partir de ceux qui suivaient Yeshoua où il ne connaît rien de cela, car il sortait de son champ, donc il écoute et obéit comme Yeshoua à son Père.
Simon a perdu son boire et manger champêtre pour partager la souffrance de Christ en vue du salut des hommes ; et vous disciple, chrétien du jour êtes-vous prêt à prendre cette décision sans qu'on vous la demande ?
Alors toi frère, sœur, si vous être combattu par la sorcellerie, sache que Yeshoua a porté la croix pour toi et que toi aussi, tu est juste à l'arrière en train de porter l’autre partie et il est en train de t’ouvrir le chemin de ta victoire au Nom de Yeshoua. Reçois ta délivrance. Tout comme Simon de Cyrène
Il y a jamais eu une peine comme sa peine ? Et quand nous voyons de quelle sorte de mort il a été sujet, qu’il nous soit permis de voir de quelle sorte d’amour il nous aimait.
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