Ésaïe 58:7-8
7 Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable.
8 Alors ta lumière poindra comme l'aurore, Et ta guérison germera promptement; Ta justice marchera devant toi, Et la gloire de l'Éternel t'accompagnera.
7 Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable.
8 Alors ta lumière poindra comme l'aurore, Et ta guérison germera promptement; Ta justice marchera devant toi, Et la gloire de l'Éternel t'accompagnera.
1 Rois 17:8-15
8 Alors la parole de l'Éternel lui fut adressée en ces mots:
9 Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j'y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir. 10 Il se leva, et il alla à Sarepta. Comme il arrivait à l'entrée de la ville, voici, il y avait là une femme veuve qui ramassait du bois. Il l'appela, et dit: Va me chercher, je te prie, un peu d'eau dans un vase, afin que je boive. 11 Et elle alla en chercher. Il l'appela de nouveau, et dit: Apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main. 13 Élie lui dit: Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d'abord avec cela un petit gâteau, et tu me l'apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils.
15 Elle alla, et elle fit selon la parole d'Élie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu'Élie.
Bien-aimés dans le Seigneur, quand on pense à Dieu, on pense à quelqu’un d’invisible, qu’on ne peut pas toucher, qu’on ne peut pas sentir…
Quelqu’un qui est très loin, si loin qu’on l’imagine dans le ciel, hors de portée.
Et en même temps, quelqu’un qui est à l’intérieur de nous-mêmes, dans notre cœur, notre esprit, notre conscience. « Plus proche de nous que nous ne le sommes nous-mêmes » .
Rappelons-nous cette prière que Jésus nous a enseignée, et où nous disons notre Père.
Et à ce Père, nous ne demandons ni la lune ni les étoiles…
Nous lui demandons d’être ce qu’il est : c’est-à-dire Dieu pour nous et pour les autres !
Et nous lui demandons, tout simplement notre pain de ce jour, de même afin de partager avec les autres
Frère, soeur, le partage du pain a toujours eu une grande important et de valeur dans la Bible. Nous voyons aussi ce geste de partage où on trouve le pain qui sait fractionné pour former un seul corps avec la foule, et aussi le dernier repas de Jésus avec ses disciples.
Le pain est le corps de Christ, et est aussi la Parole de Dieu que nous devons absolument, recevoir et partager. Puisqu’il n’y a qu’un seul pain, la multitude que nous sommes est un seul corps, car nous avons tous part à un seul pain” (1 Co 10,16-17)
Quelqu’un qui est très loin, si loin qu’on l’imagine dans le ciel, hors de portée.
Et en même temps, quelqu’un qui est à l’intérieur de nous-mêmes, dans notre cœur, notre esprit, notre conscience. « Plus proche de nous que nous ne le sommes nous-mêmes » .
Rappelons-nous cette prière que Jésus nous a enseignée, et où nous disons notre Père.
Et à ce Père, nous ne demandons ni la lune ni les étoiles…
Nous lui demandons d’être ce qu’il est : c’est-à-dire Dieu pour nous et pour les autres !
Et nous lui demandons, tout simplement notre pain de ce jour, de même afin de partager avec les autres
Frère, soeur, le partage du pain a toujours eu une grande important et de valeur dans la Bible. Nous voyons aussi ce geste de partage où on trouve le pain qui sait fractionné pour former un seul corps avec la foule, et aussi le dernier repas de Jésus avec ses disciples.
Le pain est le corps de Christ, et est aussi la Parole de Dieu que nous devons absolument, recevoir et partager. Puisqu’il n’y a qu’un seul pain, la multitude que nous sommes est un seul corps, car nous avons tous part à un seul pain” (1 Co 10,16-17)
Aujourd’hui, nous ne savons plus guère ce que c’est d’avoir faim ni de partager son pain. Nous avons tous plus ou moins de quoi manger et nos supermarchés débordent de nourriture. Pour nos repas des plats appétissants venus du monde entier s’offrent à nous.
Nous sommes rassasiés également de biens de consommation, tablettes, smartphones, TV à la demande, etc… Dont on nous vante la nouveauté et le caractère indispensable, qui nous empêche de revenir à l’essentiel que nous oublions si facilement, le partage de son pain.
Bien-aimés, la bible nous dit : “partage ton pain avec celui qui a faim, et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile ; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable. (Ésaïe 58:7). Combien d’entre nous ont bien compris la signification de cela “Partage ton pain”.
Donc pour comprendre un peu qui est Dieu, il faut savoir ce qu’est le pain. Ce qu’il signifie.
Mais dès qu’on réfléchit à cette question, on se rend compte d’une chose.
C’est que la valeur fondamentale du pain, c’est de faire vivre, d’entretenir les forces de vie. Mais en même temps pour que cette vie soit une vraie et bonne vie, et pas seulement survie, il faut très vite que s’ajoute quelque chose de fondamental.
Et cette chose fondamentale, c’est le partage dans l’amour de Christ
La vraie valeur du pain, c’est d’être partagé, car partager son pain, c’est partager sa vie.
Le pain partagé devient alors une nourriture, dans tous les sens du terme, physique et spirituel.
C’est ce qu’on peut comprendre dans l’histoire du prophète Elie et la veuve de Sarepta
La pauvre femme qu’Elie rencontre a de quoi faire le pain de ce jour. Elle a de quoi faire le pain de la survie pour ce jour. Pour elle-même et pour son fils. Et c’est tout.
Mais le prophète Elie lui demande de partager avec lui ses pauvres provisions. Lui, qui est prophète de Dieu, lui adresse en quelque sorte la même prière que nous adressons à Dieu. Il lui demande : « Donne-moi aujourd’hui le pain de ce jour ! »
En lui demandant cela, il ne cherche pas à accaparer son pain évidemment.
Il ne cherche pas à la priver, ni son fils. Qu’aurait-il à y gagner lui-même ?
En réalité, il l’entraîne dans une aventure, l’aventure du don “Le partage de ton pain” Qui est en même temps une aventure de la confiance.
Elie ne demande pas simplement à cette femme de lui donner du pain. Il lui demande de partager son dernier pain.
Bien-aimés, le dernier pain, cela peut représenter le pain du désespoir pour beaucoup d’entre nous, car après lui, il n’y en a plus d’autres. Après ce dernier pain, c’est la faim, c’est la mort.
Donc Elie demande à la femme de partager avec lui son dernier pain, le pain du désespoir.
Mais pour l’aider ce qu’il lui dit, c’est que dans le partage le pain de désespoir devient pain d’espérance. Par le partage, le pain de la survie devient un pain vivant, c’est-à-dire un pain qui donne à la vie un sens extraordinaire, puisque c’est le sens de l’amour. Amen!
Nous sommes rassasiés également de biens de consommation, tablettes, smartphones, TV à la demande, etc… Dont on nous vante la nouveauté et le caractère indispensable, qui nous empêche de revenir à l’essentiel que nous oublions si facilement, le partage de son pain.
Bien-aimés, la bible nous dit : “partage ton pain avec celui qui a faim, et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile ; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable. (Ésaïe 58:7). Combien d’entre nous ont bien compris la signification de cela “Partage ton pain”.
Donc pour comprendre un peu qui est Dieu, il faut savoir ce qu’est le pain. Ce qu’il signifie.
Mais dès qu’on réfléchit à cette question, on se rend compte d’une chose.
C’est que la valeur fondamentale du pain, c’est de faire vivre, d’entretenir les forces de vie. Mais en même temps pour que cette vie soit une vraie et bonne vie, et pas seulement survie, il faut très vite que s’ajoute quelque chose de fondamental.
Et cette chose fondamentale, c’est le partage dans l’amour de Christ
La vraie valeur du pain, c’est d’être partagé, car partager son pain, c’est partager sa vie.
Le pain partagé devient alors une nourriture, dans tous les sens du terme, physique et spirituel.
C’est ce qu’on peut comprendre dans l’histoire du prophète Elie et la veuve de Sarepta
La pauvre femme qu’Elie rencontre a de quoi faire le pain de ce jour. Elle a de quoi faire le pain de la survie pour ce jour. Pour elle-même et pour son fils. Et c’est tout.
Mais le prophète Elie lui demande de partager avec lui ses pauvres provisions. Lui, qui est prophète de Dieu, lui adresse en quelque sorte la même prière que nous adressons à Dieu. Il lui demande : « Donne-moi aujourd’hui le pain de ce jour ! »
En lui demandant cela, il ne cherche pas à accaparer son pain évidemment.
Il ne cherche pas à la priver, ni son fils. Qu’aurait-il à y gagner lui-même ?
En réalité, il l’entraîne dans une aventure, l’aventure du don “Le partage de ton pain” Qui est en même temps une aventure de la confiance.
Elie ne demande pas simplement à cette femme de lui donner du pain. Il lui demande de partager son dernier pain.
Bien-aimés, le dernier pain, cela peut représenter le pain du désespoir pour beaucoup d’entre nous, car après lui, il n’y en a plus d’autres. Après ce dernier pain, c’est la faim, c’est la mort.
Donc Elie demande à la femme de partager avec lui son dernier pain, le pain du désespoir.
Mais pour l’aider ce qu’il lui dit, c’est que dans le partage le pain de désespoir devient pain d’espérance. Par le partage, le pain de la survie devient un pain vivant, c’est-à-dire un pain qui donne à la vie un sens extraordinaire, puisque c’est le sens de l’amour. Amen!
Oui mes frères, soeurs, c’est ici là que je veux vous retrouver aujourd’hui afin que vous puissiez comprendre vraiment quand vous allez prendre le pain de Dieu, qu’il pour la sainte scène ou dans la parole, il faut que vous ajouter de l’amour quand vous a votre, vous allez la partager.
Car quand yeshoua Jésus à partager son corps pour nous ou avec nous, cela s’est fait dans l’amour pour que nous soyons sauvés pour une vie éternel. Amen
Car quand yeshoua Jésus à partager son corps pour nous ou avec nous, cela s’est fait dans l’amour pour que nous soyons sauvés pour une vie éternel. Amen
Conclusion
Donc par le partage du dernier pain, du dernier jour, devient le premier pain du premier jour, c’est –à- dire le pain d’une vie nouvelle.
Le pain inépuisable d’une vie nouvelle inépuisable puisque c’est le pain de l’amour, c’est le pain qu’on mange ensemble .
Frères, soeurs, comprenez-vous !, partager le dernier pain, ce n’est pas comme partager n’importe quel pain, quand il en reste encore une grande quantité et sait aujourd'hui maintenant que nous devons le faire, pas demain ou attendre une autre fois. .
Cela peut paraître bien plus difficile, évidemment. Car on n’a qu’une envie quand on a faim et quand on n’a plus qu’un pain : c’est de le dévorer sans la partager, et bien non, si tu a bien compris que tu a un Père de compassion, partage la Parole de Dieu dans ton amour avec lui.
Le pain inépuisable d’une vie nouvelle inépuisable puisque c’est le pain de l’amour, c’est le pain qu’on mange ensemble .
Frères, soeurs, comprenez-vous !, partager le dernier pain, ce n’est pas comme partager n’importe quel pain, quand il en reste encore une grande quantité et sait aujourd'hui maintenant que nous devons le faire, pas demain ou attendre une autre fois. .
Cela peut paraître bien plus difficile, évidemment. Car on n’a qu’une envie quand on a faim et quand on n’a plus qu’un pain : c’est de le dévorer sans la partager, et bien non, si tu a bien compris que tu a un Père de compassion, partage la Parole de Dieu dans ton amour avec lui.
Toi ! qui ne connaît pas Dieu et qui veut goûter à ce pain de l’amour, il y a pas dix mille solution, simplement accepte Jesus de tout ton coeur, comme ton Seigneur et sauveur tu aura doit à se pain de vie et tu sera rassasiés comme cette pauvre femme. Amen
Matthieu 5:6 Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés!
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