2 Timothée 4,3-4.
Le temps viendra où les hommes ne voudront plus rien savoir de l’enseignement authentique. Au gré de leurs propres désirs, ils se choisiront une foule de maîtres à qui ils ne demanderont que de leur caresser agréablement les oreilles. Ils détourneront l’oreille de la vérité pour écouter des récits de pure invention
2 Samuel 12:7-9
7 Alors Nathan dit à David: Cet homme-là, c’est toi! Voici ce que déclare l’Eternel, le Dieu d’Israël: «Je t’ai conféré l’onction pour t’établir roi d’Israël et je t’ai délivré de Saül. 8 Je t’ai livré la maison de ton seigneur Saül, j’ai mis les femmes de ton seigneur dans tes bras et je t’ai établi chef sur Israël et sur Juda; et si cela était trop peu, j’étais prêt à y ajouter encore d’autres dons. 9 Alors pourquoi as-tu méprisé ma parole en faisant ce que je considère comme mal?....
Aujourd'hui encore la parole de Dieu n’a point changé d’un iota et n’a point été abolie, Timothée attire notre attention sur les quatre premiers versets de ce chapitre 4 (versets bien frappants !), l’apôtre utilise trois expressions, toutes étroitement liées avec les Écritures, à savoir « la parole » (4:2), « le sain enseignement » (4:3), « la vérité » (4:4).
En contraste avec elles, nous trouvons « les fables » qui sont désirées par ceux qui ne veulent qu’entendre ce qui nourrit et flatte leurs convoitises.
Évangéliste et tout autre ministère de Dieu, aujourd'hui, nous sommes arrivés à un temps très important et crucial pour la parole de Dieu, et cela, particulièrement pour le ministère de l'Évangéliste. Nous devons être comme Timothée prêché la parole, l’amené à peser sur les consciences et les cœurs de ses auditeurs, pour les convaincre, pour les réprimander, pour les encourager ; et nous devons continuer insister dans l’amour et la compassion de Dieu, en temps et hors de temps.
Bien-aimés, plus que jamais l’égoïsme primera en plus. Le monde est en train de perdre la notion et le sens du sacré. Le monde est plongé dans une barbarie et une cruauté conséquentes à l’irrespect généralisé. Nous sommes entrain valorisé l’Argent comme le dieu à encenser et à servir ou certains sons à la recherche du plaisir immédiat comme la fin ultime de toutes choses.
Frère, sœur, dans une société marquée par une telle mentalité, qu’en sera-t-il de l’évangélisation ? À quelles difficultés particulières, les porteurs du message de l’Évangile devront-ils faire face. La suite de la seconde épître de Paul à Timothée y répond !
Frère, sœur, dans une société marquée par une telle mentalité, qu’en sera-t-il de l’évangélisation ? À quelles difficultés particulières, les porteurs du message de l’Évangile devront-ils faire face. La suite de la seconde épître de Paul à Timothée y répond !
Le mot « convoitises » signifie ici simplement « désir » Le temps viendra, dit l’apôtre, où les hommes insisteront pour entendre, non pas ce qui est vrai, mais ce qui leur plaît, et « ils s’amasseront » pour eux-mêmes des docteurs qui leur donneront ce qu’ils veulent. Ce temps est arrivé maintenant.
Bien-aimés, amis croyants, c’est une caractéristique assumée de la Parole de Dieu. Elle n’est pas là pour flatter l’homme. Si Dieu aime passionnément son peuple et ses créatures, il estime que le plus grand bien qu’il puisse leur faire est de leur parler en vérité. Amen
Dieu nous a toujours montrées dès le début dans sa parole, qu’il ne cache rien de la convoitise du mensonge, de la fourberie auquel les êtres humains se livrent, et même les plus grands héros de la foi ne sont pas épargnés. Depuis l’ivresse de Noé, des demi-mensonges d’Abraham, du caractère tortueux d’un Jacob en genèse.
Cela témoigne du penchant de David pour les belles femmes, de son adultère avec Bath-Shéba suivi du meurtre organisé de son mari Urie. Tout ami qu’il fut du roi, Nathan le prophète, après lui avoir raconté l’histoire inventée d’un riche spoliant un pauvre du seul bien qu’il possédât, n’hésitera pas à lui dire : « Tu es cet homme-là, David ! »
Cela témoigne du penchant de David pour les belles femmes, de son adultère avec Bath-Shéba suivi du meurtre organisé de son mari Urie. Tout ami qu’il fut du roi, Nathan le prophète, après lui avoir raconté l’histoire inventée d’un riche spoliant un pauvre du seul bien qu’il possédât, n’hésitera pas à lui dire : « Tu es cet homme-là, David ! »
« Tu es cet homme-là ! » Bien-aimés, voilà bien le verdict que nos contemporains et aujourd’hui, l’ égoïste et l’ imbus d’eux-mêmes comme jamais, ne veulent pas entendre jusqu'à aujourd’hui. Et il faut dire que l’on fait tout en jour pour que, quelque part, nous ne soyons jamais ni responsables, ni coupables de nos crimes.
Quel en est la conséquence « l’esprit moderne » ?
Quel en est la conséquence « l’esprit moderne » ?
Oui aujourd’hui, l’esprit moderne, c'est mélanger à la Parole, « le sain enseignement »,« la vérité » croyant faire du bien par la modernisation, pour ne pas fraser certain d’entre nous afin de les garder parce qu’il donne une grosse dîme, ou celui qui a une bonne classe sociale. La parole de Dieu est pour tout monde et toute classe sociale, comme nous avons vu avec David ou l’Éternel lui rappelle les choses. “9 Alors pourquoi as-tu méprisé ma parole en faisant ce que je considère comme mal ? “ ( 2 Samuel 12.9)
Mais à quoi attribue-t-on le mal que nous commettons tous : mensonge, convoitise, haine, jalousie, excès de toutes sortes ! Sommes-nous des êtres malfaisants par nature ? Ou, selon les discours des maîtres nouveaux qui veulent nous caresser dans le sens du poil, tout cela n’est-il dû qu’à notre mauvais environnement ?
Mais à quoi attribue-t-on le mal que nous commettons tous : mensonge, convoitise, haine, jalousie, excès de toutes sortes ! Sommes-nous des êtres malfaisants par nature ? Ou, selon les discours des maîtres nouveaux qui veulent nous caresser dans le sens du poil, tout cela n’est-il dû qu’à notre mauvais environnement ?
Frère, sœur, ami, le fait que les mots de l’Évangile sonnent de manière désagréable aux oreilles de l’homme n’est pas propre à notre temps. Il en fut toujours ainsi. Mais il est indéniable qu’à notre époque dite moderne, les mots de l’Évangile sont, à contre-courant, totaux de la mentalité ambiante. Une simple lecture du livre des Actes nous donne un aperçu des mots de l’Évangile difficiles à entendre par l’homme mauvais ! Actes 24,25.
Si aujourd’hui il n’y a plus beaucoup de villes qui vivent du commerce de l’idolâtrie religieuse (quoique), il n’en reste pas moins vrai que notre génération préfère un Évangile dénaturé à celui que prêchait Paul.
Cela nous laisse à croire que cet Évangile moderne agréable à écouter, attention ! “ Car la grâce à bon marché est l’ennemie mortelle de notre Église. Actuellement, dans notre combat, il y va de la grâce qui coûte. La grâce à bon marché, c’est la grâce considérée comme une marchandise à liquider, le pardon au rabais, la consolation au rabais, le sacrement au rabais ; la grâce servant de magasin intarissable à l’Église, où des mains inconsidérées puisent pour distribuer sans hésitation ni limite, la grâce non tarifée, la grâce qui ne coûte rien.”
Si aujourd’hui il n’y a plus beaucoup de villes qui vivent du commerce de l’idolâtrie religieuse (quoique), il n’en reste pas moins vrai que notre génération préfère un Évangile dénaturé à celui que prêchait Paul.
Cela nous laisse à croire que cet Évangile moderne agréable à écouter, attention ! “ Car la grâce à bon marché est l’ennemie mortelle de notre Église. Actuellement, dans notre combat, il y va de la grâce qui coûte. La grâce à bon marché, c’est la grâce considérée comme une marchandise à liquider, le pardon au rabais, la consolation au rabais, le sacrement au rabais ; la grâce servant de magasin intarissable à l’Église, où des mains inconsidérées puisent pour distribuer sans hésitation ni limite, la grâce non tarifée, la grâce qui ne coûte rien.”
Il arrivera un temps où les hommes ne supporteront plus l’enseignement sain de l’Évangile, a averti Paul. Ces jours sont les nôtres. L’apôtre n’en reste pas là. Ailleurs, il avertit aussi : Si nous-mêmes, ou si un ange du ciel vous annonçait une bonne nouvelle différente de celle que nous vous avons annoncée, qu’il soit anathème (maudit) ! : Galates 1,8. Nous voici prévenus !
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