Juges 19.1-30
19 Dans ce temps où il n'y avait point de roi en Israël, un Lévite, qui séjournait à l'extrémité de la montagne d'Éphraïm, prit pour sa concubine une femme de Bethléhem de Juda.
2 Sa concubine lui fit infidélité, et elle le quitta pour aller dans la maison de son père à Bethléhem de Juda, où elle resta l'espace de quatre mois….
29 Arrivé chez lui, il prit un couteau, saisit sa concubine, et la coupa membre par membre en douze morceaux, qu'il envoya dans tout le territoire d'Israël…..
Dieu est Dieu et le restera pendant des siècles et des siècles et ses commandements suscitera toujours.
Frère, sœur, de la même façon que Dieu utilise une femme pour nous envoyer un sauveur, c’est de la même façon qu’il utilise une femme pour faire remonter dans les cœurs ou dans les entrailles de tout hommes les péchés caché, qu’il oint ou païen.
Frère, sœur, de la même façon que Dieu utilise une femme pour nous envoyer un sauveur, c’est de la même façon qu’il utilise une femme pour faire remonter dans les cœurs ou dans les entrailles de tout hommes les péchés caché, qu’il oint ou païen.
« C’est du dedans, du cœur des hommes, que sortent mauvaises pensées, fornications, vols, meurtres, adultères… » (Marc 7 : 21).
Bien-aimés, nous savons que les femmes ont toujours le dos assez large pour porter des tâches assez lourdes et des fardeaux de toute sorte de tort, qu’elle soit coupable ou pas, et cela, depuis le commencement dans le jardin ou la femme se fait tromper pour le diable et qu'Adam qui avait la responsabilité se décharge sur sa compagne Even devant Dieu “ Genèse 3:12 L'homme répondit : La femme que tu as mise auprès de moi m'a donné de l'arbre, et j'en ai mangé.” Et cela continue avec d’autres femmes dans la Bible, dans des bonnes ou négatives positions comme Marie la mère de Jésus.
Voilà ! Aujourd'hui, l’histoire d’une femme concubine d’un Lévite qui séjournait à l'extrémité de la montagne d'Éphraïm, donc la plus importante de la scène de l’immoralité de Guiba, reflète bien le cœur de tout homme.
Nous devons regarder, qu'à cette époque ou période dans la Bible, il était question que chacun pouvait faire comme il veut et la crainte de l’Éternel dans ce peuple était moindre, comme nous dit dans (Juges 17:6) “ En ce temps-là, il n'y avait point de roi en Israël. Chacun faisait ce qui lui semblait bon.”
Quelquefois, tout comme le père de cette femme du Lévite, certain parent quoique quand leur fille son avec un homme de Dieu, elle est à l’abri ou protéger, mais nous devons avoir le discernement afin de savoir si certain serviteur oint de Dieu, n'avais pas vraiment la crainte de Dieu, car il n'y a pas d’homme parfait. Je ne dis pas cela pour envoyer des pierres a aucun homme de Dieu, simplement a cette époque, il n'avait pas la vraie crainte de Dieu.
Nous devons regarder, qu'à cette époque ou période dans la Bible, il était question que chacun pouvait faire comme il veut et la crainte de l’Éternel dans ce peuple était moindre, comme nous dit dans (Juges 17:6) “ En ce temps-là, il n'y avait point de roi en Israël. Chacun faisait ce qui lui semblait bon.”
Quelquefois, tout comme le père de cette femme du Lévite, certain parent quoique quand leur fille son avec un homme de Dieu, elle est à l’abri ou protéger, mais nous devons avoir le discernement afin de savoir si certain serviteur oint de Dieu, n'avais pas vraiment la crainte de Dieu, car il n'y a pas d’homme parfait. Je ne dis pas cela pour envoyer des pierres a aucun homme de Dieu, simplement a cette époque, il n'avait pas la vraie crainte de Dieu.
Bien-aimés, la bible nous dit “ la femme que le lévite avait prise, le quitte après lui avoir été infidèle. Il court après elle, comme son cœur le mène et, faisant ce qui lui semble bon,” Un accueil chaleureux de son beau-père, qui voit l’occasion de réhabiliter ainsi sa fille. La présence même du Lévite dans cette maison n’était-elle pas une sanction de la souillure, aggravée par le caractère sacré du service du Lévite ?
Le Lévite Inconscient de sa fausse position, il se laisse aller aux joies de la vie pendant quatre jours, mangeant et buvant avec son beau-père (v. 4-7).
Frère, le monde nous montre son amabilité dans la proportion où nous servons ses intérêts, donc il se laisse attarder dans ce chemin. N’ayant pas Dieu et n’ayant que sa conscience pour se diriger, il se laisse influencer par d’autres, manqué l’occasion et tombe dans le malheur.
Le Lévite Inconscient de sa fausse position, il se laisse aller aux joies de la vie pendant quatre jours, mangeant et buvant avec son beau-père (v. 4-7).
Frère, le monde nous montre son amabilité dans la proportion où nous servons ses intérêts, donc il se laisse attarder dans ce chemin. N’ayant pas Dieu et n’ayant que sa conscience pour se diriger, il se laisse influencer par d’autres, manqué l’occasion et tombe dans le malheur.
Cet homme qui s’allie à cette femme infidélité ne voudrait pas entrer chez les Jébusiens. Il en est parfois ainsi de nous chrétien. Il craint de s’associer extérieurement au monde, tandis que chez lui les sources intérieures sont impures.
On peut être très strict quant à sa marche publique, très relâchée quant à la sainteté individuelle. « Nous ne nous détournerons pas vers une ville des étrangers, qui n’est pas des fils d’Israël » (v. 12). Bien-aimés, nous voyons que ce Lévite est plus attaché à son peuple qu’à l’Éternel, à l’entendre que ce qui vient d’Israël ne peut être que bon, alors qu’Israël a déjà outrageusement abandonné l’Éternel.
Cette femme qui est dans une conscience de culpabilité, pour son infidélité à son mari, suite sans savoir ce qui va tomber sur elle, et quelle sera sa position une fois rentrée chez elle. Elle porte en même temps un lourd fardeau, et ce souci sans doute de son avenir.
Aujourd'hui, encore certaine femme se trouve comme beaucoup de femmes actuelles, qui craignent leur mari, plus que Dieu, et qui se trouve dans des situations, qu’il se fait frapper a chaque fois que leur mari rentrent de leur convoitise avec une autre, et cela, pour la moindre des choses.. Beaucoup sont comme cette femme et ne disent rien, et ne peuvent même plus retourner chez leur parent. Mais nous avons un Dieu qui est bon et juste et quelquefois, nous ne comprenons pas le choix de Dieu pour notre vie.
On peut être très strict quant à sa marche publique, très relâchée quant à la sainteté individuelle. « Nous ne nous détournerons pas vers une ville des étrangers, qui n’est pas des fils d’Israël » (v. 12). Bien-aimés, nous voyons que ce Lévite est plus attaché à son peuple qu’à l’Éternel, à l’entendre que ce qui vient d’Israël ne peut être que bon, alors qu’Israël a déjà outrageusement abandonné l’Éternel.
Cette femme qui est dans une conscience de culpabilité, pour son infidélité à son mari, suite sans savoir ce qui va tomber sur elle, et quelle sera sa position une fois rentrée chez elle. Elle porte en même temps un lourd fardeau, et ce souci sans doute de son avenir.
Aujourd'hui, encore certaine femme se trouve comme beaucoup de femmes actuelles, qui craignent leur mari, plus que Dieu, et qui se trouve dans des situations, qu’il se fait frapper a chaque fois que leur mari rentrent de leur convoitise avec une autre, et cela, pour la moindre des choses.. Beaucoup sont comme cette femme et ne disent rien, et ne peuvent même plus retourner chez leur parent. Mais nous avons un Dieu qui est bon et juste et quelquefois, nous ne comprenons pas le choix de Dieu pour notre vie.
Alors les voilà à Guibha, ou il se fait héberger par un étranger isolé, qui séjourne au milieu de la corruption de Guibha et en a conscience, comme Lot de celle de Sodome, car il dit : « Mais ne passe pas la nuit sur la place », reçoit le voyageur dans sa maison.(Gen. 19 : 2-3).
En effet, les honteuses pratiques de Sodome s’étaient infiltrées au milieu d’Israël. C’est ainsi que les déclarations faites au sujet des nations païennes (Rom. 1 : 21-32) s’adressent maintenant au monde chrétien, qui ose excuser et pratiquer de telles choses. Il faut affirmer sans équivoque que l’homosexualité reste un péché d’une extrême gravité aux yeux de Dieu Des choses qu’il est honteux même de dire ou de nommer parmi les saints (Eph. 5 : 3, 12), sont déclarées ici dans la Parole inspirée de Dieu, comme un solennel avertissement.
Bien-aimés, le Lévite livre sa femme à l’opprobre de ces hommes sans cœur et sans scrupules de la part d’homme de Dieu qui se sauve en donnant sa femme au loup, quel gens d’homme cela peut être, de faire les choses aussi froidement, on pourrait même penser, ( n'est pas pour punit sa concubine de sa infidélité ), tout comme tout femme en danger se laisse tuer car il on déjà assez pris pendant des années.
En effet, les honteuses pratiques de Sodome s’étaient infiltrées au milieu d’Israël. C’est ainsi que les déclarations faites au sujet des nations païennes (Rom. 1 : 21-32) s’adressent maintenant au monde chrétien, qui ose excuser et pratiquer de telles choses. Il faut affirmer sans équivoque que l’homosexualité reste un péché d’une extrême gravité aux yeux de Dieu Des choses qu’il est honteux même de dire ou de nommer parmi les saints (Eph. 5 : 3, 12), sont déclarées ici dans la Parole inspirée de Dieu, comme un solennel avertissement.
Bien-aimés, le Lévite livre sa femme à l’opprobre de ces hommes sans cœur et sans scrupules de la part d’homme de Dieu qui se sauve en donnant sa femme au loup, quel gens d’homme cela peut être, de faire les choses aussi froidement, on pourrait même penser, ( n'est pas pour punit sa concubine de sa infidélité ), tout comme tout femme en danger se laisse tuer car il on déjà assez pris pendant des années.
Sœur, frère, quand Dieu décide de changer les choses et de donner une leçon à son peuple, il peut utiliser qui il veut et comme il veut, si sais pour un bien et pour sa gloire.
N’y avait-il pas d’autre moyen d’éviter cette infamie ? Dieu avait bien délivré le juste Lot en frappant de cécité les méchants hommes de Sodome.
La pauvre femme meurt des suites de ce qui avait été pour elle un objet de convoitise (v. 26-28). Son mari le fait savoir aux tribus d’Israël par un message qui égale en horreur le crime lui-même. En étalant la honte, ce Lévite démontre sa propre stupidité (Prov. 12 : 16).
N’y avait-il pas d’autre moyen d’éviter cette infamie ? Dieu avait bien délivré le juste Lot en frappant de cécité les méchants hommes de Sodome.
La pauvre femme meurt des suites de ce qui avait été pour elle un objet de convoitise (v. 26-28). Son mari le fait savoir aux tribus d’Israël par un message qui égale en horreur le crime lui-même. En étalant la honte, ce Lévite démontre sa propre stupidité (Prov. 12 : 16).
Conclusion
Alors femme si Dieu a utilisé son fils pour te sauveur, et aujourd’hui, il t’utiliser pour sauveur sois heureux, car tu verras le ciel.
La parole de Dieu nous présente deux grands sujets. Dune part, ce qu’est Dieu ; de l’autre, ce qu’est l’homme. Jamais Dieu ne cherche à voiler la condition de l’homme, car s’il le faisait, il ne serait pas le Dieu qui est lumière, et sa Parole serait faussée dans ses deux éléments. Quant à l’homme, Dieu nous le dépeint indifférent, aimable ou religieux selon la nature, violente ou corrompue, égoïste toujours, hypocrite, impie, sans loi, sous la loi, sous la grâce, et cela, dans toutes les circonstances et à tous les degrés comme aussi Dieu nous montre le travail de la grâce, sous toutes ses formes et à tous ses degrés, dans le cœur de l’homme.
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