vendredi 8 décembre 2017

LES NEUF PARABOLES QUI TRANSFORMERONT VOS VIES N°5





Thème: 5

NE VOUS DÉCOURAGEZ PAS, PETIT VOUS ENTREZ GRAND VOUS SORTIEZ AVEC JÉSUS

Nous avons vu que ce royaume, dans sa forme actuelle, est imparfait. Il englobe à la fois le blé et l’ivraie, c’est-à-dire les enfants de Dieu et les fils du diable. L’authentique est ainsi mélangé avec le faux, le juste avec l’injuste. Une telle description du royaume peut nous rendre perplexes quant à son avenir. À la limite, il se peut que le chrétien se laisser aller au découragement lorsqu’il voit comment l’ivraie affaiblit subtilement la foi des vrais croyant et amène le déshonneur sur l’église. Aujourd’hui, oubli l’image que le malin t’envoie et marche avec Yeshoua (Jésus).

Après avoir enseigné la parabole de l’ivraie, Jésus poursuit donc son discours avec la parabole du grain de moutarde.

Matthieu 13.31
Il leur proposa une autre parabole, disant, Le royaume des cieux est semblable à un grain de moutarde qu’un homme prit et sema dans son champ,
32 lequel est, il est vrai, plus petit que toutes les semences ; mais quand il a pris sa croissance, il est plus grand que les herbes et devient un arbre, de sorte que les oiseaux du ciel viennent et demeurent dans ses branches.

Bien-aimé, imaginé que Jésus est en dessous de l’un des plus grands arbres de la Guadeloupe et qu’il est en train de raconter cette parabole à une foule. Il leur dit ceci. « Le royaume des cieux peut être comparé à cet arbre ».
Vous savez que la semence de la moutarde est minuscule. Regardez maintenant sa taille qu’il pourrait atteindre ! La graine de moutarde est la plus petite qui soit semée en Palestine. Quand on la met en terre, il en sort une plante qui peut atteindre 3-4 mètres. Avec une telle hauteur, il est juste de parler d’un arbre.

Jésus va plus en profondeur. « Quand vous regardez cet arbre, vous avez devant vous une illustration du royaume de Dieu ». Aussi petite qui était représentée le royaume des cieux par la graine de moutarde.
Or, qu’attendez-vous d’une toute petite semence ?
Qu’elle donne une petite plante, n’est-ce pas ? Mais à notre grand étonnement, elle s’accroît jusqu’à devenir un arbre dans lequel les oiseaux du ciel viennent faire leurs nids.

Frères, sœurs, vous voyez que l’idée première de cette parabole porte sur la transformation tout à fait spectaculaire que subir le royaume. Malgré des débuts modestes, il croît jusqu’à prendre une stature phénoménale et servira de refuge pour plusieurs. Cela ne vous fait pas pensée a vous, quand vous être entré dans l’évangile de Christ, car vous êtes sûrement dit comment je ferai pour évangéliser comme les autres.

Bien-aimé, vous rendez compte que Jésus Yeshoua prend « Une graine comme symbole » Il pouvait choisir autre chose pour nous expliquer le système de fonctionnement du royaume.

Mais dans plusieurs de ses paraboles, le Seigneur Jésus s’est servi de l’image d’une graine pour illustrer la transformation spirituelle qui doit se produire à l’intérieur du royaume de Dieu, et pour nous-mêmes dans notre vie spirituelle.
Rappelez-vous de la parabole « du semeur », également celui de « la semence qui croît », de même que la parabole « de l’ivraie ». Et maintenant, nous avons une autre parabole où il est question de semence, « la parabole de la graine de moutarde ».

Bien-aimé, en quelques mots, il nous est expliqué la doctrine du salut, rien de mieux que de se tourner vers l’enseignement que Jésus nous a laissé sur la semence.
Alors si Dieu nous demande de méditer sa parole (matin, midi, soir, et même aller dire a mangé la parole) ce n’est pas au hasard, car il sait que c'est cette nourriture qui vous faut pour grandir. Amen

Revenons à cette semence et plus précisément à cette petite graine qui va révolutionner votre façon de fonctionner avec la Parole de Dieu et aussi bien dans vos vies.
Lorsqu’une graine tombe en terre, elle s’y dissout. Dans un certain sens, elle « meurt » dans le sol. Mais par la même occasion, par cette mort, il se produit une germination. Des germes percent l’enveloppe de la graine et poussent au-dehors.
Ne voyez-vous pas que ces éléments nous conduisent à l’idée de l’ensevelissement, de la mort et de la résurrection ?
Une nouvelle vie renaît par l’ensevelissement, la mort et la résurrection de la graine. Jésus nous dit, « Le royaume de Dieu peut se comparer à une semence ». Les débuts sont tous petits, aussi petits que des graines de moutarde. L’œuvre de la grâce dans l’âme commence souvent par des moyens inaperçus. Une fois semée dans le sol, on ne voit plus la graine. Elle meurt. Elle se désintègre au lieu de son enterrement. Mais après quelque temps, elle revient à la vie. Elle germe et grandit. Elle réapparaît à la surface du sol.
De façon similaire, Jésus a été mis à mort. On l’a enterré. Il semblait nous avoir quittés pour toujours. Mais contre toute attente, il est revenu à la vie pour le salut du monde. Amen.

Frère, dans de telle transformation la semence continue à croître. Plus tard dans la saison, elle portera des fruits. Elle reproduira de nombreux autres grains de son espèce. C’est ce que Jésus nous enseigne en Jean 12.24. Si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul ; mais, s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Toute semence jetée en terre doit d’abord mourir avante de revivre et ensuite donner naissance à beaucoup d’autres semences. Dans ce passage en Jean, Jésus applique ce principe de reproduction à lui-même. Ainsi, par sa mort et sa résurrection, on a vu se former une église chrétienne et naître à la vie spirituelle de nombreux disciples.

De la même façon qu’aujourd’hui que vos vies spirituelle de croyant dérive du Seigneur Jésus, le Grain de blé, qui a donné sa vie pour le salut du monde. Nous vivons parce que Jésus est mort et est revenu à la vie. Nous sommes, à cet égard, le fruit de sa mort et de sa résurrection.

Qu’est-ce qui se passe maintenant avec les nouvelles graines ? Tout comme vous qui est né de nouveau en Christ.
Voilà une importante leçon pour le disciple qui veut porter du fruit.
Nous avons reçu une nouvelle vie par la mort et la résurrection du Christ. Nous devons maintenant le suivre en devenant comme lui un grain de blé, et en mourant, nous donnerons naissance à d’autres disciples. Ce point est clairement énoncé au verset suivant (Jean 12.25). Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui hait sa vie dans ce monde la conservera pour la vie éternelle. Ces paroles sont l’application à tous les chrétiens du principe « par la mort à la vie ». Jésus annonce que ceux dont la vieille nature pécheresse a été mise à mort porteront du fruit pour lui et vivront éternellement.

Frères, sœurs, toutes ces paraboles montrent que le chrétien authentique porte en lui la vie du Christ ressuscité. Cette vérité est simple mais combien importante.
Le point de vue de la parabole de la graine de moutarde. La graine, dans ce récit, représente le Seigneur Jésus. Elle est mise en terre pour y mourir. En mourant, elle donne naissance à d’autres graines. La vie qui anime ces nouvelles graines découle donc de la mort et de la résurrection de la graine initiale, Christ lui-même. Nous voyons par cette illustration que tout croyant vit par la vie du Christ en lui.

La graine de moutarde subit cette transformation naturelle, révèle une croissance phénoménale.
Jésus veut vous montrer que malgré vos débuts insignifiant, le royaume des cieux s’accroîtra jusqu’à une puissante grandeur. « La puissance de Dieu est à l’œuvre dans le monde, » nous dit-il. « Même si au début vous ne discernez presque rien, son royaume s’étendra assurément dans tous les pays de la terre. » Et la clé ici vous avez pas besoin du BAC+ ou autres, mais sais de venir telle que vous être, comme dit si bien Jésus, comme des enfants, car ce n’est pas vous qui changerez le royaume mais la puissance de Dieu par votre foi à l’œuvre qui produira se changement.

En fait, même les oiseaux viendront construire leurs nids dans les branches de cet arbre. Une minuscule semence deviendra un arbre qui servira d’habitation pour tout oiseau à la recherche d’un refuge. Il y a donc un autre aspect à cette illustration. Non seulement la croissance exceptionnelle de la plante est mise en relief, le récit met également l’accent sur le produit final : un endroit où se nichent des animaux. Cet arbre profitera aux oiseaux du ciel qui viendront s’y abriter.

Bien-aimés, chaque chose et chaque mot sont importants et ont de la valeur dans les paraboles de Jésus.
L’image d’un arbre abritant des oiseaux apparaît plusieurs fois dans l’AT. Celui qui comporte le plus d’analogies avec la parabole de la graine de moutarde se trouve en Ezekiel 17.22-24. Ce passage est particulièrement intéressant pour notre étude puisqu’il a trait au royaume messianique, au royaume de Christ. Lisons-le.
   
Ezékiel 17.22.
Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel : J’enlèverai, moi, la cime d’un grand cèdre, et je la placerai ; j’arracherai du sommet de ses branches un tendre rameau, et je le planterai sur une montagne haute et élevée.
23 Je le planterai sur une haute montagne d’Israël ; il produira des branches et portera du fruit, il deviendra un cèdre magnifique. Les oiseaux de toute espèce reposeront sous lui, tout ce qui a des ailes reposera sous l’ombre de ses rameaux.
24 Et tous les arbres des champs sauront que moi, l’Éternel, j’ai abaissé l’arbre qui s’élevait et élevé l’arbre qui était abaissé, que j’ai desséché l’arbre vert et fait verdir l’arbre sec. Moi, l’Éternel, j’ai parlé, et j’agirai.


Remarquez ces mots au (v. 24). « J’ai élevé l’arbre qui était abaissé. » Dieu abaisse et élève. Dieu choisit les choses viles du monde et les élève au moment fixé. Il choisit les choses folles du monde pour confondre les sages. Il choisit des gens faibles pour couvrir de honte les puissants. C’est exactement ce qui se produit ici en Ezekiel. Il abaisse le grand arbre et fait grandir celui qui est petit. Il desséché l’arbre vert et fait fleurir l’arbre sec.

Donc si vous êtes, entre petit, Dieu seul fait grandir qui il veut de même celui qui est grand redeviendra petit pour la croissance de la gloire de Dieu.

Conclusion

La parabole de la graine de moutarde nous demande de faire confiance aux paroles de Jésus, comme c’était le cas pour les premiers disciples. Car en effet, rien n’indiquait à cette époque que le mouvement chrétien allait se développer pour atteindre un tel degré d’influence dans l’histoire de l’homme. Jésus n’était qu’un simple charpentier, ayant passé presque toute sa vie dans la petite ville de Nazareth.
Et cet homme ose prétendre qu’un jour, toutes les nations seront assujetties à son royaume. Comment pouvait-on croire une telle déclaration ! Il n’était suivi que par une poignée d’hommes sans éducation ni influence. Les chefs de la nation, tant au niveau religieux que politique, ont rejeté ses prétentions, et cela, jusqu’à aujourd’hui continue à se produire.

Comment accorder aujourd’hui de la crédibilité à ses propos quand la plupart des leaders n’en voyaient pas l’importance, mais fait de l’Église du Christ un lieu de marchandage et donne plus d'importance à l’argent (dîne et autres..)?

Et dans tout cela, ce pauvre homme Jésus termine sa vie en étant suspendu à une croix par nous et à cause de nous ! Quel royaume ?
Tout cela, bien-aimé dans le Seigneur, doit être le résultat de la fabulation d’un homme qui a perdu la raison, n’est-ce pas ? Et pourtant, les disciples ont cru en Jésus. À notre tour, Jésus nous demande maintenant d’accueillir sa promesse par la foi, de croire qu’à son retour, il imposera totalement son autorité aux royaumes de la terre. Amen

Cette enseigne est une source d’encouragement pour tous disciples de Christ et aussi ceux qui chercher la vérité afin de bâtir sur le bon terrain. Rappelez-vous que vous ne pouviez pas obtenir quelque chose de Dieu sans ne pas passer par le feu de l’Esprit de Dieu, si vous arrivez sans passer par là, cela ne vient pas de Dieu attend vous à payer en retour

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