Thème 1 :
IL NE S’AGIT PLUS DE “DIRE” OU DE “FAIRE”, MAIS “D’ENTENDRE” ET DE “FAIRE”.
Parabole = Mâchai en hébreu
Jésus a souvent employé la parabole, mais il n’a pas créé ce genre de récit, car nous savons que les rabbins en faisaient un fréquent usage, et même nos grands-parents en avaient souvent en créole pour nous faire comprendre que la vie est comme un jeu de dominos, mais la différence est que le jeu de dominos se remue dans tous les sens, mais ne se jouer pas n'importent comment.
“Domino ka rimé an pagal, mé pa ka jwé an pagal.” Les dominos se mélangent en pagaille, mais ne se jouent pas en pagaille. (il y a des règles à respecter dans la vie en Christ)
Les paraboles de Yeshoua sont destinées aux peuples et aux disciples jusqu'à ce jour, et sont rangés en trois grands groupes, N° 1 période de son 1er. Ministère (Royaume), N° 2 période second de son ministère (une Vérité Générale), N° 3 période de la fin du ministère (royaume, eschatologique) car on sait à quel point le langage de Jésus est imagé.
Ou une harmonie profonde entre le monde de l’Esprit et celui du naturel.
Jésus a souvent employé la parabole, mais il n’a pas créé ce genre de récit, car nous savons que les rabbins en faisaient un fréquent usage, et même nos grands-parents en avaient souvent en créole pour nous faire comprendre que la vie est comme un jeu de dominos, mais la différence est que le jeu de dominos se remue dans tous les sens, mais ne se jouer pas n'importent comment.
“Domino ka rimé an pagal, mé pa ka jwé an pagal.” Les dominos se mélangent en pagaille, mais ne se jouent pas en pagaille. (il y a des règles à respecter dans la vie en Christ)
Les paraboles de Yeshoua sont destinées aux peuples et aux disciples jusqu'à ce jour, et sont rangés en trois grands groupes, N° 1 période de son 1er. Ministère (Royaume), N° 2 période second de son ministère (une Vérité Générale), N° 3 période de la fin du ministère (royaume, eschatologique) car on sait à quel point le langage de Jésus est imagé.
Ou une harmonie profonde entre le monde de l’Esprit et celui du naturel.
Matthieu 7:24-27
24 C'est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.
25 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison: elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc.
26 Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.
27 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison: elle est tombée, et sa ruine a été grande.
24 C'est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.
25 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison: elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc.
26 Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.
27 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison: elle est tombée, et sa ruine a été grande.
Aujourd’hui, l’homme pense contrôler tout et pense ne pas avoir besoin Dieu pour réussir leur vie, mais nous devons savoir que Dieu est dans tout les façades de nos vies qu’il soit intérieur ou extérieur et tout ce qu’il demande est de lui donner la première place.
Chose assez difficile pour beaucoup d’entre nous, car nous avons du mal a placé notre foi quand tout va bien, mais tandis que rien ne va et devant la mort comme par hasard notre foi revient à grande vitesse. Est la peur ou la crainte d’y être plus ou de tout laisser.
Chose assez difficile pour beaucoup d’entre nous, car nous avons du mal a placé notre foi quand tout va bien, mais tandis que rien ne va et devant la mort comme par hasard notre foi revient à grande vitesse. Est la peur ou la crainte d’y être plus ou de tout laisser.
Chacun des paraboles pouvait être compris quel que soit le pays pour celui qui l'entendait et jusqu'à aujourd’hui, beaucoup pouvait se dire comment il parlait aux Juifs, aux Parisiens de leurs états et que cela correspondait aussi exactement à votre situation.
Bien-aimé, avec les Saint-Esprit, il n'y a pas de foncière dans les cœurs, ni de question d'intelligence. La parabole “des deux maisons” de Jésus est certainement l'une des plus connues et celui qui nous touche beaucoup sur les îles aujourd’hui.
Car nous sommes quasiment entouré d’eau et de sable, et qui nous fait penser à l'intonation, au cyclone, au tremblement de terre.
Bien-aimé, avec les Saint-Esprit, il n'y a pas de foncière dans les cœurs, ni de question d'intelligence. La parabole “des deux maisons” de Jésus est certainement l'une des plus connues et celui qui nous touche beaucoup sur les îles aujourd’hui.
Car nous sommes quasiment entouré d’eau et de sable, et qui nous fait penser à l'intonation, au cyclone, au tremblement de terre.
Autrefois, les parents qui étaient là, avant nous, avaient un regard plus posé sur la nature et aussi bien sûr les temps et saisons. Il ne construisait pas sur la première parcelle de terrain trouvé, mais savait où et comment. À l’heure du temps de la technologie l’homme fait des choses vraiment sans réfléchir sans prendre en compte la loi de la nature qui est celui de Dieu et ne savent plus lire le temps et saisons sans la technologie due à peu près.
Nos îles étant composées de montagne et de vallée ou se trouvent la plus grandes partie, bien au-dessus du niveau de la mer ; non plus par ces rivières venu des montagnes coule dans les vallées profond pour aller se jeter à la mer.
L’homme en quête de terrain et de bien matériel, se met à combler les terrains marécageux, les mangroves, prête même à pousser la mer pour construire sur le littoral. Donc aujourd’hui beaucoup de marée comblée, des cours de rivière, de canal détourner de leur lit ou des montagnes couper en vue fleurir des maisons.
Quand, arrive les saisons des très fortes pluies ou d'impétueux rivière, canal qui reprend leur lit et inondent avec en prime, le vent des tempête cyclonique qui sonne la vraie vérité de la nature, voir danger de ses maisons.
Nos îles étant composées de montagne et de vallée ou se trouvent la plus grandes partie, bien au-dessus du niveau de la mer ; non plus par ces rivières venu des montagnes coule dans les vallées profond pour aller se jeter à la mer.
L’homme en quête de terrain et de bien matériel, se met à combler les terrains marécageux, les mangroves, prête même à pousser la mer pour construire sur le littoral. Donc aujourd’hui beaucoup de marée comblée, des cours de rivière, de canal détourner de leur lit ou des montagnes couper en vue fleurir des maisons.
Quand, arrive les saisons des très fortes pluies ou d'impétueux rivière, canal qui reprend leur lit et inondent avec en prime, le vent des tempête cyclonique qui sonne la vraie vérité de la nature, voir danger de ses maisons.
Frères et sœur des îles ou d’autres continent, ce n’est pas par beau temps qu’on découvre si une maison a été bien ou mal construite : Dans de telles conditions les maisons sont tous beau et belle et valent toutes.
Ce n’est que quand les forces de la nature, tempête, inondation, tremblement de terre se jettent violemment sur vos maisons que la qualité de celle-ci est mise à l’épreuve.
Bien-aimée, selon les paroles de Jésus, la mise à l’épreuve de la maison s’effectue de trois côtés : Une pluie diluvienne ceux du début de saison, des courants de torrents des rivières, qui reprenne leur lit d’origine formés à l’improviste, vient travers la maison, et les vents tempétueux des cyclones attaquent la maison par côté.
C'est alors que les maisons construites près du littoral, sur des lieu marécageux comblé, ou des ancien lit de rivière, sont soumises rude à épreuve, et que se révèle la solidité de leurs fondations.
Dans telle situation frère, sœur, deux sortes de fondations sont évoquées : Le Roc ou le sable.Ce n’est que quand les forces de la nature, tempête, inondation, tremblement de terre se jettent violemment sur vos maisons que la qualité de celle-ci est mise à l’épreuve.
Bien-aimée, selon les paroles de Jésus, la mise à l’épreuve de la maison s’effectue de trois côtés : Une pluie diluvienne ceux du début de saison, des courants de torrents des rivières, qui reprenne leur lit d’origine formés à l’improviste, vient travers la maison, et les vents tempétueux des cyclones attaquent la maison par côté.
C'est alors que les maisons construites près du littoral, sur des lieu marécageux comblé, ou des ancien lit de rivière, sont soumises rude à épreuve, et que se révèle la solidité de leurs fondations.
Le Seigneur fait la différence entre l’homme prudent et l’homme insensé. Le prudent se distingue en ce qu’il “ entend ces paroles que Dieu dit et les met en pratique” Avec cela, il construit sa maison « sur le roc ». Le sable est désagrégé et emporté par l'eau. Le roc reste ferme et inébranlable. Il faut souligner que si cette différence ne se révèle qu'au moment de l'inondation, elle était néanmoins présente dès l'origine.
Le Seigneur Jésus nous rappel ses paroles auparavant : « Ce ne sont pas tous ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur, qui entreront dans le royaume des cieux ; mais celui qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux » (Matthieu 7:21). Or aujourd’hui, il nous ajoute : “Quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.”
Frères, sœurs, comprenez que : Le constructeur n’est pas jugé d’après le soin qu’il apporte à construire sa maison, mais d’après la nature du fondement sur lequel il la bâtit. Et il ne laisse planer aucun doute sur ce qui seul peut être le bon fondement : Ses paroles. Elles équivalent finalement à la volonté de Son Père. Amen
Si aujourd’hui, vous mettez sur un pied d’égalité ou faite votre priorité, ses paroles et la volonté du Père, le Seigneur Jésus revendique être égal au Père qui est dans les cieux.
C’est une responsabilité et une affirmation forte de Sa divinité, car Dieu seul peut parler aussi, car les deux sont sur un pied d’égalité : Les paroles expriment la volonté, et la volonté consiste à obéir aux paroles. N’est pas !
Frères, sœurs, comprenez que : Le constructeur n’est pas jugé d’après le soin qu’il apporte à construire sa maison, mais d’après la nature du fondement sur lequel il la bâtit. Et il ne laisse planer aucun doute sur ce qui seul peut être le bon fondement : Ses paroles. Elles équivalent finalement à la volonté de Son Père. Amen
Si aujourd’hui, vous mettez sur un pied d’égalité ou faite votre priorité, ses paroles et la volonté du Père, le Seigneur Jésus revendique être égal au Père qui est dans les cieux.
C’est une responsabilité et une affirmation forte de Sa divinité, car Dieu seul peut parler aussi, car les deux sont sur un pied d’égalité : Les paroles expriment la volonté, et la volonté consiste à obéir aux paroles. N’est pas !
Bien-aimé, le contraste entre “Entendre’ et ‘faire’ ou ‘Entendre’ et ‘ne pas faire” est souligné à plusieurs reprises dans la Bible.
Et aujourd'hui, il est trop facilement que nous prenons connaissance des paroles de Dieu, et de ne pas, leur accorder aucune suite, puis on dit qu'on n’est pas béni, où Dieu nous a oublier.
Si on veut avoir de la bénédiction, entendre ne peut être qu’un premier pas, et faire est le deuxième pas qui doit suivre (On ne peut ne reste pas assise entre deux chaises). Autrement, non seulement la responsabilité personnelle est accrue, mais il s’ensuit aussi le jugement en quelques manières.
Car si vous n’accordez aucune considération aux paroles de la plus haute autorité dans le ciel et sur la terre, c’est non seulement un sommet de folie, mais c’est aussi de la négligence et de l’incrédulité de votre part.
Bien-aimés, arrêter d'être des « auditeurs oublieux » « Mais mettez la parole en pratique, et ne l’écoutez pas seulement, vous vous séduisez vous-mêmes. Car si quelqu’un écoute la parole et ne la met pas en pratique, “il est semblable à un homme qui pense que si les dominos se mélangent en pagaille et peuvent la jouer n'importe comment, mais nous devons savoir qu’il se joue selon les règles établi”. Mais celui qui aura regardé de près dans la loi parfaite, celle de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais un faiseur d’œuvre, celui-là sera bienheureux dans son faire » (Jacques 1:22-27).
Cette image d'une maison solidement construite se retrouve ailleurs dans le Nouveau Testament : "J'ai posé le fondement [...] Jésus-Christ." (1Co 3.10) ; "... édifiés sur le fondement des apôtres..." (Éph 2.20). Ces images nous montrent le seul fondement véritable pour notre foi : Jésus-Christ.
Mais l'idée directrice de notre parabole est tout à fait différente. Le fondement dont il est question ici n'est pas Jésus lui-même, mais la mise en pratique de ses paroles.
Conclusion
Que cela soit grave profondément dans nos cœurs : entendre la voix du Seigneur Jésus est une chose, lui ouvrir la porte en est une autre. La bénédiction qui suit le fait de Lui ouvrir la porte, est incomparable.
En outre, entendre les paroles du Seigneur et les suivre n’apporte pas seulement de la bénédiction, mais c’est aussi une affaire de prudence. Le Seigneur décrit l’homme qui fait cela comme étant ‘prudent, intelligent’.
La différence fondamentale de ces deux attitudes peut ne pas se remarquer extérieurement, mais se révélera vite dans l'épreuve. Si nous voulons tenir ferme, bâtissons sur le roc, mettons en pratique ce que nous dit le Seigneur dans sa Parole. Amen
INTRO
9 JOURS / 9 PARABOLES / 9 MESSAGES
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