Matthieu 7:12
“Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux, car c'est la loi et les prophètes.”
Rom. 13 v. 10 “Celui qui aime ne cause aucun mal à son prochain. Aimer son prochain, c'est donc accomplir toute la Loi.”
Bien-aimés aujourd’hui pour tenter d'apporter des solutions à ce problème, de grands penseurs de toutes les civilisations ont rempli des bibliothèques entières de leurs doctrines sociales, politiques, morales, ou religieuses. Mais rien ne change et l’homme devient de plus en plus mauvais et surtout l’exemple vient de ceux qui sont à la tête des nations….. Voir un président, dite Père des nations sans épouse et qui ne prête jamais attention au petit d'en bas comme aujourd’hui dans nos communes, nos villes avec les maires, qui pense à vous quand il s'agit de voter pour eux.
Mais la parole de Dieu nous parle bien de cela Matthieu 7 Les v. 1 à 6 et v. 12 placent devant nous les motifs qui doivent régler nos rapports avec les hommes, nos frères.
Bien-aimés, un simple et un petit verset suffit pour exprimer et contenir la solution, divinement sage, parfaite et définitive : « Toutes les choses donc que vous voulez que les hommes vous fassent, faites-les-leur, vous aussi, de même » ( Rom. 13 v. 10). Ces Règles d'or, que nous avons chaque jour à mainte occasion de mettre en pratique et que nous faisons des grands détours pour l'éviter.
Frères, sœurs, et amis apprenons à nous mettre toujours à la place de ceux à qui nous avons affaire.
La parole de Dieu nous rappelle que s'il y a deux maîtres,Matthieu 7.13-14 .. il existe aussi deux chemins, deux portes. Le chemin large est celui qu’un grand nombre d’entre nous prenne aujourd’hui, car nous avons toujours aimé la facilité, même en dépit d'un poteau indicateur de nature à faire trembler : par ici « la perdition ».
Conclusion
Aujourd’hui peu nombreux sont ceux qui trouvent (parce que peu nombreux ceux qui cherchent) le chemin qui mène à la Vie. « Étroite est la porte ». On n'y pénètre qu'après avoir abandonné les bagages du moi et de la propre justice ainsi que les fardeaux dont nos vies sont souvent encombrées.
Puisque c'est à leurs bons fruits que se reconnaissent les bons arbres
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