jeudi 26 janvier 2017

TU VIENS, TU COURS ! LA COURSE QUE DIEU T'A DEMANDÉ DE COURIR






Actes 13:25
“Et lorsque Jean achevait sa course, il disait: Je ne suis pas celui que vous pensez; mais voici, après moi vient celui des pieds duquel je ne suis pas digne de délier les souliers.”

Philippiens 3:13-15
“Frères, je ne pense pas l'avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant, je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus Christ.
Nous tous donc qui sommes parfaits, ayons cette même pensée; et si vous êtes en quelque point d'un autre avis, Dieu vous éclairera aussi là-dessus.”

Bien-aimés aujourd’hui nous avons tous une course à courir dans cette vie ici-bas, cela peut être une course pour le boire et manger, une course pour le mariage ou peut être une course pour ta survie. Mais ce que nous n’avons pas encore compris, est-ce que nous sommes destiné, choisie pour courir la plus belle course de notre vie celui de Dieu?
Alors je veux te dire ce matin tu es déjà là, il faut faire la vraie course, alors viens et cours pour la gloire de Dieu, même si tu trébuches sur le parcours, tu dois  finir même si c’est  avec des hématomes, ensanglanté et avec une jambe cassée !

Bien-aimés beaucoup de frères et même des sœurs dans l'évangile nous a laissé des exemples à imiter selon leur course, comme dans Actes 13.25, il nous est rapporté (Et lorsque Jean achevait sa course). Oui.. Quelle course ! La course pour la repentance avant l’arrivée de Jésus. (Matt. 3:11). Sommes pas encore dans cette même course et en attente de l'arrivée de Yeshoua Jésus .

Bien-aimés, si je devais résumer le passage de Philippiens 3  je dirais :
Paul rappelle que nous sommes tous dans une course et que nous avons à vivre cette course les yeux fixés vers le ciel. Ce que nous vivons et faisons ici-bas prépare ce que nous vivrons là-haut.
Paul ne dit pas qu’il a tout compris, qu’il est arrivé. Au contraire, il utilise la métaphore d’une course. Quand il parle d’oublier ce qui est derrière, cela ne veut pas dire effacer la mémoire du passé, mais consciemment refusé de laisser ces choses absorber son attention et freiner, voire arrêter, sa progression. Il n’a jamais laissé son héritage juif ni même ses acquis de chrétien l’empêcher de progresser. Et rien ne l’empêchait de penser qu’il possédait déjà tout ce que Christ désirait pour lui. Toi aussi aujourd’hui rien ne doit te freiner !

Tu dois regarder le chemin à faire et non rester sur le chemin parcouru. Il y a quand même une chose, parmi d’autres, que tu ne dois pas  oublier mais au contraire te rappeler : Tu a été rachetés à grand prix et tu a reçu le salut en Christ. De même comme il est dit  dans:  Deut. 8.2 N'oublie jamais tout le chemin que l'Eternel ton Dieu t'a fait parcourir pendant ces quarante ans dans le désert afin de te faire connaître la pauvreté pour t'éprouver. Il a agi ainsi pour découvrir tes véritables dispositions intérieures et savoir si tu allais, ou non, obéir à ses commandements. Cela nous rappel l’histoire de la veuve du temple Marc 12, 41-44.Une veuve, une mendiante, vint et déposa deux pièces, Car tous ces gens déposent ce qui leur est superflu, tandis que celle-ci a pris de son indigence pour déposer tout ce qu'elle avait, sa vie tout entière". Elle avait choisi d’être dans la course et la courir.

Bien-aimés, nous devons comprendre que quand nous sommes lancés dans la course, il est pas question de regarder en arrière, tout comme   la femme de Lot ! Ne pas se retourner ni regretter les choses du passé, surtout celles qui nous semblent bonnes à l’époque. Souvenons-nous quand Abraham a dit à Lot  dans Gen. 13.9 : si tu vas à gauche, j’irai à droite et si tu vas à droite, j’irai à gauche. Lot a vu la vallée verdoyante du Jourdain et l’a choisie. Il est dit que c’était comme un jardin de l’Eternel ! Mais les gens qui y vivaient étaient pervertis.

Frères, sœurs ce n’est point  une course comme dans un stade,ou  il n’y avait qu’un gagnant ! Donc comment être tous ici dans ces églises, dans la course et qu’un seul gagne ? Sommes-nous en compétition les uns avec les autres ? Non, simplement chacun a sa propre course à courir et il faut quand même courir comme s’il n’y avait qu’un seul gagnant. Parce que l’appel de chacun est différent. Paul parle de but et de prix, les deux termes ont le même objectif. Le but exprime plus la course et le prix met l’accent sur la gloire qui vient après la course. Amen

Conclusion

Nous sommes, frères et sœurs, dans une course, avec chacun un but à atteindre et un prix à remporter ! Voulons-nous être disqualifiés ? Alors mettons “pour chaussure à nos pieds le zèle que donne l’évangile de paix” Eph. 6.15. Une autre traduction pour zèle est la passion !
Plus nous sommes passionnés, plus nous avancerons ; moins nous le sommes, moins nous avancerons. Souvenons-nous que les poissons morts nagent aussi mais avec le courant !
nous avons une mission ensemble.

Nous formons un corps avec plusieurs membres, pas possible d’envoyer mon bras faire quelque chose pendant que mes jambes vont ailleurs !

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