mardi 13 décembre 2016

DISCIPLE ÉCLAIRONS LES QUARTIERS PLUTÔT QUE LE JUGER




Jean 8:12-20 “Je suis la lumière du monde, dit-il. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres: il aura la lumière de la vie….15 Vous jugez selon des critères purement humains, moi, je ne juge personne.Mais, où est-il, ton père? s'exclamèrent-ils.
Vous ne connaissez ni moi, ni mon Père, répliqua Jésus; si vous m'aviez connu, vous connaîtriez aussi mon Père.”

Bien aimés, frères et sœurs, et ce temps de lumière de fête , si Jésus est la lumière du monde et particulièrement celui de nos quartiers, est-il encore nécessaire d’acheter des ampoules pour s’éclairer le soir ?
Derrière cette humour se cache une vérité plus fondamentale que nous devons voir aujourd’hui au milieu d'illuminer les yeux de nos enfants pour des cadeaux.. Il s’agit là, comme ailleurs, d’une image, d’une métaphore qui nous permet de découvrir un aspect non matériel de la vie. Qu’est-ce que cela peut bien signifier!  Que en temps que disciples de Christ nous devons mettre en hauteur cette lampe “lumiere” en évidence dans nos quartiers, nos familles, car vous aussi comme Jésus, vous être cette lumière de Dieu pour le monde.

Jésus n’est pas seulement lumière pour les Juifs, autrement dit pour son peuple. Il n’est pas seulement lumière pour les croyants. Il est lumière de manière universelle. Dont la lumière pour les pauvres, les oubliés des quartiers ou vous être, ou il ont pas de quoi a passer un bon Noel avec une petit part de jambon de Noel. Assez souvent nous sommes prêt a faire des grand geste pour d’autre lieu plus loin, chose qui est bien, mais il est temps de regarder à côté de toi, car quelquefois il y a qui ceux soufres dans le silence et porte le manteau de Bartimée.. Ce caractère universel est décisif pour bien comprendre ce qui oppose les pharisiens à Jésus. Tout comme vous aujourd’hui dans vos quartiers
D'un côté nous avons  les gardiens d’une tradition congelée qui établissent une barrière  entre bien et mal, entre chrétiens et païens. “ les pharisiens” et Jésus qui transgresse tous ces barrières, qui passe allègrement par-dessus ces frontières socio-religieuses. Jésus ne voit pas d’un côté les sauvés et de l’autre les réprouvés, d’un côté le bien de l’autre le mal. Jésus voit le monde dans son ensemble. Un quartier qui a besoin de cette lumière de Dieu.

Frères, sœurs, mon amis,  Jésus est lumière du monde et celui de ton quartier en ce sens qu’il éclaire la vie ; il place la vie, l’ensemble de la vie, sous une lumière nouvelle qui nous permet de découvrir de nouveaux aspects de la vie. Jésus ouvre nos yeux sur le réel, il nous rend sensible à des dimensions de la vie qui, jusque là, nous échappaient peut-être. Dire que Jésus est lumière du monde, c’est dire que sa manière de voir le monde, sa manière de regarder ceux qui habitent le monde, est particulièrement éclairante. Son regard nous aide aujourd’hui à changer notre propre regard. Par exemple, il entre en relation avec des personnes qu’il était interdit de fréquenter à son époque (ou qu’il était infamant de rencontrer), tout comme nous faisons de nos quartiers et disent il y a trop de personne de mauvaise vie ou trop de délinquant… Vous être pas mieux qu’eux car votre déguisement cache bien des choses.
La lumière éclaire aujourd’hui, elle fait sortir de toutes les nuits de l’homme, de tous les vices caché des hommes responsable de nos gouvernements et la nôtre aussi. Elle a un autre effet, celui de réveiller. La lumière nous réveille de notre sommeil. La lumière réveille la nature somnolente, hivernante de l’homme d’aujourd’hui. La lumière tire le vivant de sa torpeur, le fait éclore, lui fait porter du fruit. C’est cela, la lumière de la vie (Jean 8/12).
Cette lumière de la vie permet de comprendre les phrases de Jésus sur le non-jugement. A ses opposants qui jugeraient selon la chair, selon les apparences, Jésus déclare ne juger personne et, s’il juge –ajoute-t-il – c’est en disant ce qui est vrai, autrement dit il ne prend pas la parole pour condamner, mais pour exprimer la vérité de l’être, la vérité d’une situation. Alors que nous sommes dans un monde de polémique qui est déjà traversée par les risques d’arrestation, de lapidation, nous découvrons que la lumière de Jésus ne tue pas, mais qu’elle suscite la vie, qu’elle encourage la vie, qu’elle réveille la vie, qu’elle ressuscite la vie.

Conclusion
En tant que disciple ou apprenti chrétien, nous ne sommes pas là pour juger et encore moins pour condamner tel ou tel. Plutôt que juger le monde et nos quartiers, le vouloir conforme à ce que nous pensons être bien, nous avons à l’éclairer. Éclaire ton quartiers  pour que chacun soit en mesure de faire ses propres choix en ayant la connaissance la plus large possible des enjeux. En prenant la parole dans le lieu où était le trésor, Jésus était là où les chandeliers étaient allumés pour la fête des tentes, aujourd'hui encore il sera là parmi les lumières des fêtes avenir,  mais un moyen d’éclairer les choix que nous avons à faire, les décisions que nous avons à prendre. Que chacun soit également éclairé de cette lumière qui réchauffe, qui fait croître la vie. Cela est possible lorsque nous ne nous plaçons pas en donneurs de leçons ou en censeurs, mais lorsque nous nous partageons  l’amour de Dieu dans les quartiers défavorisé. Rejeter Christ signifiait rester dans les ténèbres ; suivre Christ, c’était avoir la lumière de la vie.

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