lundi 10 juillet 2017

LES AMIS SONT PRÉSENTS POUR LES FESTIVITÉS, MAIS DANS LA SOUFFRANCE IL N’Y A PLUS D’AMIS





Job 2:11-13
11 Trois amis de Job, Eliphaz de Théman, Bildad de Schuach, et Tsophar de Naama, apprirent tous les malheurs qui lui étaient arrivés. Ils se concertèrent et partirent de chez eux pour aller le plaindre et le consoler!
12 Ayant de loin porté les regards sur lui, ils ne le reconnurent pas, et ils élevèrent la voix et pleurèrent. Ils déchirèrent leurs manteaux, et ils jetèrent de la poussière en l'air au-dessus de leur tête.
13 Et ils se tinrent assis à terre auprès de lui sept jours et sept nuits, sans lui dire une parole, car ils voyaient combien sa douleur était grande.

JOB. Chapitres 2 à 27..

La perte d’une amitié proche est une des pires épreuves quelquefois, mais elle peut être une chose de bien aussi que Dieu veut faire sortir dans votre vie, surtout s’il juge que cette amitié n’est de bonne compagnie. Toutefois, ces relations qui ont été brisées peuvent devenir un tremplin pour grandir.
Quelques amis s’éloignent avec le temps, car leurs intérêts ont changé où ils ont déménagé. La séparation la plus pénible est celle qui résulte d’un conflit non résolu.
Mais aujourd’hui, nous devons savoir qu’il y a amis et amis, il y a des vrai, des faux, des bons amis, et aussi des mauvais amis et nous voyons que Job découvre vraiment qui sont ses trois amis, qui a fait tout un semblant à aller même à s'asseoir par terre et se jeter la poussière en l’air au-dessus de leur tête, tout cela, bien-aimés pendant sept jours et sept nuits. On pourrait dire quelle amitié parfaite entre ses hommes, quelles amitiés profondes.

Bien-aimés, Dieu a permis à Satan de toucher Job. Satan lui a enlevé ses biens, ses enfants, et même sa santé. Dieu ne lui a cependant pas permis de lui enlever la vie (Job 2:6). La femme de Job, révoltée, incite alors Job à maudire Dieu et à demander la mort. Job, cependant, lui ferme la bouche et reste ferme malgré la souffrance. Pas plus que nous, Job ne comprend pas ce qui lui arrive, mais il se soumet à Dieu. Il ne se révolte pas.

Voilà ! Que cette hommes dans sa souffrance, après la découverte des pensées de sa propre femme qui était plus qu’un ami, va se trouver en face de ses amis, Eliphaz, Bildad et Tsophar, viennent le visiter dans son malheur et restent sans paroles pendant plusieurs jours. Accablé par la souffrance, Job se plaint, puis, finalement se révolte. Il n’a plus envie de vivre. Ses amis, alors, lui parlent, chacun à sa manière.

Frère regardons le nom des trois amis de Job :
Eliphaz = “Dieu est de l’or fin” Qui représente comment Dieu est précieux dans la vie de Job
Bildad = “ Fils de consternationDésolation, qui est entré dans la vie de Job
Tsophar = “ Qui Gazouille, moineau” Qui représente le bébé, le paresseux. Donc Job doit renaître de nouveau redevenir un enfant, un recommence d’une nouvelle vie avec Dieu qui va l'élever.

Bien-aimés, assez souvent saisis dans l'épreuve, a cet instant précis qu’on peut voir qui sont les amis qui semblent être des vrais amis, car le premier ami Éliphaz de Job lui dit : Où est ton espérance ?. Dieu châtie l’homme qu’il aime !
Le second : Bildad ne comprend pas pourquoi Job se plaint et se justifie ; loin de le soutenir, il l’accable encore, (sans oublier la signification de son nom). « C’est à cause de tes péchés et de ceux de tes fils que tout cela t’arrive ! »… Bildad scrute le passé de Job ; sans compassion, il accuse Job et jette la désolation dans sa souffrance.
Le troisième ami : Tsophar est conscient de posséder une sagesse supérieure à celle des autres et à celle de Job. Il voudrait amener Job à se repentir…( sans oublier la signification de son nom “renaître de nouveau”).

Frère, Coup après coup, les trois compagnons enfonceront leur accusation dans la conscience de Job, comme on enfonce les clous de Jésus : Tu es un hypocrite, un homme rusé. Si tu n'étais pas coupable, tu ne te défendrais pas avec autant de paroles. Qui s'excuse, s'accuse, dit le proverbe (v. 5 et 6).

Job ne peut recevoir les conseils de ces amis, tout comme nous de nos amis qui se sont fait la malle quand nous sommes touchés par l’ennemi.
Après les avoir écoutés, il résiste fermement à leurs paroles, se détourne d’eux et se tourne résolument vers Dieu. Il dit : « Je veux parler au Tout-Puissant et me défendre devant Lui… Vous n’êtes que de mauvais médecins, si seulement vous pouviez vous taire ! Taisez-vous, laissez-moi ! » (Job 13:3 à 11). Puis il parle à Dieu en suppliant : « Mon dieu donne-moi seulement deux choses, retire de moi la souffrance, puis, parle-moi et je te répondrai » (13:20 à 22).
Oui bien-aimés beaucoup d’amis sont là pour empêcher notre communion avec Dieu, notre progression et certain sont devenu les agents de satan , bien placé pour nous faire tomber au moment où Dieu veut nous tester, préparer pour son élévation.
Nous devons quelquefois être comme Job, fermé nos oreilles ou faire fermer certain bouche qui nous dit là-bas ou dans telle église sais mieux, laissons Jésus nous donner la direction. Amen

Sans comprendre ce qui lui arrive Job sait cependant que son Dieu n’agit pas d’une manière injuste. Il trouve son refuge dans la Parole de Celui qui répond aux prières. Voilà bien-aimé, le comportement que vous devez avoir avant de suivre un ami, avant de vous laisser conduire par toute sorte de doctrine et de tout vent de Sud de notre continent, car (Théman = "sud"), (Schuach = "dépression"), (Naama= Fille de Lémec et soeur de Tubal-Caïn avant le déluge), car la suite des noms des amis de job, nous conduit à bien comprendre qui le déluge s'est abattu dans la vie de job pour faire le nettoyage, tout comme dans la vôtre qui est en train de vivre une épreuve aujourd’hui.

Bien-aimés, Il y a déjà une certitude que Dieu est en train d’écrire dans son cœur, et qui le soutient. Job se met en prière au chapitre 19 du livre : « Je voudrais que mes paroles soient écrites et qu’elles soient pour toujours gravé dans le roc : je sais que mon rédempteur est vivant, Il se lèvera le dernier sur la terre. Quand ma peau sera détruite, il se lèvera et je contemplerai Dieu. Je le verrai et il me sera favorable. Mes yeux le verront et non ceux d’un autre. Mon âme languit d’attente au-dedans de moi ! » (Job 19:23).
Alors que les amis de Job l'invitait à regarder à son passé, le Seigneur, malgré la souffrance encore présente, soutient son âme par des paroles d’espérance. La seule réalité qui réjouit et soutient le cœur de Job est celle de la vie éternelle auprès de son rédempteur (son Sauveur). Je le verrai de mes yeux !
Frère, sœur, aujourd’hui, nous pouvons prendre la situation de Job comme exemple, mais il faut que nous puissions comprend, Job son histoire est avant l'arrivée de Jésus, il est seul dans son combat, il a plus ses amis, et ni le fils de Dieu Jésus, il compte sur son Dieu.
Vous aujourd’hui, vous n'êtes pas seul dans le combat ni dans les épreuves, car vous avez Jésus qui est mort pour vous et vous a donné la victoire, sans oublier que vous avez le St-Esprit, dont votre combat ou votre passage dans vos épreuves vous fera toujours sortir victorieux, car Jésus est dans la barque avec vous, tout comme Job, c'est a vous de placer votre foi et mettre Dieu à la première place aujourd’hui.

Conclusion

Notre avenir et notre joie à nous aussi est dans l’œuvre accomplie par Jésus pour que nous soyons pour toujours auprès de Lui. Nos yeux le verront et nous serons pour toujours avec Lui. « Vous l’aimez sans l’avoir vu, vous croyez en lui sans le voir encore, vous réjouissant d’une joie merveilleuse et glorieuse, parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour récompense de votre foi » (1 Pierre 1:8).
Bien-aimés pour finir, il y a de l'orgueil dans cette attitude. « Je tiendrai ferme ma justice… Dit Job mon cœur ne me reproche aucun de mes jours » (v. 6). Mais que répond la parole de Dieu ? « Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est pas en nous » (1 Jean 1:8). D'ailleurs, si notre propre cœur ne nous reproche rien, cela ne prouve pas que nous sommes sans péché. Dieu est infiniment plus sensible au mal que ne l'est notre conscience (1 Cor. 4:4). Dans la pénombre, nos vêtements peuvent nous paraître propres tandis qu'en plein soleil (celui de la lumière de Dieu) la moindre tâche apparaîtra (Prov. 4:18).

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