LEVEZ VOUS AVEC LE SAINT-ESPRIT POUR ALLER VISITER LES MALADES

Actes 28:7-10 (LSG)
7 Il y avait, dans les environs, des terres appartenant au principal personnage de l'île, nommé Publius, qui nous reçut et nous logea pendant trois jours de la manière la plus amicale.
8 Le père de Publius était alors au lit, malade de la fièvre et de la dysenterie; Paul, s'étant rendu vers lui, pria, lui imposa les mains, et le guérit.
9 Là-dessus, vinrent les autres malades de l'île, et ils furent guéris.
10 On nous rendit de grands honneurs, et, à notre départ, on nous fournit les choses dont nous avions besoin.

Pour eux et pour nous..

L'Évangile nous parle de beaucoup de guérison, mais souligne particulièrement que c’est à la suite d’une communion dans la prière, d’une visite programmée par Dieu et le Saint-Esprit, que cela a pu se faire.
Nous voyons que les disciples, les apôtres ou pu entre dans leurs ministères de guérir, juste après le départ de Jésus et en attendant l'arrivée du Saint-Esprit sur eux.
Parce que, tout le temps que le Maître était là, ils n'ont pas pu faire des miracles, car il y a toujours un temps de formation dans les choses de Dieu. (Actes 20.20, 2.42)
Cela nous pousse à nous poser des questions avant de penser qu’on peut aller faire les choses par soit même sans les conseils et l’avis du Saint-Esprit. (Actes. 1.7)

Personne ne peut faire le travail de Dieu sans ne pas avoir reçu le Saint-Esprit, et c’est aussi pour cela que Jésus avait demandé aux apôtres et à nous aussi d’attendre le Saint-Esprit avant de partir dans le monde.(Matthieu 28.19 - 20) Amen !

Qui n’a jamais été malade ? Au fond du lit avec une violente fièvre, ou après une maladie et qu'on perd tout, ces capacité physique et morale. Affaibli au point de ne pouvoir se lever ou même de savoir le jour qu’on peut être, et d'être oublié par les autres.

Bien-aimé, savez-vous quel est la joie pour un malade d’avoir la visite de quelqu’un avec des paroles réconfortant, qui rassure, qui lui apporte la joie de savoir que rien n’est pas fini et qu’il a de l’espoir en Jésus-Christ.
Quelle joie alors de recevoir une visite, un sourire, une parole fraternelle, la prière. C’est comme une force venue de Dieu qui redonne instantanément la vigueur et la joie au cœur et raffermit les membres pour leur redonner l’envie de continuer, de se lever et de rentrer dans la paix de Dieu.

Jésus nous demande d’aller dans le monde, mais particulière de visiter les malades, ceux qui sont décourager, ou leur fois leur fait défaut, et cela, on peut le comprendre, car quand on est malade, on a tendance a se concentre beaucoup plus sur son état… Dieu entend la détresse de ces enfants, il entend leurs cris, tout comme Jésus les entendais aussi et qui était rempli de compassion, il trouve toujours un moyen d’envoyer son secours, d’envoyer un frère, une sœur remplie du Saint-Esprit et de sa compassion pour faire l’œuvre selon sa volonté.

Vous, qui avez reçu le Saint-Esprit, avez-vous oublié ce que Jésus vous a demandé de faire après ?

Actes 1.8

Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous, et vous serez mes témoins à Jérusalem, dans toute la Judée, dans la Samarie, et jusqu'aux extrémités de la terre.

Matthieu 10.8-10

Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement. Ne prenez ni or, ni argent, ni monnaie, dans vos ceintures; ni sac pour le voyage, ni deux tuniques, ni souliers, ni bâton; car l'ouvrier mérite sa nourriture.…

Beaucoup d’entre nous on oublie vite faites ce que Jésus nous demande de faire jusqu'à aujourd’hui, et nous gardons pour nous ce que nous recevons de Dieu, du Saint-Esprit et l'attristons par notre manque de discernement et notre égoïne.

Si nous voulons progresser, il nous faut accepter que Dieu mette le doigt sur des choses pour que nous reconnaissions qu’elles doivent changer. Et notre Dieu de grâce va nous aider à changer. Il veut faire des choses extraordinaires avec nous. Dieu veut que nous soyons des voiles gonflées par le vent, remplies du Saint-Esprit pour son œuvre envers les autres.

Bien-aimé Paul à expérimenté cela dans son ministère et a vue comment Dieu créait une situation difficile (actes 27) pour que son œuvre puisse se faire là ou on ne s'attend pas, et cela, même sur une île perdue, Dieu intervient, quand ces enfants ou besoin d’aide et de guérison  (Actes 28.7 - 10).

Voilà que la Bible nous dit (v. 1) “Après nous être sauvés, nous reconnûmes que l’île s’appelait Malte” Frère Dieu te sauve avant de t’envoyer sauver les autres dans le monde et ces hommes et particulièrement Paul, on été sauvé pour la mission comme vous et moi.
Imager que vous être Paul et que cela se déroule sur l’île de la Guadeloupe ou vous fait naufrage.
Dieu a un plan et un Job pour vous, comme il là eut aussi pour Paul, on ne peut pas avoir la main de Dieu sur sois et le Saint-Esprit pour ne rien faire pour les autres. Amen
Aujourd’hui Dieu a un plan et un job pour toi ! Il veut qu'à partir d’aujourd’hui, que vous puissiez avoir de la compassion des autres et d’aller visiter les malades qu’il vous montrez.

Si nous marchons encore avec la chair, si nous avons des motivations charnelles, notre voile ne sera pas utile sur cette île que Dieu nous a donné. Aucun de nous ne peut se vanter de marcher toujours par le Saint-Esprit, nous sommes donc tous concernés. Heureusement, Dieu veut nous aider. Le Saint-Esprit nous a été donné pour que nous avancions, pour que le Royaume de Dieu avance !

Dieu ne veut pas que nous soyons déchirés, en lambeaux. C’est à nous de nous placer devant Dieu et de reconnaître les situations dans lesquelles nous marchons encore selon la chair. Demandons-lui de nous aider à faire les choses différemment, par son Esprit.

Paul à été reçu pour cet homme nommé Publius et à été logé pendant trois jours de la manière la plus amicale. C’est ce que Jésus nous parle en nous disant “Dans quelques villes ou village que vous entriez, informez-vous s'il s'y trouve quelques hommes digne de vous recevoir ; et demeurez chez lui jusqu'à ce que vous partiez. En entrant dans la maison, saluez-la; et, si la maison en est digne, que votre paix vienne sur elle; mais si elle n'en est pas digne, que votre paix retourne à vous.…”  Matthieu 10.11 - 13

Bien-aimée, la situation de Paul se trouve presque identique à celui de Pierre que Dieu envoi visité la maison de Corneille, Dieu permet à Paul d’être reçu et de visiter la maison de Publius.
Mais le plan n’est pas notre plan et il permet à son serviteur de savoir que le père de Publius était malade d’une fièvre et de la dysenterie, et c’est là que Paul découvre vraiment la mission que Dieu veut qu’il fasse après tant de péripétie sur ce bateau dans la tempête et qui fait naufrage, non pas sur l’île de Crète, mais sur l’île de Malte.

Frères, sœurs, nous avons une mission, celle de visiter les malades, d’apporter les paroles Dieu a quelqu’un qui a besoin, de prier pour eux chez eux. Trop longtemps que nous recevons et que nous gardons ce que nous avons reçu. Nous sommes quelquefois en train d’attrister le Saint-Esprit et Dieu, qui a déposé ces dons en nous, pour aller chez les autres donner ce qu'on a reçu.

Beaucoup d’entre nous dans une telle situation, n'auraient pas vu cet homme qui était malade ou l’aurait vue, mais n’aurait pas eut l’idée d’aller vers lui et de prier puis lui imposer les mains. Car ce que nous aurons en tête, après avoir frôlé la mort aussi près, nous penserions à notre petit personnage.
Paul a eut ce discernement, il ne s'est pas arrêté à sa petite personne, mais à celui de cet homme avec un cœur de compassion pour les autres, et c’est là que Dieu rajouté les autres malades de cette île qui avait besoin de guérisons que nous ne pouvons pas attendre, mais que Dieu qui est un Père écoute et qui Jésus est venu pour sauver comme il vous a sauvé aussi.

Bien-aimée, la mission de Dieu ne s'arrête pas d'aller tous les jours à l’église, de donner vos dîmes, vos offrandes, car Dieu n’a rien à faire de cela, il vous attend en communion avec lui dans la prière pour vous montrer la mission, qu’il a pour vous chaque jour, que vous devez aller visiter, à qui vous devez prier et pour qui, à qui vous devez imposer les mains.

Faire avancer l’œuvre de Dieu ne dépend que de nous ! Nous pouvons demander au Saint-Esprit de nous remplir. Nous n’avons rien de spécial à faire pour cela, il nous suffit d’obéir et de croire à la Parole de Dieu !
Nous devons marcher dans les voies de l’Esprit, c’est pourquoi Dieu nous remet parfois les pendules à l’heure !

Ces malades ont besoin de ces paroles d'encouragement, ont besoin d’être nourrie de la parole de Dieu pour fortifier leur foi, car s’ils ont la foi, le miracle de Dieu peut opérer.
N’allez voir les malades en leur apportant vos soucis, vos difficultés, ils ne veulent pas de cela, mais de savoir que Dieu peut les guérir. Amen

Quand vous allez visiter les malades, vos téléphones portables éteignez les, ils n'ont pas besoin d'entrer vos conversations, mais de sentir que vous être venu avec quelqu’un chose qui va changer leur situation. Ils doivent voir en vous Jésus le sauveur..

Dieu, nous demande-t-il de réaliser des choses impossibles ? Non, il nous a donné le Saint-Esprit pour que nous puissions obéir à Dieu et entrer pleinement dans sa Parole. Le Saint-Esprit est un Esprit d’amour qui vous aime et qui m’aime et qui aime aussi les autres. C’est parce qu’il est amour, qu’il nous reprend ce matin.

Conclusion

Dieu ne désire pas nous évincer, mais nous reconstruire et nous transformer.
La volonté de Dieu est de nous donner cette capacité de faire partie de ces soldats, ces témoins intègrent juste remplis de compassion, d’être UTILE pour l’œuvre de Christ.

Soyons rassurés, nous ne sommes pas capables de le faire par nous-mêmes, mais par l’Esprit de Dieu tout est possible !
C’est l’Esprit de Dieu en nous qui nous dit « Tout est possible à celui qui croit. » (Marc 9 v 23) Et c’est ce même message que nous devons apporter pour ces malades.
Jésus est à la droite du Père. Celui qui remplace Jésus sur terre, c’est le Saint-Esprit. C’est Lui qui nous rappelle les paroles de Jésus, qui nous montre ce qu’il a fait et ce que nous avons à faire pour ces gens malades.