mardi 9 novembre 2021

ÊTES-VOUS PRÊTS A PARTAGER VOTRE DERNIER PAIN

Esaïe 58:7
[7]Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable.

Jean 6:35
[35]Jésus leur dit: Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif.

1 Rois 17:1-24
[1]Élie, le Thischbite, l'un des habitants de Galaad, dit à Achab: L'Éternel est vivant, le Dieu d'Israël, dont je suis le serviteur! il n'y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole.
[2]Et la parole de l'Éternel fut adressée à Élie, en ces mots:
[3]Pars d'ici, dirige-toi vers l'orient, et cache-toi près du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain.
[4]Tu boiras de l'eau du torrent, et j'ai ordonné aux corbeaux de te nourrir là.
[5]Il partit et fit selon la parole de l'Éternel, et il alla s'établir près du torrent de Kerith, qui est en face du Jourdain.
[6]Les corbeaux lui apportaient du pain et de la viande le matin, et du pain et de la viande le soir, et il buvait de l'eau du torrent.
[7]Mais au bout d'un certain temps le torrent fut à sec, car il n'était point tombé de pluie dans le pays.
[8]Alors la parole de l'Éternel lui fut adressée en ces mots:
[9]Lève-toi, va à Sarepta, qui appartient à Sidon, et demeure là. Voici, j'y ai ordonné à une femme veuve de te nourrir.
[10]Il se leva, et il alla à Sarepta. Comme il arrivait à l'entrée de la ville, voici, il y avait là une femme veuve qui ramassait du bois. Il l'appela, et dit: Va me chercher, je te prie, un peu d'eau dans un vase, afin que je boive.
[11]Et elle alla en chercher. Il l'appela de nouveau, et dit: Apporte-moi, je te prie, un morceau de pain dans ta main.
[12]Et elle répondit: L'Éternel, ton Dieu, est vivant! je n'ai rien de cuit, je n'ai qu'une poignée de farine dans un pot et un peu d'huile dans une cruche. Et voici, je ramasse deux morceaux de bois, puis je rentrerai et je préparerai cela pour moi et pour mon fils; nous mangerons, après quoi nous mourrons.
[13]Élie lui dit: Ne crains point, rentre, fais comme tu as dit. Seulement, prépare-moi d'abord avec cela un petit gâteau, et tu me l'apporteras; tu en feras ensuite pour toi et pour ton fils.
[14]Car ainsi parle l'Éternel, le Dieu d'Israël: La farine qui est dans le pot ne manquera point et l'huile qui est dans la cruche ne diminuera point, jusqu'au jour où l'Éternel fera tomber de la pluie sur la face du sol.
[15]Elle alla, et elle fit selon la parole d'Élie. Et pendant longtemps elle eut de quoi manger, elle et sa famille, aussi bien qu'Élie.
[16]La farine qui était dans le pot ne manqua point, et l'huile qui était dans la cruche ne diminua point, selon la parole que l'Éternel avait prononcée par Élie.
[17]Après ces choses, le fils de la femme, maîtresse de la maison, devint malade, et sa maladie fut si violente qu'il ne resta plus en lui de respiration.
[18]Cette femme dit alors à Élie: Qu'y a-t-il entre moi et toi, homme de Dieu? Es-tu venu chez moi pour rappeler le souvenir de mon iniquité, et pour faire mourir mon fils?
[19]Il lui répondit: Donne-moi ton fils. Et il le prit du sein de la femme, le monta dans la chambre haute où il demeurait, et le coucha sur son lit.
[20]Puis il invoqua l'Éternel, et dit: Éternel, mon Dieu, est-ce que tu affligerais, au point de faire mourir son fils, même cette veuve chez qui j'ai été reçu comme un hôte?
[21]Et il s'étendit trois fois sur l'enfant, invoqua l'Éternel, et dit: Éternel, mon Dieu, je t'en prie, que l'âme de cet enfant revienne au dedans de lui!
[22]L'Éternel écouta la voix d'Élie, et l'âme de l'enfant revint au dedans de lui, et il fut rendu à la vie.
[23]Élie prit l'enfant, le descendit de la chambre haute dans la maison, et le donna à sa mère. Et Élie dit: Vois, ton fils est vivant.
[24]Et la femme dit à Élie: Je reconnais maintenant que tu es un homme de Dieu, et que la parole de l'Éternel dans ta bouche est vérité.


Peuples de Dieu, peuples de Yeshoua et peuples des îles, c’est à vous en dernier que le pain devrait est donné et c’est aussi par vous qui êtes a l’extrémité de la terre que tout débutera (Actes 1 : 8).

Bien-aimés, Chère Frères et sœurs, savez-vous que les premiers disciples se sont mis à témoigner sans aucune expérience au préalable, sans méthode d'évangélisation et sans formation.

Alors vous êtes-vous déjà demandé comment ont-ils réussi ? Je ne me permets pas d'y répondre à votre place, mais de vous laisser méditer là-dessus.

Aujourd’hui, quand on pense ou en parle de Dieu, de Jésus, on pense à quelqu’un d’invisible, de très loin dans le ciel, hors de portée, qu’on ne peut pas toucher, qu’on ne peut pas sentir… Et en même temps quelqu’un qui est à l’intérieur de nous-mêmes, dans notre cœur, notre esprit, notre conscience.

Nous avons là tout les signes et les sentiments de l'amour que Dieu manifeste envers chacun de nous. Tout comme, quand nous avons expérimenté nos première rencontre amoureuse.

Partageons notre dernier pain.
Mais sommes nous vraiment capables ou prête à partager ce dernier pain que nous avons reçu du ciel.

Car il y a beaucoup d’indices dans la parole de Yeshoua qui nous montre que le pain vient vraiment du ciel et non par nos propres forces... Car l'une des prières que Yeshoua avait faite et avait apprise à ces disciples disait bien : « Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. »
Ce pain, aujourd’hui dans notre pays, nous n’en manquons pas. Et c’est tant mieux ! Mais avons-nous toutes reçu le bon pain, le vrai pain du ciel.

Car Moïse a son époque à reçu le pain du ciel la manne. Mais vous aujourd’hui vous avez reçu le vrai pain du ciel que vous devriez témoigner et partager, qui est la parole de Dieu, Yeshoua lui-même. « Jean 6:35 Jésus leur dit : je suis le pain de vie. Celui qui mange de ce pain n’aura plus jamais faim.»

Pour ceux qui méditent la parole de Dieu, conduit et enseigner par le St-Esprit. Vous connaissez que dans la première alliance, qu'il y a eu des signes annonciateurs de ce qui devait ce passé aujourd’hui.
Car toutes ces choses prévoyaient l’arrivée par des symboles du vrai pain Yeshoua. Amen

Mais aujourd’hui êtes-vous prête à partager votre dernier pain comme cette veuve de Sarepta, ou êtes-vous comme Nabal.

« 1 Samuel 25 : 9-11
Lorsque les gens de David furent arrivés, ils répétèrent à Nabal toutes ces paroles, au nom de David. Puis ils se turent.
Nabal répondit aux serviteurs de David : Qui est David, et qui est le fils d'Isaï? Il y a aujourd'hui beaucoup de serviteurs qui s'échappent d'auprès de leurs maîtres. Et je prendrais mon pain, mon eau, et mon bétail que j'ai tué pour mes tondeurs, et je les donnerais à des gens qui sont, je ne sais d'où ? »

Bien-aimés, aujourd’hui il y a beaucoup de fausses pensées, de dire, de palabres, qui peuvent nous empêcher de partager notre pain. 
Et pourtant, les écrits de la Sainte Bible, qui est la parole de vérité devraient nous pousser à y croire fermement et à y entrer spirituellement dans ce mois novembre, qui est celui de la bénédiction, et du pain du ciel, ou nous devrons être bénis.

Mais si nous ne mettons pas en pratique Esaïe 58:7
« Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile ; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable. »

Comment pouvons-nous recevoir de Yeshoua lui-même en question ?

La loi de la nature et de la parole de Dieu, est que : « Celui qui sème, récolte ce qu'il a semé », ce sont là des bases qui doit se répéter de génération en génération.

Mais nous connaissons les conséquences qui nous empêchent d'y entrer, comme (amis de l’argent, fanfarons, égoïste, hautains …le Moi.. 
2 Timothée 3:2).

Frères, sœurs, la bible nous parle de l’histoire de la veuve de Sarepta et de cette homme fort, riche qui est Nabal, afin de nous pousser à comprendre que Dieu, Yeshoua n'a point changé, il est le même d’hier, d’aujourd’hui et pour des siècles et des siècles.

Donc le problème se sont nous-même, et à cause de nos cœurs de pierre comme nous dit Yeshoua dans Ézéchiel 36 : 26, dure, personnel, égoïste, avec beaucoup de faux semblent en chacun de nous, quel que soit qui nous sommes, serviteur, servante de Dieu, riche, pauvre.

Dans la première étude du livre 1 Rois 17 : 1-24, nous voyons que Dieu nous montre qu'il reste le Dieu de toutes les circonstances, et quel que soient les épreuves de notre vie en qualité d’enfant de Dieu, disciple Christ, et serviteur de Dieu.

Car dès l’instant que nous avons accepté Christ comme notre Seigneur et sauveur, puis baptiser, nous sommes avant tout les enfants de Dieu, mais aussi les sacrificateurs du royaume de Dieu en mouvement sur la terre. Amen !

Donc vous connaissez votre identité et que Dieu ne laissera jamais les siens pour nourrir d’autres, si ce n’est que par la foi qu’ils ou elles recevront.
« Matthieu 15: 26-27. Il répondit : Il n'est pas bien de prendre le pain des enfants, et de le jeter aux petits chiens. Oui, Seigneur, dit-elle, mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres. »

Comprenez-vous que Yeshoua ne vous laisse pas tomber et le confirme ici par ce verset « Il n'est pas bien de prendre le pain des enfants, » si vous marcher avec lui. Amen

Yeshoua nous montre qu'il prend soin de son serviteur, pendant ce passage difficile, sans manger, sans eau. La première chose qu'il donne à son serviteur Élie
C’est ce pain, qui est la vie ; puis la viande qui représente notre chaire qui doit mourir pour faire place à Yeshoua ; et la troisième qui est l'eau, qui est la force, la puissance, le St Esprit. 

Dont chacun de nous a besoin pour notre vie et pour la mission que Dieu va nous confier.

Bien-aimé, il y a des conditions pour recevoir tout cela dans vos épreuves. 
Dites vous cela au plus profond de vous : « Dans l’épreuve Yeshoua a déjà prévu le pain et l'eau pour moi, et je sortirai vainqueur, je ne me manquerai de rien au nom de Yeshoua. Amen »

Les conditions sont simples et Dieu nous en parle à travers l’exemple de son serviteur. 

Nous devons apprendre à faire taire, ou faire mourir la chair en nous, et de laisser tout la place à Yeshoua et le St-Esprit. Amen !

Car par vous-même, vous ne pourrez rien, si ce n’est que de vous faire passer a coté de ce que Dieu a prévu pour vous.

Bien-aimé, ce sont ces épreuves qui nous façonnent afin que nous apprenions, nous aussi à notre tour à partager notre dernier pain sans crainte, sans soucis du le lendemain. 

Comme cette veuve, qui devant une telle situation décide de faire ce gâteau pour ce serviteur, qui lui réclame son dernier pain malgré sa condition et son fils qui n’avait plus rien pour demain.

Frères, elle donne son pain, car cette veuve de Sarepta, connaît ce Dieu loin dans le ciel ou ce Dieu présent dans notre cœur, qui est capable de lui donner le pain de ce jour, celui du demain et celui pour la vie entière qui est Jésus.

Car elle avait besoin de ce pain qui donne la vie et non celui qui la retire.

Bien-aimés dans le Seigneur, pour comprendre un peu qui est Dieu, il faut savoir ce qu’est le pain. Ce qu’il signifie.

Mais dès qu’on réfléchit à cette question, on se rend compte d’une chose, que la valeur fondamentale du pain, c’est de faire vivre, d’entretenir les forces de vie. Mais en même temps pour que cette vie soit une vraie et bonne vie, et ne pas seulement survivre, il faut très vite que s’ajoute quelque chose de fondamental.
Et cette chose fondamentale, c’est le partage. Amen

Frères, sœurs, partager son pain, c’est partager sa vie.
Le pain partagé devient alors une nourriture, dans tous les sens du terme que ce soit dans le sens physique et dans le sens spirituel.

Le pain partagé donne la force de ce jour, et il donne la joie pour toujours, la joie inépuisable.

C’est ce qu’on peut comprendre dans l’histoire du prophète Elie et cette veuve de Sarepta que Dieu fait un zoom.

La pauvre femme qu’Elie rencontre a de quoi faire le pain de ce jour. Elle a de quoi faire le pain de la survie pour ce jour. Pour elle-même et pour son fils.
Et c’est tout ce qu'elle à…

Mais le prophète Elie lui demande de partager avec lui ses pauvres provisions. Lui, qui est prophète de Dieu, lui adresse en quelque sorte la même prière que nous adressons à Dieu. Il lui demande : « Donne-moi aujourd’hui le pain de ce jour ! »

Bien-aimés, si c’était vous. Quelle sera votre attitude ?
Le serviteur de Dieu, ne cherche pas à la priver, ni son fils, ni à accaparer son pain évidemment. . Qu’aurait-il à y gagner lui-même ?

En réalité Dieu, cherche à nous entraîner aujourd’hui, comme avec la veuve dans le partage de confiance. Car le serviteur de Dieu ne lui demande pas simplement de donner son pain mais de le partager comme Dieu a partager son fils avec nous et aussi bien son Esprit à travers Sa parole. 

Pour certains, le dernier pain, peut représenter le pain du désespoir, car après lui, il n’y en a plus d’autres. Après ce dernier pain, c’est la faim, c’est la mort.

Alors le serviteur de Dieu demande à cette femme, comme Yeshoua nous le demande aussi, de partager le dernier pain du désespoir. Pourquoi le dernier pain de désespoir ?

Dans nos vies aujourd’hui, beaucoup ne voie plus l'avenir, n’arrive plus à joindre les deux bouts, et cela, de jour en jour que nous allons nous approcher du retour de Yeshoua...

Car Yeshoua à travers le pain qui est lui-même, le pain qui descendra du ciel, veut retirer en nous tout ce qui nous empêche d’être des chrétiens, des disciples qui partagent, comme au temps de l'église primitive. 
« Il vendit tout ce qu’ils avaient, et ont mis en commun. »
Pourriez-vous imaginer comment nous sommes loin d’arriver à cela ?

Dont premièrement le partage de l'amour de Christ, le partage de la parole de Dieu, en parole et en action qui est aussi ce pain que nous parle Yeshoua.

Pour nous aider aujourd’hui et comme il a fait avec la veuve. Yeshoua nous dit que le partage du pain de désespoir devient pain d’espérance.

Bien-aimés, par le partage du dernier pain, du dernier jour, devient le premier pain du premier jour, c’est à dire le pain d’une vie nouvelle, d'un nouveau départ avec Jésus

Le pain inépuisable d’une vie nouvelle inépuisable puisque c’est le pain de l’amour, c’est le pain qu’on mange ensemble, et que fait de nous des sacrificateurs pour aller aussi la partager avec les autres qui sont restées au loin et qui ne connaissent pas que Christ n'est pas une religion. Amen !

Frères, sœurs, c’est cela qui nous aidera pour comprendre aussi ce qu'Elie promet : « Que ni la farine, ni l’huile ne manqueront jusqu’à la fin de la sècheresse. ».

Partager le dernier pain, c’est plus que partager le dernier pain, c’est ouvrir ou découvrir en soi-même quelque chose qui ne peut pas s’épuiser : la joie de donner, la joie de partager, la joie d’aimer.

Alors on peut comprendre aussi pourquoi Yeshoua se présente lui-même, dans l’Évangile de Jean, comme le Pain de vie, on comprend qu’il dit : celui qui mange de ce pain n’aura plus jamais faim.
Ce pain, c’est bien sûr celui qu’il faut au corps et à vous aussi qui attendez en espérant trouver un plus bon et grand pain pour survivre.

Bien-aimés, en ce mois de novembre et pour les jours avenir, c’est le pain de la bénédiction que vous devriez recevoir. 
C’est le pain dont Jésus a nourri une foule innombrable.
C’est ce pain qu’il a donné comme symbole de sa propre personne et de sa propre vie.
C’est en partageant ce pain que nous connaissons Dieu et que nous recevrons à notre tour et que nous en mangerons encore plus.

Alors je proclame au nom de Yeshoua hamashiah qui est le pain de vie, qu'il entre dans ta vie, dans ta famille et donne la vie à tout ce qui était mort en vous et celui de votre famille Amen ! Qu'il soit fait selon la volonté de Dieu.

Alors recevez votre bénédiction par la fois au nom de Yeshoua hamashiah dans le partage de Dieu. Amen

Pasteur Évangéliste JeanJd🕊💗

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