mardi 1 novembre 2022

ARRÊTER DE VOUS FAIRE DES SOUCIS POUR LES MORTS AFIN D'ENTRER DANS VOTRE APPEL AU MINISTÈRE !


Matthieu 8 :21-23 ; Luc 9 :60-61

[21]Un autre, d’entre les disciples, lui dit : Seigneur, permets-moi d’aller d’abord ensevelir mon père.
[22]Mais Jésus lui répondit : Suis-moi, et laisse les morts ensevelir leurs morts.
[23]Il monta dans la barque, et ses disciples le suivirent.

Bien-aimé, nous avons tousse des parents qui ont quitté ce monde, certains son partie dans la joie, d’autres dans la tristesse, mais la question que nous devrons nous poser sont ils sélectionné ou pas pour entrer dans le royaume de Dieu, car après, à mort, il existe une autre vie que seul Yeshoua Dieu sera le gestionnaire de ceux et celles qui en feront partie. Amen

Beaucoup sont partis dans l’ignorance, sans la connaissance de la parole de Dieu, ou encore ont fermé leurs oreilles sur ce que dit Dieu pour leurs vies, et passerait peut-être à côté du plan de Dieu même étant mort.

Mais toi aujourd’hui qui est rempli de la vie de Yeshoua Dieu, ouvre ton cœur, ouvre ta vie, ouvre tes oreilles afin d’entrer, et de connaître le plan de Dieu pour ta vie, et non celui d'aller parlé aux morts, ou de créer des liens intimes avec ceux qui sont déjà partis, mort. Car il ne peut rien pour vous encore aujourd’hui, car en faisant cela, vous ouvrez vos vies à des esprits déchus, qui vous entraînera dans leur trace comme quand Satan a été jeté du ciel et la Bible dit :
« Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui. » Apocalypse 12 : 9

Dieu n’a point choisi cette destination pour toi, et dans son plan il y a bien la mort, mais il dit que tous les morts ressusciteront, « ceux qui ont fait le bien, à la résurrection de la vie, et ceux qui ont fait le mal, à la résurrection du jugement ». Et il y aura un jugement, un tri fait par Dieu. Mais il faut qu’il te trouve juste pour que toi aussi sois à sa droite, comme notre Sauveur Seigneur Yeshoua est aujourd’hui. Amen

En effet, Dieu n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour condamner le monde, mais il l’a envoyé pour qu’il sauve le monde. (Jean 3 : 16-17).

Alors permettez à Yeshoua Jésus-Christ de vous le redire encore une fois « Laisse les morts ensevelir leurs morts » : la formule frappe et semble exclure sentencieusement tout souci pour les morts !

Mais, précisément, ce pourrait n’être qu’une formule annonçant métaphoriquement l’avènement d’un monde nouveau, un nouveau monde, qui pour y avoir accès qu’il vous faudrait respecter les exigences de Dieu, et celui de se préparer pour en faire partie, au lieu de passer son temps dans le passé avec les morts, la tradition, car en agissant ou en continuant à nourrir des relations avec le ténèbres, il ce peut vous vous disqualifié le jour du grand jugement, mais aussi bloqué ce que Dieu a déjà disposé pour vous , actuellement sur cette terre.

Bien-aimé, la Bible nous montre bien que sais un chrétien, qui se trouve entre deux chaises, donc devant un choix, sois celui de quitter le monde des morts, ou de vivre celui qui propose la vie éternelle...

Matthieu 8 : 21-22 : « Un autre des disciples lui dit : “Seigneur, permets-moi d’aller d’abord ensevelir mon père. ” Mais Jésus lui dit : “Suis-moi et laisse les morts ensevelir leurs morts”.»

Oui ! Aujourd’hui beaucoup d’entre vous se trouve dans ce choix, peut-être qu’il ne s’agit pas d’aller enseveli un de ses parents, mais dans d’autres conditions de morts spirituelles.

Frères et sœurs, le fait de ne pas connaître la parole de Dieu, ou de ne pas y adhérer et de vivre selon vos propres volontés, fait de vous des gens spirituellement mort aux yeux de Dieu, malgré l’envoi de son fils.
Ce propos, qui peut scandaliser, rappelle qu’aucun texte testamentaire n’accorde d’importance majeure à l’ensevelissement des morts, car c'est après l’ensevelissement que le testament prend toute sa place.

Ces éléments, certes contrebalancés par l’importance accordée à la sépulture dans le premier Testament (que ce soit celle des patriarches ou l’exemple de Tobie ou ces parents avait cela comme métier), iraient dans le sens d’une indifférence pour les corps des morts.

Aujourd’hui encore nous nous demanderons donc comment le discours de Yeshoua Jésus-Christ, pris dans cette contradiction entre une institution qui accorde une grande importance aux morts et des textes fondateurs, plus circonspects, pense les rapports entre les vivants et les morts.

Bien-aimé, frères et sœurs.
« Laisse les morts enterrer leurs morts. Toi vas ! Et annonce le Royaume de Dieu (Luc 9.60) »
Rendez-vous compte, que les hommes du passé et jusqu’à ce siècle, sont toujours en train de construire eux-mêmes leurs tombeaux et tiennent ainsi leurs existences captives.

Après avoir prétendu comprendre le sens de cette parole de Jésus, et d’explorer les images qui nous hantent, le mal subi ou causé et les pieuses injonctions de pardon qui vont avec, les liens d’amours mortifères, les images meurtrières de Dieu, la volonté de combler l’absence… 
Mais c’est à chaque fois une parole d’espérance qui rend plus léger, plus apaisé et met en marche vers la vie.

Cela nous pousse aussi à réfléchir sur les actes d'Élisée « regarde en arrière » (pour aller embrasser ses parents) mais aussi en avant (en détruisant et consacrant l’outil de travail symbolisant son passé). 1 Rois 19 : 20

Dans ce passage, l’appel d’Elisée (que je souligne avec le mot de réquisition) n’est pas verbal, mais un geste fort, un acte symbolique, une sorte de rite d’investiture.
Un manteau vient heurter cet acquis. Ce que le prophète Élie réalise par cet acte n’a pas besoin d’explication. Car Élisée le comprend immédiatement ! 
Mais l’appel du disciple anonyme avec : « Laisse les morts enterrer leurs morts… Et suis moi ! » Est beaucoup plus complexe. Amen

Mais alors, devant cette attitude, l’appel de Jésus « Laisse les morts enterrer leurs morts…», qu’en faisons-nous finalement ? 
On peut même se demander si ce qui est demandé, n'est non pas tenable, mais simplement intenable ?

Laisse les morts enterrer leurs morts ! On a envie de dire, un peu à la manière des questions piégées du chapitre 3 de la Genèse : Jésus, a-t-il vraiment dit cela ? Non, Jésus n’a pas tout à fait dit cela.

Ce que l’on voit dans le texte grec est tout de même un peu différent : littéralement, l’appel de Jésus s’exprime ainsi : «… Suis-moi, laisse les morts enterrer leurs morts ». C’est donc le sens de cette phrase que nous devrions comprendre le pourquoi et en quoi elle consiste.

Déjà, nous pouvons dire, c’est un appel au ministère, qui a la même portée que celui d’Elisée : « Quiconque met la main à la charrue et regarde en arrière, n’est pas propre au royaume de Dieu ». Luc 9 : 62

C’est ce même appel de Jésus qui apparaît au chapitre 8 de l’évangile de Matthieu : « Jésus, voyant une foule autour de lui, donna l’ordre de passer sur l’autre rive. Un scribe vint lui dire : Maître, je te suivrai partout où tu iras. Jésus lui dit : les renards ont des tanières, les oiseaux du ciel ont des nids, mais le Fils de l’homme n’a pas où poser sa tête. Un autre, parmi ses disciples, lui dit : Seigneur, permets-moi d’aller d’abord ensevelir mon père. Mais Jésus lui dit : suis-moi et laisse les morts ensevelir leurs morts.» (18-22)

Que repère-t-on dans le passage ? 
Des mouvements ou plutôt des intentions de mouvements contradictoires.

Yeshoua veut quitter cette foule pour passer sur l’autre rive. Un maître de la Loi vient et déclare à Jésus : « Je te suivrai partout où tu iras ». Ce que dit le scribe peut s’entendre comme une déclaration de ralliement.
La disposition à devenir disciple, à marcher derrière un Maître Yeshoua oppose au docteur de la Loi la réponse que nous avons entendue, et le mouvement de sa volonté est arrêté net. Mais s’agit-il de la part de Yeshoua d’un avertissement ou d’une volonté de décourager, devant ce « Je te suivrai partout » ?

Frère comme je vous ai déjà dit plus haut, c'est la réaction d’une autre personne, pourtant déjà disciple, qui veut disposer d’un délai pour enterrer son père avant de se consacrer à le suivre dans cette vie de vulnérabilité annoncée par Yeshoua au maître de la Loi.

Yeshoua dit au disciple anonyme « Suis-moi…» : qui est en effet, l’appelle du « Seigneur ». Mais nous savons que dans tout appel il y a un prix à payer, quelque chose a quitté. Et ici en voie bien la question de mort, de deuil, de ce qu’il convient de faire ou de ne pas faire en pareilles circonstances n’est pas du tout le sujet, mais caché part une autre voie. Amen

Pour conclure

Nous devrions comprendre que nous sommes tous des appelés de Yeshoua Dieu, et il a une façon un peu privée de nous le dire où nous les faire savoir, afin que nous puissions comprendre que nous devrons nous détacher de certaines choses, certaines traditions humaines ou familiales pour y accéder.

Et celui d’aller tous les jours ou chaque année sur les tombeaux des morts, peut nous empêcher de le servir, car nous nous attachons à des choses qui n'ont plus de vie, plus d'existence, qui ne nous amène à rien qu’à entré dans un essuie dépouiller, mort, du ténèbres. 

Yeshoua Jésus-Christ nous invite à entrer dans notre appel, dans le plan de Dieu pour notre vie future avant et après notre Mort. Amen

Les récits de vocation mettent en scène des offres de consécration, d’investiture, à la suite d’une parole qui réquisitionne les parcours. Des paroles d’enrôlement dans de nouveaux destins n’ont jamais transformé des humains en héros, privés de larmes ou aux larmes interdites.

Évangéliste JeanJD🕊️🪔

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