samedi 10 septembre 2022

FEMMES VOS COMPORTEMENTS PEUT ETRE MAL INTERPRÉTER ET VALOIR A INNOCENCE.


Aujourd’hui encore pour ceux qui cherche vraiment Dieu. Vous allez voir qu’il y a certains livres ou certains chapitres de certains livre qui ne sont pas introduite dans la Bible actuellement, mais peut se trouver dans certains Bible anciens. Ce qui devrait nous conduire à des questionnements : si elles sont les paroles de Dieu, pourquoi ne sont-elles pas rajoutées aux 66 livres, et pourquoi on t’elle été retiré ?

S’il y a quelque chose à comprendre ou que nous devrons savoir Dieu a fait la promesse de nous les révéler en sont temps, rappelez-vous ce qu’il dit dans Jean 16 : 8 ; 12-13
« J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. Et quand il sera venu, il convaincra le monde en ce qui concerne le péché, la justice, et le jugement… »

Le Livre de Daniel existe en deux versions : l’une en hébreu qui comprend 12 chapitres, et l’autre en grec qui comporte plusieurs passages en plus, dont les deux chapitres 13 et 14


Daniel chapitre 13.
Dont je vous invite à faire la lecture du livre du prophète Daniel (13 : 1 - 9 ; 15-17 ; 19-30 ; 33-62)

En ces jours-là, il y avait un habitant de Babylone qui se nommait Joakim. Il avait épousé une femme nommée Suzanne, fille d’Helkias. Elle était très belle et craignait le Seigneur. Ses parents étaient des justes, et ils avaient élevé leur fille selon la loi de Moïse. Joakim était très riche, et il possédait un jardin auprès de sa maison ; les Juifs affluaient chez lui, car il était le plus illustre d’entre eux. Deux anciens avaient été désignés dans le peuple pour être juges cette année-là ; ils étaient de ceux dont le Seigneur a dit : « Le crime est venu de Babylone par des anciens, par des juges qui prétendaient guider le peuple. » Ils fréquentaient la maison de Joakim, et tous ceux qui avaient des procès venaient les trouver. Lorsque le peuple s’était retiré, vers midi, Suzanne entrait dans le jardin de son mari, et s’y promenait. Les deux anciens la voyaient chaque jour entrer et se promener, et ils se mirent à la désirer : ils pervertirent leur pensée, ils détournèrent leurs yeux pour ne plus regarder vers le ciel et ne plus se rappeler ses justes décrets. Ils guettaient le jour favorable, lorsque Suzanne entra, comme la veille et l’avant-veille, accompagnée seulement de deux jeunes filles ; il faisait très chaud, et elle eut envie de prendre un bain dans le jardin. Il n’y avait personne, en dehors des deux anciens qui s’étaient cachés et qui l’épiaient. Suzanne dit aux jeunes filles : « Apportez-moi de quoi me parfumer et me laver, puis fermez les portes du jardin, pour que je puisse prendre mon bain. » Dès que les jeunes filles furent sorties, les deux anciens surgirent, coururent vers Suzanne et lui dirent : « Les portes du jardin sont fermées, on ne nous voit pas ; nous te désirons, sois consentante et viens avec nous. Autrement nous porterons contre toi ce témoignage : il y avait un jeune homme avec toi, et c’est pour cela que tu as renvoyé les jeunes filles. » Suzanne dit en gémissant : « De tous côtés, je suis prise au piège : si je vous cède, c’est la mort pour moi ; et si je refuse de céder, je n’échapperai pas à vos mains. Mieux vaut pour moi tomber entre vos mains sans vous céder, plutôt que de pécher aux yeux du Seigneur. » Alors Suzanne poussa un grand cri, et les deux anciens se mirent à crier contre elle. L’un d’eux courut ouvrir les portes du jardin. Les gens de la maison, entendant crier dans le jardin, se précipitèrent par la porte de service pour voir ce qui arrivait à Suzanne. Quand les anciens eurent raconté leur histoire, les serviteurs furent remplis de honte, car jamais on n’avait dit pareille chose de Suzanne.
Le lendemain, le peuple se rassembla chez Joakim son mari. Les deux anciens arrivèrent, remplis de pensées criminelles contre Suzanne, et décidés à la faire mourir. Ils dirent devant le peuple : « Envoyez chercher Suzanne, fille d’Helkias, épouse de Joakim. » On l’envoya chercher. Elle se présenta avec ses parents, ses enfants et tous ses proches. Tous les siens pleuraient, ainsi que tous ceux qui la voyaient. Les deux anciens se levèrent au milieu du peuple, et posèrent les mains sur sa tête. Tout en pleurs, elle leva les yeux vers le ciel, car son cœur était plein de confiance dans le Seigneur. Les anciens déclarèrent : « Comme nous nous promenions seuls dans le jardin, cette femme y est entrée avec deux servantes. Elle a fermé les portes et renvoyé les servantes. Alors un jeune homme qui était caché est venu vers elle, et a couché avec elle. Nous étions dans un coin du jardin, nous avons vu le crime, et nous avons couru vers eux. Nous les avons vus s’unir, mais nous n’avons pas pu nous emparer du jeune homme, car il était plus fort que nous : il a ouvert la porte et il s’est échappé. Mais elle, nous l’avons saisie, et nous lui avons demandé qui était ce jeune homme ; elle n’a pas voulu nous le dire. De tout cela. Nous sommes témoins. » L’assemblée les crut, car c’étaient des anciens du peuple et des juges, et Suzanne fut condamnée à mort. En ces jours-là, le peuple venait de condamner à mort Suzanne.) Alors elle cria d’une voix forte : « Dieu éternel, toi qui pénètres les secrets, toi qui connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent, tu sais qu’ils ont porté contre moi un faux témoignage. Voici que je vais mourir, sans avoir rien fait de tout ce que leur méchanceté a imaginé contre moi. »
Le Seigneur entendit sa voix. Comme on la conduisait à la mort, Dieu éveilla l’esprit de sainteté chez un tout jeune garçon nommé Daniel, qui se mit à crier d’une voix forte : « Je suis innocent de la mort de cette femme ! » Tout le peuple se tourna vers lui et on lui demanda : « Que signifie cette parole que tu as prononcée ? » Alors, debout au milieu du peuple, il leur dit : « Fils d’Israël, vous êtes donc fous ? Sans interrogatoire, sans recherche de la vérité, vous avez condamné une fille d’Israël. Revenez au tribunal, car ces gens-là ont porté contre elle un faux témoignage. »
Tout le peuple revint donc en hâte, et le collège des anciens dit à Daniel : « Viens siéger au milieu de nous et donne-nous des explications, car Dieu a déjà fait de toi un ancien. » Et Daniel leur dit : « Séparez-les bien l’un de l’autre, je vais les interroger. » Quand on les eut séparés, Daniel appela le premier et lui dit : « Toi qui as vieilli dans le mal, tu portes maintenant le poids des péchés que tu as commis autrefois en jugeant injustement : tu condamnais les innocents et tu acquittais les coupables, alors que le Seigneur a dit : “Tu ne feras pas mourir l’innocent et le juste.” Eh bien ! si réellement tu as vu cette femme, dis-nous sous quel arbre tu les as vus se donner l’un à l’autre ? » Il répondit : « Sous un sycomore. » Daniel dit : « Voilà justement un mensonge qui te condamne : l’ange de Dieu a reçu un ordre de Dieu, et il va te mettre à mort. » Daniel le renvoya, fit amener l’autre et lui dit : « Tu es de la race de Canaan et non de Juda ! La beauté t’a dévoyé et le désir a perverti ton cœur. C’est ainsi que vous traitiez les filles d’Israël, et, par crainte, elles se donnaient à vous. Mais une fille de Juda n’a pu consentir à votre crime. Dis-moi donc sous quel arbre tu les as vus se donner l’un à l’autre ? » Il répondit : « Sous un châtaignier. » Daniel lui dit : « Toi aussi, voilà justement un mensonge qui te condamne : l’ange de Dieu attend, l’épée à la main, pour te châtier, et vous faire exterminer. »
Alors toute l’assemblée poussa une grande clameur et bénit Dieu qui sauve ceux qui espèrent en lui. Puis elle se retourna contre les deux anciens que Daniel avait convaincus de faux témoignage par leur propre bouche. Conformément à la loi de Moïse, on leur fit subir la peine que leur méchanceté avait imaginée contre leur prochain : on les mit à mort. Et ce jour-là, une vie innocente fut épargnée et Daniel fut grand aux yeux du peuple.

Esaïe 59 :7
[7]Leurs pieds courent au mal, Et ils ont hâte de répandre le sang innocent ; Leurs pensées sont des pensées d’iniquité, Le ravage et la ruine sont sur leur route.



Prière :
Éternel Dieu de compassion, toi qui pénètres les secrets, toi qui connais toutes choses avant qu’elles n’arrivent aujourd’hui encore. Nous te demandons de continuer à défendre et à protéger les innocents, et de donné a chacun de tes enfants qui ont gardé ta loi le discernement et la force de dire non à ce qui n’est point de toi, même si cela devait les faire passer par le jugement et la mort.
Je te prie Seigneur de toujours nous dépêcher l'un de tes serviteurs juste et rempli de ton Esprit comme Daniel afin d’aider, de défendre le faible, l’innocent et particulièrement de ces femmes d’aujourd’hui qui se trouve dans de telles situations comme Suzanne, devant ces faux conducteurs, qui prétendaient guider le peuple au nom de Yeshoua, qu’il ou elle sois sauver par ton intervention divine à cause de ta parole. Amen


Je souligne que le nom ‘Daniel’ signifie en hébreu “Dieu juge” ou “Dieu a rendu justice”.

Il y a pas plus grand crime que de faire couler le sang d’un innocent, ou de salir la vie d’un juste de l’Éternel par des mensonges ou de le pousser par la force à commettre l’iniquité et l’adultère. Car automatiquement ce type d’iniquité conduit à la mort par lapidation.
 ( Lévitique 24 : 14 ; Jean 8 : 3 – 5).

Nous trouvons un exemple flagrant dans la nouvelle alliance sur la lapidation de la femme surprise en flagrant délit d’adultère. Mais elle eut comme avocat et juge Jésus en personne ce jour-là.

Bien-aimé, il y a une question qui ne vient souvent en tête. Et j’aimerais vous la poser aussi à vous aujourd’hui : pourquoi les femmes qui sont surprise en flagrant délit d’adultère devais être lapidé et pourquoi pas les hommes aussi ?

Frères, sœurs, amis et du monde ou de la religion, Dieu parle, et continue à parler, Il a le désir encore aujourd’hui de vous parler à vous. Oui ! À vous qui avez été accusé a tort d’adultère, subit l’adultère forcé, ou l’esprit d’adultère est au sein du couple, dans l’Églises et que vous êtes innocentes. Sachez que Dieu ne prend pas plaisir et entant les cris de ces innocents.

Sachez que dans tous les écrits de la Bible que les cris des innocents a toujours fait agir l’Éternel des armées, Yahvé Sabaoth.

Le premier innocent que nous rencontrons dans les pages de la Bible est Abel, injustement tué par son frère Caïn. Or l’auteur de la Genèse écrit à son propos des paroles stupéfiantes : « Le Seigneur dit à Caïn : Qu’as-tu fait ! Écoute le sang de ton frère crier vers moi du sol ! » (Genèse 4 : 10). 

Dans la Bible le sang, c’est la vie (Voir Lévitique 17 : 11;14), et cette vie écrasée par la malice humaine retrouve paradoxalement une voix. Loin d’être étouffé par la violence des hommes, le désir de vie qui habite le cœur de la victime est libéré par son innocence blessée. Son cri parvient jusqu’à Dieu et provoque son intervention.

C’est cette même dynamique qui entre au cœur de l’histoire du salut dans le récit de l’Exode. Ce qui fait descendre Dieu sur terre, n’est pas quelques actes de prouesse ou de dévouement de la part des humains. Mais bien le cri qui jaillit de leur oppression. Le gémissement des esclaves met en route un vaste processus de libération à travers lequel Dieu se rend présent (Voir Exode 2 : 23-25).

Avec les prophètes d’Israël, un pas de plus est accompli. Ils expérimentent jusque dans leur chair que Dieu, l’Innocent par excellence, est rejetée par un peuple qui se veut autosuffisant. 
Tel Osée, contraint de supporter avec patience la trahison de sa bien-aimée, image de la fidélité de Dieu à son peuple infidèle. 
Tel Jérémie, en butte à l’exclusion et à la persécution, « homme de querelle et de discorde pour tout le pays », condamné à rester seul avec une « blessure incurable » (Jérémie 15 : 10 ; 17-18). 

Il faudrait du temps pour comprendre que ces hommes nous donnent, en fait, un aperçu du cœur de Dieu lui-même, lorsqu’ils souffrent de ne pas être écoutés ni compris.

Bien-aimée, l’histoire de cette femme Suzanne qui n’est pas écoutée, ni comprise et innocent dans le chapitre 13 de Daniel, est aussi d’actualité en ce siècle aujourd’hui, et mérite d’être mis à la lumière du St Esprit, afin de faire comprendre ce que Dieu veux éviter aux femmes, mais aussi aux conducteurs du peuple, aux serviteurs de Dieu, qui sont dirigés par l’esprit de la Jezabel (la séduction) et non celui de Yeshoua.

Frères et sœurs, cette femme Suzanne n’a rien demander de tout cela, car la Bible nous parle d’une femme issue d’une famille de juste, qui respecte les ordonnances et les lois de Dieu au travers de Moïse. Épouse d’un homme riche que sans doute Dieu le permis d’être l’aide à côté de son époux, non pas pour la richesse de cet homme, mais de la valeur que Dieu porte au cœur de cette femme.

Femmes chrétiennes, et Serviteurs de Yeshoua, faites attention à vos comportements, a vos paroles, a vos pensées, et a vos gestes, car elles peuvent être mal interprétées et peuvent faillir à votre innocence dans le corps de Christ.

Nous voyons que Suzanne épouse de Ioakim, faisait simplement que de se promener dans le jardin de son époux à des heures qu’ils n'y avaient personnes : « v.7 Lorsque, tout le monde, s’était retiré, vers midi, Suzanne venait se promener dans le jardin de son époux ». 
On pouvait dire que cette femme faisait attention et respectait son époux et craignait Dieu dans son fond intérieur, car elle savait que sa beauté pouvait sans doute attirer d’autres regarde.

Rappelez-vous de David et Bethsabée : histoire de l’adultère d’un roi · David couche avec Bethsabée, la femme du soldat Urie le Héthéen, … Et pourtant, David était un oint de Dieu… Voilà sans doute l'une des raisons qui nous fait comprendre, pourquoi Suzanne, belle de sa beauté avait la crainte de Dieu et de son époux.

Bien-aimé, quand l’ennemi (l’esprit de la Jezabel) veut détruire l’œuvre de Dieu, elle est prête à utiliser toutes les ruses, et même ceux qui sont des serviteurs de Dieu, pour y arriver. Il utilise la même porte qu'il a utilisée dans le jardin Eden, qui est la femme…

La Bible nous parle de deux anciens (vieillards) qu’on avait désignés au milieu du peuple pour être juges cette année-là ; ils étaient de ceux que le Seigneur a dit : « Le crime est venu de Babylone par des anciens, par des juges qui prétendaient guider le peuple. ».

La phrase utilisée est à retenir et à y prêter attention « qui prétendaient guider le peuple ». Et aujourd’hui nous voyons que la prophétesse la Jezabel a libérer sa légion de prophètes comme au temps où Élie avait tue consumé plus de quatre cent cinquante prophète de Baal, donc une bonne partie.

Sachez que nous sommes dans les temps de la séduction, et que les justes de Dieu doit être encore plus prudent de la doctrine qu’ils écoutent sur lesquels certains donnent foi. Rappelez bien qui la prophétie ne dirige pas l’Église de Dieu, mais la parole de Dieu, car il est derrière sa parole. Et c’est cette même parole de foi qui peut sauver l’innocent encore aujourd’hui.

Cette femme Suzanne, n’avais rien fait, ni de les croisés du regard, pour que ses deux anciens puissent éprouver de tels désirs en eux, et pourtant, il connaissait très bien l’époux, qui était fort riche et qui leur permettait de venir chez lui.

Bien-aimée, la parole nous dit : « Que quiconque regarde une femme pour la convoiter a déjà commis un adultère avec elle dans son cœur (Matthieu 5 : 28) ». 

C’est exactement ce qui sait passer avec David autre fois, et de même avec ces deux anciens, car il est dit «Tous deux brûlaient de convoitise » voir. ( v. 8 à 9)
« 08 Les deux anciens la voyaient chaque jour entrer et se promener, et ils se mirent à la désirer : 09 ils pervertirent leur pensée, ils détournèrent leurs yeux pour ne plus regarder vers le ciel et ne plus se rappeler ses justes décrets. »

Frères et sœurs, ces anciens savais ce que la loi de Dieu disais sur ce type de comportement, car pour ne pas respecter le commandement de Dieu, il est écrit qu’ils « détournèrent leurs yeux pour ne plus regarder vers le ciel et ne plus se rappeler de ses justes décrets » donc ils le savent tous les deux.

Ce type de scène arrive à beaucoup d’entre nous, femmes et hommes en Christ, et au fond de nous des fois, pour nous mettre en confiance dans l’assurance d’être dans le bon chemin, nous disons souvent « Dieu comprendra, il n'y a pas mort d’homme ». 
Mais si nous le savons et que nous l’ayons mise en pratique, nous aurions compris que ce type, de penser n’est pas de Dieu et sais l’ennemi qui nous l’infuse petit à petit par le désir de notre chair.

Tel est les procédures arrangées de satan, dans certains ministères et au milieu des chrétiens d’aujourd’hui, car beaucoup veulent obtenir des grand ministère, rapidement sans l’avoir entendu de la parole confirmer par Dieu. Alors soyez prudents, vous risqueriez de tomber sur de tels hommes, qui vont vous convoiter par la chaire et vous feraient tomber au lieu de vous inviter à étudier plus en profondeur la parole de Dieu.

La Bible nous dit que les deux anciens utilisés des ruses, et des menaces pour la forcer à coucher avec eux, sur le dire qu’ils sont des personnes important de Dieu…

Mais cette femme Suzanne, remplie de la crainte de Dieu, ne tombe pas dans leur piège, même en étant condamnée à mort et d’être lapidé, malgré son innocence.
Bien-aimée, Dieu Yeshoua prend plaisir quand nous nous efforçons de reste dans ses voies malgré les épreuves.

Cette femme malgré la position de son époux fort riche et celui de ses parents Justes, rien n’arrête ce que l’ennemi a décidé de faire au travers de ses deux âmes de convoiteur, pervertie par la séduction, de faire tomber cette femme, son mari et voir même la place que sais ses parents avait en étant des juste. Et nous savons bien que Satan n’aime pas les justes de l’Éternel, car pour lui sais un danger en permanence.

Voyez, quand ont marche avec Yeshoua et qu’on médite sa parole, de même la mettre en pratique dans nos vies, cela fait qu'il nous donne beaucoup plus de discernement et d'être insufflé par le St Esprit la bonne attitude, la bonne décision à prendre. Amen

Cela ne faisait pas un jour, mais plusieurs jours que ces deux vieillards, convoitait cette servante dans leur pensée. Mais ils ont fallu qu’ils passent à l’acte. L’ennemi fonctionne toujours par le regard, car quand il parlait à Ève dans le jardin, il la poussait à regarder au-delà de ses yeux, mais avec un regarde de désiré...

Genèse 3 : Elle en donna aussi à son mari qui était avec elle et il en mangea. »
« La femme vit que l’arbre était porteur de fruits bons à manger, agréable à regarder et précieux pour ouvrir l’intelligence. Elle prit de son fruit et en mangea. Elle en donna aussi à son mari qui était avec elle et il en mangea. »
La femme vit l’arbreAgréable à regarder… Elle prit et en mangea. 

Frère, serviteur cela est valable pour vous, car nous avons l’exemple de ces deux anciens et celui de David. Mais cette fois-ci, la femme n’est pas tombée dans cette séduction, car le St Esprit en lui, lui a permis de peser le pour et le contre, puis de choisir le bon chemin, même si elle devait mourir.

N’est ce pas ce qui s’est passer avec un grand nombre de serviteurs qui ont choisi d’être juste jusqu’au bout, la mort les a emporter dans leur innocence de dévoiler la vérité a chacune de nous aujourd’hui. Idem pour notre Seigneur Yeshoua Jésus-Christ. Amen.

Bien-aimées, nous pouvons dire que cette femme Suzanne avait bien sa tête sur les épaules, et elle avait choisi la bonne part, d’être en Christ, de marché sincèrement et sérieusement à la suite du Maître avec foi, même si la mort lui est présentée. Amen

Regardons l’analyse de Suzanne sous la pression de ses anciens, elle semble être calme, mais en train de parler a quelqu’un en dedans d’elle et elle choisit :

22 Suzanne dit en gémissant : « De tous côtés, je suis prise au piège : si je vous cède, c’est la mort pour moi ; et si je refuse de céder, je n’échapperai pas à vos mains.
23 Mieux vaut pour moi tomber entre vos mains sans vous céder, plutôt que de pécher aux yeux du Seigneur. »

Quand soudain un cri sort d’elle . Est-ce elle qui a voulu le pousser, ou propulsé par l’impulsion du St Esprit à cause de son choix ?
Nous pourrons dire que c’est le premier cri de sa délivrance impulsé d’elle, car il fallait mettre en déroute ces deux hommes... Car vue que ces deux anciens s’étaient alliée et avaient le même désir, il fallait qu’il se passe quelque chose...
Et le lendemain nous dit la parole que les anciens après avoir mise la honte à son époux, passe au jugement de Suzanne et condamne l’innocente à être lapidé à mort. (Jean 8 : 1 -11)
(Esaïe 59 :
« Ô Dieu éternel ! Toi qui connais les secrets et sais toutes choses avant leur origine ! »

Bien-aimée, quand nous voyons que Dieu est en retard, ou qu’il nous a oubliées, sait le moment qu’il va commencer, qu’il se lève pour elle et pour toi. Car Dieu ne prend pas plaisir quand le sang de ses fils et ses filles innocence coule. (Esaïe 59 : 7)

Alors dite vous dont il fallait un deuxième cri. 
Quand vous avez cris une fois, rien ne se passe, il faut la renouveler. Mais ici, dans l’histoire de Suzanne, le deuxième cri ne vient pas d’elle, mais de celui que Dieu a dépêché en express... Amen

Rappelez-vous de la muraille de JERICHO , Dieu leur avait demandé de pousser des cris et sait après qu’il ait tombée. Car Yahvé Sabaoth, l’Éternel des armées se tenais devant son serviteur Josué. Amen

Il est écrit que Daniel poussa un cri fort : « Je suis innocent de la mort de cette femme ! »
C'était le dernier cri qui devrait ébranler ce faux jugement de ces deux anciens qui était la cause réelle… Comment peut-on laisser un juge jugé sa propre affaire ?

Dieu fait en sorte que Daniel apporte la lumière du St Esprit sur tout ce qui était caché aux yeux du peuple, mais pas aux yeux de Dieu, qui a permis a cette femme juste et fidèle à Dieu d’avoir gain cause et qu’elle sois innocenté par Daniel… d’où vient le nom de DanielDieu juge” ou “Dieu a rendu justice”.

Alors Bien-aimée, le message est clairs, quel que sois pour les hommes, les serviteurs, les femmes et les servantes de Dieu, un juste doit rester avec la crainte de Dieu à tout moment et dans toutes les situations, n’essayez pas de dire que Dieu comprendra. Car l’ennemi aussi vous fera comprendre que dès l’instant que vous l’avez choisi, avant de partir, il ferait des dégâts dans vos vies et touchera aussi tout ceux que vous aimez.

Il est venu pour dérober, égorgé, et vous perdre, car vous êtes l’un des maillon fort qui va le combattre, alors il prend de l’avance. Mais ce qu’il ne sait pas est que la porte ouverte qu’il a trouvé dans la femme, peut aussi le détruire, car elle a reçu l’ordre de marche et d’écraser sa tête. Amen

Ne laissez pas l’ennemi s’introduire dans votre couple, dans votre vie. Il veut détruire le premier ministère de Dieu qui est le couple, et sait dans le couple que Yeshoua a fait son tout premier miracle, l’eau et le sang, ne perdez pas de vue cela. Ayez foi en Dieu et garder la crainte de Dieu, car Il ferait tomber toutes les murailles de Jéricho de votre vie.

Ne marchez pas à demi avec Dieu Yeshoua, mettez en règle votre vie, car sais à partir de là que Yeshoua pourrait vous donner l’époux ou l’épouse tant désiré, voir aussi que sais comme cela qui peut arranger tout mauvaises situation dans votre vite de couple et particulièrement l’adultère, car ce message se rapproche beaucoup sur les problèmes d’adultère au sein de l’Église de Yeshoua.

Rappelez-vous ou ça commence et par quoi ça commence. Matthieu 5 : 28 « la convoitise cachée… Aussi pour l’homme et la femme »

Si vous êtes dans cette situation, la repentance sincère du cœur est la solution.
Ne commettez pas l'irréparable pour un ministère d’hommes, car seul Dieu est capable de vous donner le ministère qu’il vous appelle au travers de sa parole. Amen

Alors pour information, Suzanne était l'une des femmes, disciples de Jésus qui l'assistèrent de leurs biens. (Luc 8 : 3) . Le nom Suzanne signifie lys.

Soyez bénis par ce message et que Yeshoua vous fortifie et vous rende forte par son Esprit. Amen

Évangéliste Pasteur JeanJD 🕊️

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