Marc 1 : 1-3, 11,15
Il était écrit dans le livre du prophète Isaïe : Voici que j’envoie mon messager devant toi, pour préparer la route. A travers le désert, une voix crie : Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez sa route.
« C’est toi mon Fils bien-aimé ; en toi j’ai mis tout mon amour. »
« Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle. »
Bien-aimés, pour ceux qui ont du mal à se localiser dans la vie ici-bas, même en chassant que l’Ouest est à gauche, et l’Est est à droite. Cela ne les aidera pas beaucoup quand ils ne savent pas où est le Nord !
C’est idem quand nous essayons de prendre le bon chemin, qui est celui de suivre Yeshoua Jésus.
Dans l’évangile de Marc 1, il est question du commencement d’une Bonne Nouvelle, celle de Yeshoua Jésus-Christ.
On y rappelle ! Qu’il nous est demandé de préparer un chemin, de rendre droits quelques sentiers. Mais comment tracer une route sans savoir où est le Nord ?
Frères et sœurs, savez-vous où avez-vous déjà réalisé que Jean-Baptiste est justement celui qui montre le Nord et qui, en ce temps de l’avènement, nous donne quelques repères pour reconnaître Celui qui vient, celui qui donne un sens à notre histoire et à tous nos labeurs un avenir.
Oui ! Bien-aimés, ce serviteur, ce prophète des temps avaient reçu l'ordre de vous montrer le chemin. Le Nord par excellence, car il était la boussole de l’Éternel dans le désert, qui criait à temps et à contre temps une Bonne Nouvelle qu’il porte en lui. Cet homme déchirait les horizons.
Il est écrit que les gens viennent de partout : de toute la Judée, de tout Jérusalem.
Aujourd’hui regardons les, et soyons nous partisans aussi.
Qui sont-ils donc ? Sans doute des gens comme vous et moi, de la même race et du même peuple.
Des gens qui sentent bien que leur vie est loin d’être accomplie, des gens qui sont en manque, des hommes et des femmes en attente de bonheur, en quête d’une plus haute qualité d’être ; des gens qui en ont assez d’être sans arrêt regardés comme des coupables, des voleurs, des pilleurs, des violant. Il y a sans doute parmi eux, comme parmi nous, des gens qui ont oublié de vivre. Le cœur en fièvre et le corps démoli.
Voilà ! Un exemple aujourd’hui pour chacun de nous. C’est gens ! Ils ont quitté pour un moment leurs terres familières pour se rendre au désert.
Et vous aujourd’hui, êtes-vous prêts à quitter quelques choses pour suivre le chemin que ce prophète nous a parlé, et commencer à marcher dans le désert de la repentance pour rencontrer Yeshoua.
Bien-aimé, il y a parmi vous certains dont la vie ne vaut rien. Certains qui se disent : « Mon âme est celle d’un païen, mes mains sont salies par tous les péchés de la vie ».
Si aujourd’hui vous trouvez vos vies brûlantes, votre existence fatiguée, votre histoire bien pauvre, votre destinée bien incomplète.
C’est que vous avez perdu le Nord qu'est Yeshoua. Car vous n'avez pas su suivre ou utiliser la boussole que Yeshoua vous a envoyé qui est la parole de vérité, la bonne nouvelle de son royaume dans la bouche de ces vrais appelés. Vous ne saviez plus où vous en êtes en Christ…
Frères, sœurs et amies, en chacun de vous il y a bien plus que ce que vous osez croire.
Yeshoua, c’est que bien que vos vies soient dures, et qu'il y a beaucoup qui tournent en rond sans guère de projets.
Il sait bien qu’il y en a, parmi son peuple, malgré la victoire qu'il a donné par amour sur le poteau, qui vivote dans leur vie et qui gaspille le temps avant que le temps ne les tue. Il devine bien tous les amours déçus, et mille échecs à cause de cette voile qui est toujours sur vous et ces écailles dans vos yeux.
Bien-aimés, combien d’hommes et de femmes qui portent toute une chaîne du pourquoi, des questions que l’on se pose, avec des tas de pleurs qu’on garde sur le cœur et des regrets et des rancœurs des souvenirs éblouissants et des visions de néant.
Alors vous, qui lisez ce message chassé qu'il n'est jamais trop tard comme nous, fait comprendre l'Oracle Jean-Baptiste : « Il faut plonger, les amis ! Il ne faut pas que vous restiez sur une berge. Il faut plonger ».
On est loin des trois gouttes d’eau qu’on verse sur la tête des petits nouveaux nés le jour de leur baptême ! Il faut plonger dans les eaux fraîches du Jourdain. Se laisser recouvrir. Sentir qu’une mort est proche, sentir que vous aller vous relevez autrement, et avec un nouveau manteau.
Rappelez-vous de Bartiné né aveugle, il a osé plonger dans le Jourdain spirituel qu'est Yeshoua. Mais pour cela, il a fallu qu’il lâche ce manteau de désolation, pour passer au manteau de la vérité afin de voir de nouveau.
Car là où Satan avait programmé qu'il mourait aveugle, Yeshoua hamashiah n'a pas permis cela et permis qu'il parte en voyant. Amen
À vous aujourd’hui de lâcher ce manteau de religieux, d’incapable, de pauvre, d’imparfaite, d’inutile, de péché, d’orgueil, et passer par le désert de Jean-Baptiste ou celui de Yeshoua pour être testé, afin d’obtenir la victoire ou d'entre dans cette victoire que Yeshoua a arrachée pour vous définitivement. Amen
Arrêter de dire que vous avez été déjà baptisé petit et que c’est bien cela que Dieu demande. Lisez la parole de Dieu afin que la vérité puisse faire tomber les écailles de vos yeux...
Croyez-vous que Yeshoua a pris son baptême étant grand en âge de comprendre, pour faire beau dans la Bible. Et bien non ! Il voulait faire comprendre à beaucoup d'entre vous que cette décision doit venir de vous et non pas quelqu’un d’autre qui le prend pour vous à votre place.
Dites stop ! À toutes les décisions qu'on a prises à votre place.
Faites le grand plongeon. Comme un rafraîchissement. Le baptême qu’il propose est un mouvement profond, un saut. Une aventure nouvelle avec Yeshoua Jésus-Christ.
Bien-aimés, revoyez l'image de l’Oracle Jean-Baptiste dans le désert avec tous ces gens,(des jeunes et des vieux, des bien-portants, des mal-pensants, des mal-faisant), qui sortait de partout. On aurait put dire qu’ils ont perdu le Nord ou la raison !
Regardez les plonger dans le Jourdain. Regardez-les dans l’eau. Jusqu’à la taille de leur vie, et jusqu’au cou. Regardez-les s’éclabousser comme des gamins !
Cette eau leur a fait du bien. Elle lave. Elle épure, elle assainit : les voilà lessivés. Elle purge, cette eau, elle désencrasse. Elle clarifie, ceux qui se prêtent avec foi en Yeshoua. Car ils avaient trouvé le Nord et le bon chemin qu'est Yeshoua hamashiah.
Bien-aimés, amis, familles, peuple des îles et de tout horizon, ces hommes et ces femmes-là, lavés de tout ce qui est trop lourd pour eux ; ils ou elles ont retrouvé avec leurs rires de gamins des cœurs d’enfant sont prêts. Ils sont prêts pour entendre la suite comme vous aujourd’hui. Il va leur indiquer le Nord pour que leurs petites boussoles cessent de s’affoler.
Écoutez-le, l’Oracle et les serviteurs de Yeshoua d’aujourd’hui : « Voici venir derrière moi celui qui est plus fort que moi ; Je ne suis pas digne de m’abaisser pour défaire la courroie de ses sandales ».
Ils veulent vous accueillir. Ils ouvrent leurs cœurs pour vous comme Jean-Baptiste.
Leur secret est de vous inviter à passer par le désert de la repentance. Ils sont là pour vous aider à préparer le terrain d’une rencontre plus intérieure. Celle de Yeshoua Jésus qui se fait proche, celle de l’Esprit qui vient. Amen
Mais attention : il ne faut pas arrêter nos regards sur les Jean-Baptiste de nos vies. Ils nous laissent bien souvent deviner que derrière eux, un Autre vient. Et qu’il est le Seigneur de la vie. Et qu’il va venir vous apprendre le juste secret de l’existence : que vivre, c’est partager ? Jamais abandonner. Jamais abandonner de vivre, c’est partager !
Il y a dans nos vies des Jean-Baptiste qui nous disent discrètement : « Il faut qu’une main posée sur votre épaule vous pousse vers la vie, cette main tendre et légère. Une force qui nous pousse vers l’infini, un désir fou de vivre une autre vie ».
Bénissons Dieu pour eux…
C’est du Seigneur de la Vie que vient notre rêve le plus profond : celui de vivre et de vivre bien. Il ne faut pas que vous perdiez ce Nord qu’est Yeshoua.
Pensez à la décision que vous avez à prendre dans les jours avenir avant qu'il ne soit trop tard, car nul ne sait quand il partira. Mais partons dans la paix de Yeshoua hamashiah avec lui. Amen
🕊Evangéliste JeanJd
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