Apocalypse 3: 20
20 Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si
quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai
avec lui, et lui avec moi.
Jérémie 31: 3-5
3 De
loin l'Éternel se montre à moi : Je t'aime d'un amour éternel ; C'est pourquoi
je te conserve ma bonté.
4 Je
te rétablirai encore, et tu seras rétablie, Vierge d’Israël ! Tu auras encore
tes tambourins pour parure, Et tu sortiras au milieu des danses joyeuses.
5 Tu
planteras encore des vignes sur les montagnes de Samarie ; Les planteurs
planteront, et cueilleront les fruits.
Je
vous rappelle que les sept lettres adressées aux églises dans l’Apocalypse 2 à
3 sont particulièrement pour ceux qui ont déjà accepter Christ et baptisé, donc
disciples de Yeshoua. « Que celui qui a des oreilles
entende ce que l’Esprit dit aux Eglises (à vous) ».
Et ce
message, cette lettre est adressée pour (ceux qui
se font passer pour être vivant, mais sont mort spirituellement) l’Église
de Sardes.
Aujourd’hui
nous recevons tout sorte d’invitations, qu’il soit du monde ou des Églises et
nous devons avoir le discernement pour savoir, si celle-ci est de Yeshoua ou de
l’autre. (Luc 16.15)
Bien-aimé,
savez-vous ce que cela signifie « manger avec Dieu
». Frère si tu savais, tu te serais arrangé pour ne plus perdre du temps à
t’occuper des futilités du monde, afin de ne pas laisser tomber même une
miette. Comme cette femme cananéenne, qui supplie Jésus et saisie cette
opportunité, mon pas pour être à la table du Maitre, mais profite des miettes
tomber de la table (mais les petits chiens
mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres.)
Matthieu 15.27-28. Et elle reçoit par la foi.
Frères,
sœurs, si tu manges avec Yeshoua, tu dois savoir
que cette nourriture, c’est Lui-même qui te l’offre, de la même façon
qu’Il t'a donnée (de l’or éprouvé par le feu, des vêtements blancs, un collyre)
gratuitement afin que tu sois paré pour souper avec lui et c’est une nourriture
qui ne finit jamais. (Math. 14.19-21)
Ce
n’est pas n’importe quelle nourriture, mais c’est
celle de Dieu Lui-même, qu’Il a préparée avec des ingrédients divins, selon les
principes culinaires célestes. Amen !
Bien-aimé,
la table est mise, l’invitation est faite, il
manque que toi sur cette table, afin de souper avec le Seigneur, car il
a assez de te voir à la table de l’ennemi, assez de te voir entrain de
quémander comme un pauvre, tandis que tu ne l’ais point. Oui ! Car tu te fais passer pour quelqu’un de bien, tandis
qu’au fond, tu ne le suis pas ! Tu souffres, tu passes par des moments
difficiles, et même étant attaché à un Église local.
Aujourd’hui
tu as le choix, car il t’invite à souper avec Lui, toi seul peut prendre cette
décision, ou accepter l’invitation au plus profond de ton cœur. Car mangé dans
la compagnie de la famille divine, tu seras choyé, dorloté, et tu te reposeras
dans les délices du Paradis.
Finie de te faire mal mener par les autres ou par des autorités
terrestres qui n’ont pas de compassion, qui pense qu’à eux, qu’à
leur famille et leur poche avec des reproches, qui continue à faire résonner
dans votre tête (payer la dîme, c’est mon Église, je suis l’autorité et je
vois tout ce que vous faites.).
Yeshoua
te parle de souper dans une paix Eternel, ou les anges chanteront en ton
honneur et ce repas ne manquera de rien, s’il
finit, Yeshoua le multipliera en même temps pour toi, elle sera ainsi
intarissable dans les grâces célestes, de plus ce n’est pas toi, qui en paieras
la facture, (ou les hommes te font payer, malgré qu’ils sachent que tu es à
sec.) mais c’est Yeshoua.
Aujourd’hui
Yeshoua veux que tu sois l’héritier de « la ville
aux douze portes » (Apocalypse 21.12), de la Jérusalem céleste, la Cité
sainte « d’or pur » (Apocalypse 21.18), de
la muraille bâtie sur « douze fondements »
qui ne sont point ceux des hommes (Apocalypse 21.14) fait de « pierres précieuses » (Apocalypse 21.19)
Oui ! Il désire que tu sois héritier de la Cité céleste, dont
Dieu est l’architecte et le bâtisseur (Herbeux 11.10). Alléluia !
C’est
la raison pour laquelle, mon frère, ma sœur, Il te dit : « De loin, l'Éternel se montre à toi : je t'aime d'un amour
éternel ; c'est pourquoi je te conserve ma bonté. Je te rétablirai encore, et
tu seras rétablie, Vierge d’Israël ! Tu auras encore tes tambourins pour
parure, et tu sortiras au milieu des danses joyeuses. Tu planteras encore des
vignes sur les montagnes de Samarie. »
Pour
obtenir tout cela gratuitement et offerte par Yeshoua, bien-aimé, jette tes
armes de haine, ouvre ton cœur d’amour à ceux qui t’ont fait du mal et qui
continue encore aujourd’hui, prie pour eux afin que leurs yeux s’ouvrent aussi,
place ta confiance en l’Eternel et « Fais de l'Éternel tes délices, Et il te
donnera ce que ton cœur désire. » Psaumes 37.4
Pour
conclure, êtes-vous prête à souper avec Yeshoua, êtes-vous
prête à laisser le Saint-Esprit entre dans votre cœur et de briser toutes les
chaînes qui vous retienne, d’effacer les fausses doctrines des hommes pour
faire place à l’enseignement du Saint-Esprit.
Cette
femme cananéenne avait compris que souper avec Jésus Yeshoua, et même les
miettes de la table de Dieu, était le seul et unique espoir pour sa fille, qui
était cruellement tourmentée par le démon. Elle reçoit par la foi.
Rappelez-vous
ce que Jésus a répondu à ces disciples au sujet de la situation de cette femme
« Il répondit : je n'ai été envoyé qu'aux brebis
perdues de la maison d'Israël. » Alors
il est venu pour vous, vous qui passez par les jougs des hommes, vous qui crier
au secours, comme elle « Seigneur, secours-moi ! » Mais je vous
invite à regarder le geste de cette femme avant d’obtenir la guérison de sa
fille. (Mais elle vint se prosterner.)
Et vous aujourd’hui, qu’attendez-vous pour accepter l’invitation
de Yeshoua ?
Bien-aimé,
prosternez-vous devant Yeshoua et demander pardon, a fin à être délivré de vos
ennemis, car le bon combat est celui de la foi en Yeshoua.
Vivre
l’amour véritable, c’est la plus grande victoire sur le mal. Amen
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