2 Pierre 2:20-22
20
En effet, si, après s'être retirés des souillures du monde, par la connaissance
du Seigneur et Sauveur Jésus Christ, ils s'y engagent de nouveau et sont
vaincus, leur dernière condition est pire que la première.
21
Car mieux valait pour eux n'avoir pas connu la voie de la justice, que de se
détourner, après l'avoir connue, du saint commandement qui leur avait été
donné.
22
Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai: Le
chien est retourné à ce qu'il avait vomi, et la truie lavée s'est vautrée dans
le bourbier.
Genèse 19:16-22
16
Et comme il tardait, les hommes le saisirent par la main, lui, sa femme et ses
deux filles, car l'Éternel voulait l'épargner; ils l'emmenèrent, et le
laissèrent hors de la ville.
17
Après les avoir fait sortir, l'un d'eux dit: Sauve-toi, pour ta vie; ne regarde
pas derrière toi, et ne t'arrête pas dans toute la plaine; sauve-toi vers la
montagne, de peur que tu ne périsses.
18 Lot leur dit: Oh! non, Seigneur!
19 Voici, j'ai trouvé grâce à tes yeux, et tu as montré la
grandeur de ta miséricorde à mon égard, en me conservant la vie; mais je ne
puis me sauver à la montagne, avant que le désastre m'atteigne, et je périrai.
20
Voici, cette ville est assez proche pour que je m'y réfugie, et elle est
petite. Oh! que je puisse m'y sauver,... n'est-elle pas petite?... et que mon
âme vive!
21
Et il lui dit: Voici, je t'accorde encore cette grâce, et je ne détruirai pas
la ville dont tu parles.
22
Hâte-toi de t'y réfugier, car je ne puis rien faire jusqu'à ce que tu y sois
arrivé. C'est pour cela que l'on a donné à cette ville le nom de Tsoar.
Peuple et juste de Yeshoua, quelques
fois quand nous sommes trop bien ou trop dans le calme, nous cherchons toujours
à comprendre pourquoi ça ne bouge pas, pourquoi, c’est aussi calme et nous nous
posons la question : est-ce bien la présence de Yeshoua dans le calme ?
L’homme en lui-même a toujours été
attiré par le bruit, ou ça bouge le plus et cela nous a toujours conduit là où
nous ne devrons pas être.
Rien ne peut changer ou contredire une
déclaration claire et positive de la Parole de Yeshoua.
« Parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé l’Esprit de son
Fils dans nos cœurs, criant : Abba, Père ». Galates 4 ; « Tout ce que Dieu
fait subsiste à toujours » Ecclésiaste 3.14
Peuple de Dieu, le sceau de l’Esprit
n’est-il pas tout entier l’œuvre de Dieu ?
Savez-vous que Yeshoua ne peut « sceller
» un incrédule.
Mais un
véritable croyant est « scellé » du Saint-Esprit, afin qu’il jouisse pleinement de la
relation dans laquelle Yeshoua l’a fait entrer, et qu’il s’approche de Yeshoua
dans la joie et la confiance de la foi (Éphés. 2:18).
Bien-aimée, avons-nous la tête si dure
ou ne sommes pas assez intelligent pour comprendre que quand Yeshoua nous dit :
« N’allez pas, ou ce n’est pas là qu’il nous attend
» et que nous faisons le contraire en suivant nos propres convictions.
Oui ! Yeshoua a fait de nous un fils,
une fille de l’Éternel, mais pourquoi sommes-nous toujours des rebelles si nous
sommes régénérés ou « nés de nouveau ».
Dans la seconde épître de Pierre, il ne
s’agit là que de la connaissance de la voie de la justice, sans qu’il soit
question des difficultés que nous allons rencontrer en nous-même à travers
notre marche et ceux qui nous sera présenter.
En passant par la pratique des vertus
chrétiennes, les faux docteurs pour arriver à l’avènement du Seigneur. Il y a et il y
aura des épreuves pour vous attester pour vous remettre à chaque fois sur la
voie du juste, mais la chaire qui n’est pas complément effacer ou mort
viendra à chaque fois vous demander les comptes.
On ne devient pas un chrétien, un
disciple ou un juste de Yeshoua que par une simple acceptation de Jésus Yeshoua
comme sauveur et Seigneur sans ne pas passer par le baptême d’eau et du
Saint-Esprit et ce que Pierre nous dit dans la deuxième épître.
« En effet, si, après s'être retirés des souillures du monde,
par la connaissance du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, ils s'y engagent de
nouveau et sont vaincus, leur dernière condition est pire que la première. Car
mieux valait pour eux n'avoir pas connu la voie de la justice, que de se
détourner, après l'avoir connue, du saint commandement qui leur avait été
donné.
Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai : le chien est
retourné à ce qu'il avait vomi, et la truie lavée s'est vautrée dans le
bourbier. » 2 Pierre
2:20-22
Donc, en gros, on pourrait laver un cochon, elle
n’en resterait pas moins toujours un cochon, et un chien même si tu le laves,
il retournera rouler dans la charogne.
Un tel lavage n’est
qu’extérieur, frère et
sœur, tout comme l’était la justice dont se vantaient les pharisiens (Matthieu
23:25-28). Un « cochon ou un chien » n’est pas une de ces brebis dont le Seigneur a dit :
« Mes brebis écoutent ma voix ».
Alors aujourd’hui chacun de vous peuvent
comprendre au mieux ce que Yeshoua nous dit sur « Le
choix malheureux du croyant comme le chien est retourné à ce qu’il avait vomi.
»
Yeshoua nous a donné tout
et a fait tout, afin que nous ne retournions pas dans les souillures du monde. Mais beaucoup
de fils et de filles de Dieu finisse par faire demi-tour à cause des
faux docteurs de la parole, a causse de leur incrédulité de suivre, d’imiter
sans chercher à connaître ce que dit la parole et le Saint-Esprit en eux.
Peur de ne pas être à la page en Christ,
peur d’être mise de côté, peur de ne pas être avec ceux qui sont élever, il
finit par accepter tout sorte d’herbe sauvage qu’on les donne à manger. (2 Rois
4:39-41).
La Bible nous donne beaucoup d'exemples
de Choix malheureux, prenons celui de Lot un juste qu’on a cru qu’il ne l’était
pas, et il faut attendre dans la seconde épître de Pierre pour apprendre qu'il
était juste.
En Genèse, nous voyons que Lot et
Abraham ne peuvent plus marcher ensemble. Malheureusement, cela arrive
encore pour des croyants de nos jours. Malheureusement, cela arrive encore pour
des croyants de nos jours. « Deux hommes, peuvent-ils
marcher ensemble s'ils ne sont pas d'accord ? » (Amos 3 : 3)
Lot, attiré par ce qu'il voit, se dirige
vers le monde corrompu et violent de Sodome. Il dresse ses tentes
jusqu'à la porte de cette ville (lieu où les décisions sont prises). Mais
l'Éternel a pitié de lui et le délivre, presque malgré lui (Gen. 19 : 16).
Mais voilà que Lot refuse encore une fois d'aller vers la
montagne. Il porte ses regards vers une petite ville. Il ne peut
supporter l'atmosphère purifiée par la proximité avec Dieu. C'est une
nouvelle fois un choix malheureux.
Bien-aimé fils et filles de Yeshoua, c’est la
conformité au monde qui dépouille le croyant de ses qualités de témoin.
Tout cela arrive à cause du mot «
participation » qui a deux sens. Une participation intime, comme s’il
s’agit d’une nature ou d’un caractère ainsi que l’on dirait d’un fils ou d’une
fille au père. Puis il y a une participation
extérieure dans le sens d’un associé qui a part aux profits ou aux
pertes.
Le mot Participation donne en grec « Koinonia » = (Communion : ce qui est commun à plusieurs
personnes, association)
Il s’agit donc d’une
association ou participation extérieure.
Ne
peut-on pas prendre Judas comme un exemple de ce genre de participation, tout
comme, quand nous retournons à ce que nous avons laissé ou quand nous nous
associons avec d’autre personne qui n’est pas de Christ ?
Il avait en effet accompagné le Seigneur
; il avait été envoyé comme les autres apôtres pour prêcher et guérir les
maladies. Jusqu’au dernier souper, personne ne considérait Judas comme étant
capable de trahir le Seigneur. Jésus seul savait qu’il était « le fils de
perdition. »
Pour coulure mes frères et sœurs, nous
devons être plus que vacillent et surveillez nos choix que nous faisons, car
elle peut être quelques fois fatales pour nous.
Aujourd’hui rappelez-vous que vous goûté
à la bonne parole de Yeshoua et les choses que le Seigneur faisait. Il est
possible que cela n’aille pas plus loin que votre intelligence ou les
sentiments naturels. Si la conscience n’est pas atteinte, une chute arrivera
tôt ou tard, et l’absence d’une œuvre opérée dans l’âme sera alors mise en
évidence.
Seigneur Yeshoua, que ton amour dirige
tous nos pas ! Garde-nous de tourner vers le monde d'autres regards que ceux du
voyageur. Que, du péché fuyant la coupe immonde, aux vives eaux nous puissions
le bonheur. Amen
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